Edward Jessup, chercheur anthropologue à l'Université de Cornell, tente de comprendre les origines communes de l'apparition de la vie, et c'est en faisant des séances dans un caisson d'isolation sensorielle combiné avec l'absorption d'hallucinogènes qu'il s'est procuré chez des indigènes mexicains qu'il va découvrir via des fantasmes liés à son enfance et sa relation amoureuse, son identité. Au-delà de sa propre identité, il découvre que l'origine de l'univers entier, de la matière avant même la vie, est inscrit dans notre ADN, dans nos propres gènes est inscrite la mémoire de l'univers, du "big bang". Tout est en chacun de nous. C'est entièrement métamorphosé qu'il ressurgira de cet univers.
je ne sais pas si vous avez eu l'occasion de le voir, mais en tous cas, il est visuellement étonnant, et son message n'est pas si délirant que cela puisque, dans certains états de conscience modifiée, on peut effectivement avoir des expériences similaires
l'être humain n'est plus alors qu'un assemblage de cellules dont certaines porteuses de mémoire ancestrale, qui ont presque l'âge de l'univers, et a la lueur de sa faible ou forte conscience, suivant, il poursuit le voyage de cet univers