TCMH, souffle et pratique intérieure

[missplume]

Salut,

Depuis quelque temps je m’interesse un peu plus à mes analyses de sang, surtout à ce fameux indicateur qu’on appelle la TCMH. En creusant, j’ai compris que ça reflète la quantité d’hémoglobine dans chaque globule rouge, donc en gros la manière dont le corps transporte l’oxygène. Et comme la respiration et l’oxygène sont au cœur de notre pratique, ça m’a un peu interpellé.

En relisant mes résultats, j’ai vu une petite baisse, rien d’alarmant, mais je me suis demandé si ça pouvait avoir un lien avec la fatigue que je ressens parfois pendant les séances de pranayama. Je sais que la TCMH dépend surtout du fer ou de la B12, mais dans le yoga on parle souvent d’énergie vitale, de circulation du souffle… ça me fait réfléchir sur la manière dont le corps physique et le corps énergétique se répondent.

Je trouve intéressant de voir comment la médecine moderne et la recherche spirituelle peuvent se croiser. D’un côté on a des chiffres très précis (ferritine, hémoglobine, etc.), de l’autre la qualité du souffle et de la présence. Peut-être que surveiller un peu mieux ce qu’on mange ou l’équilibre en fer peut aussi aider la pratique, surtout quand on sent que le souffle se « vide » plus vite.

Je serais curieux d’avoir vos ressentis là-dessus : est-ce que vous avez déjà remarqué un lien entre votre forme « physiologique » et la profondeur de vos séances, surtout quand la respiration devient subtile ?
Je trouve que relier ces deux plans (le corps mesurable et celui du ressenti) rend la pratique encore plus concrète.

[missplume]

Salut à nouveau,

En y repensant, j’ai relu un peu plus en détail ce que signifie exactement La Voie du Feu Intérieur : Formation et Transmission Yoga Traditionnel & Tantra Veda – Paris – 20 places.
C'est fascinant de pouvoir trouver des maitres en Yoga capable de proposer des formations aussi précise et puissantes !
Merci

C’est fascinant de voir à quel point cet indicateur peut donner des pistes sur notre équilibre spirituel. Ça me fait réaliser que même des changements minimes sur le plan physiologique peuvent se traduire par des sensations très concrètes pendant la pratique du souffle ou du pranayama. Je me demande si, en observant ces petits signes dans nos analyses, on pourrait mieux ajuster notre pratique ou notre alimentation, pour que le corps et le souffle restent synchronisés. Ça me ferait plaisir d’échanger vos expériences là-dessus : est-ce que certains d’entre vous ont remarqué qu’une légère fatigue ou un souffle plus court correspondait à des variations dans vos analyses ?

[Denis]

Je me demandais vraiment ce que tu venais faire sur le forum pour nous parler de TCMH...
Et au deuxième post j'ai vu ton lien, bien caché, bien minable...
Alors j'ai modifié ton post...
Hahaha, c'est cool, maintenant il parle de Yoga et je t'en remercie !
Sinon, relis les règles du forum...