Ce n'est pas nouveau qu'un maitre yogi profite de son "aura magnétique" pour séduire de jolies femmes...

ça doit même être vieux comme le monde...Sri Patabhi Jois ne fait pas exception... parce qu’un homme restera toujours un homme ! la preuve !
Sogyal Rimpoche :
En décembre 1995, le premier procès historique contre un enseignant Bouddhiste s’est résolu par une médiation. Le procès, qui avait commencé en novembre 1994, contre le Lama Sogyal Rimpoche, l’accusait d’avoir incité, pendant 19 ans, ses étudiantes à avoir des rapports sexuels avec lui, « profitant de leur vulnérabilité et de la croyance qu’elles atteindraient l’illumination en servant les besoins sexuels et autres besoins de leur maître Sogyal ». La défense de Sogyal a suggéré un règlement financier à l’amiable, accepté par les plaignantes. Même si Sogyal Rimpoche n’était pas un moine et n’avait pas fait vœu de chasteté, il est certain que la réputation d’ascétisme du bouddhisme a été considérablement amoindrie après cette affaire.
Swami Satchidananda :
Un soir de 1991, quelques anciennes disciples d’un célèbre maître de Yoga, Sri Swami Satchidananda, ont brutalement interrompu sa conférence dans un grand hôtel. « Comment pouvez-vous vous considérer comme un leader spirituel quand vous avez abusé sexuellement des femmes de votre communauté ? », l’interpelle Susan Cohen. Le sage à la barbe grise, âgé de 76 ans, assis en tailleur dans sa robe couleur safran n’a pas semblé perturbé par cette interruption. Il a même murmuré « Merci », ce qui a fait rire l’assemblée, puis a repris le cours de sa présentation sur la voie pour trouver la paix intérieure … alors que ses belligérantes quittaient la salle. Susan Cohen et Sylvia Shapiro l’accusent de les avoir forcées à une relation sexuelle alors qu’elles étaient ses secrétaires … 20 ans plus tôt.
Un des proches disciples du vieil homme pense qu’il est assez normal qu’une personne ayant des milliers d’élèves provoque des mécontents capables d’accusations infondées. Aucun procès n’a été intenté contre lui. Un journaliste l’a interrogé en privé sur ces accusations auxquelles il a répondu en disant « Elle savent que tout cela est faux. De plus, ma vie est un livre ouvert, je n’ai jamais rien caché à personne »....Bizarre...
Sri Chinmoy :
Le cas de Sri Chinmoy est étalé sur Internet. D’anciennes disciples témoignent avoir été abusées sexuellement par leur « gourou vénéré », qui (inévitablement) « avait un tout petit sexe » et « avait bien du mal à avoir une érection », d’autres parlent du fait qu’il se disait végétarien, mais aurait été surpris plusieurs fois en train de manger de la viande (« goulûment », comme dans cet exemple où le maître venu attendre une de ses disciples à l’aéroport (quand tout le reste de la littérature hostile laisse plutôt penser qu’il confierait cette tâche à quelqu’un d’autre), cette dernière arrive plus tôt que prévu et surprend donc son gourou mangeant (« comme un porc ») des morceaux de poulets en l’attendant et « très gêné » d’être découvert (il fallait donc qu’il soit à l’aéroport pour s’adonner au vice de manger du poulet alors qu’il ferait tout pour le cacher habituellement ?). Aucun procès contre Sri Chinmoy depuis toutes ces années, seulement des témoignages, souvent anonymes parce que « Sri Chinmoy les menacerait ».
Sri Chinmoy n’est pas intervenu publiquement sur ces questions et a demandé à ses adeptes de ne pas répondre à ce qui était déversé sur Internet. Sri Chinmoy est décédé le 11 octobre 2007.
Sathya Sai Baba :
Sathya Sai Baba a des millions d’adeptes dans le monde. Le chiffre exact est inconnu. Il est considéré, en Inde, comme un des sages les plus influents, un dieu vivant. Le premier ministre est un de ses fervents disciples, le chef de la police est son chauffeur. Il est réputé pour faire apparaître la cendre sacrée (Vibhuti) de ses doigts et pour ses miracles. Son ashram ne désemplit pas depuis des années. Pourtant, à l’instar de nombreux autres leaders spirituels dans le monde, et peut-être de manière plus intense encore, il est accusé d’avoir continuellement abusé sexuellement de jeunes garçons à son ashram. Les premières accusations datent de 1976, quand Tal Brooke, ancien adepte américain, écrivit « Avatar of Night ». Les allégations sont plausibles mais une explication alternative à cette rumeur est proposée par un adepte, Stuart Jones, qui indique que Sai Baba, au cours d’un dialogue privé ou public, masse parfois avec de l'huile certains points du corps en rapport avec des « centres d’énergie » (chakra). Carole Alderman, fondatrice de son œuvre de charité, déclare : « J’ai assisté à de nombreux miracles, j’ai vu des gens arriver sur des chaises roulantes et repartir en marchant. Je l’ai vu matérialiser toutes sortes de choses de nulle part, plusieurs fois par jour. J’ai pu constater qu’il savait tout. Pourquoi ma parole serait-elle moins vraie que la leur ? » et quand on l’interroge sur les accusations sexuelles, elle répond : « C’est sans fondement, tous ceux qui le connaissent le savent ». Bien que ces accusations circulent depuis plus de trente ans, Sai Baba n’a jamais été accusé officiellement et n’a jamais été appelé à comparaître en justice en Inde.