Denis a écrit :Je te comprends, ma phrase est assez courte est donc trop tranchante...
Bien sur que de temps en temps les autres peuvent devenir des problèmes....
Mais bien souvent ils ne font que révéler nos états ou nos faiblesses.
Ce qui est amusant c'est de voir que certaines personnes me gène et en même temps plaisent à des gens que j'aime....
(bah heureusement!!)
cher dennis
j'ai "extait" cette phrase de son contexte , tout comme tu avais capturé ce "je crois que je n'ai jamais su être moi_même " pour que tu vois ainsi comme il est facile de faire dire aux autres ce que l'on veut! (si mes smilies n'étaient pas bloqués !! lol )
est-ce de moi , qui te géne! j'aurais pensé que tu serait plus patient , m' accorderais le temps de la reflection avant de décider si je me poses ou pas "en terre yoga " , j'ai expérimenté tes conseils pratiques et, trés juste que çà m'a fait beaucoup de bien; mais je ma suis retrouvée en comtemplation nombriliste, et non dans cet état d'amour universel! (relol)
le seul fait que tu dises que je te génes (je ne vois de qui tu parlerais d'autre) avive tout ce que je porte de doutes
aprés tout ce que je t'ai dis , penses tu, qu'à moins d'être écervellée, je viendrais au yoga sans des remises en questions (de part et d'autres )
j'aime énormément ce texte
Tu n'es pas de celles qui s'enivrent
En rêvassant sous les demi-lunes
Il y a au coeur comme des crevasses
Que même l'amour en est dégueulasse
Tu n'es pas de ceux qui espèrent
En l'humanité tous des faux frères
Siècles de charniers en charniers
Espoir, liberté, possédés
À mon insu l'âme se laisse
Posséder
À mon insu l'âme se laisse
Posséder
Mais on s'branle de tout quand tout écœure
Tu serais de ceux qui s'inclinent
Quand l'ombre des faucons déploie ses ailes
Et faire taire la poudre de guerre lasse
De gauche à droite tous te les cassent
Encore moins de ceux qui s'indignent
Du sang des morts de toute injustice
Pour des maisons blanches, de l'or noir
Nos p'tits coups d'cutter dérisoires
À mon insu l'âme se laisse
Posséder…
Mais on s'branle de tout quand tout écœure
On ne s'appartient plus vraiment
Pour quelques palais tentaculaires
Je ne vis plus, je me mens
Le coeur sur des tranchants polaires
À mon insu l'âme se laisse
Posséder…
L'espoir, liberté
Possédés
...surtout les deux couplets
et je t'en veux pas , même si je sens que ....