Regard a écrit :Ce matin devant mon café.
En méditation naturelle comme d'ab.
C est a dire sans contraintes et en continuant mes activités.
Je vois le monde. En accélérer. Au ralentit. Avec tout ses changements. Dans la seconde. Au delà des temps je vole au dessus des naissances et morts.
Je vois les jois. Les peurs. Les buts. Les raisons. Les recherches. Les désirs. Les espoirs. Je vois les trouvailles. Les attaches. Les expériences terribles ou extraordinaires, trenscendentes. Je vois le bien être. La félicité. La béatitude. La simplicité.
Je vois dieu. Je le vois avec un regard qui n est pas extérieur a lui. Hier soir déjà je dansais mon amour pour lui. je suis en intimité avec lui.
J ai abandonné déjà toutes recherches ou objectifs. Et tout cela s exhibe comme une pièce de théâtre sans public.
Puis rien. Simplement rien.
Un état sans contraire s instale.
Un état sans contraire.
Le nirvana de bouddha? Peut être bien.
Je ne suis pas pédagogue. Suivre sont chemin. Quel chance d être en chemin. Aller au bout de soi même. Avec confiance. Ne rien croire ou nier, mais voir et sentir par soi même.
Quelle ravissement Regard...Tom54 a écrit :Je viens de passer une après midi magnifique.
Un barbecue encore.
Les gens un peu saoul comme d'habitude.
J'ai parlé avec ceux qui venaient me voir de temps en temps.
Plus ils buvaient moins le "moi" avait d'emprise, plus de bouclier.
Jusqu'a voir un tout petit "moi".
Il n'y avait plus ces parasites derrière lesquels on se cache.
Une mise a nu.
Je l'écoutais me parler, je voyais cette petite conscience, cette étincelle de vie si précieuse.
Amour et souffrance...
magnifique.
je ne suis pas le seul a avoir tronqué ma peur contre la grâce.
Une infini grâce d'être simplement moi.
La grâce est-elle ce qui reste au-delà de tout ?
Au-delà de l'expérience spirituel au-delà de soi ?
Comme je l'ai déjà dit quoi qu'il se passe ici ou ailleurs cela ne devrait jamais être plus important que nous ici et maintenant.