Feuilletant un peu l'ouvrage, assez connu, de Baird T. Spalding, appelée "La Vie des maîtres" pour sa traduction française (faciles à trouver dans une librairie, puisque, de nos jours, ils ont une couverture rouge, les ouvrages de cette collection),
Vla t'y pas que je lis à longueur de livre, présentant de constants parallèles d'avec la vie d'un certain "jésus" (désolé, j'ignores complètement le nom de cet homme en VO araméenne, et en plus, ça ne m'intéresse pas, surtout vu le reste du développement de ce post), que la portion de la philosophie* qui est attaché à ses enseignement qui nous est survivante à l'époque actuelle܍ n'est pas suffisemment développée/collant avec la réalité dans laquelle on vit pour que les Siddhis présentés au fur et à mesure du récit ne soient tout simplement pas atteignables par les adeptes du Dharma Chrétien ...
Ceci dit, mon point est tout autre, mais un peu en lien, aussi, avec les véléïtés "universalistes" du christiannisme. Le pommier, le serpent, ou d'autres symboles sont t'ils même présents partout sur notre planète ? Non. Les arbres de vie sont même sensbilement différents selon l'endroit de notre planète ou l'on se trouve (en Antarctique, ou dans les endroits où survivent encore des neiges "éternelles", existes t'il même le moindre arbre, ou fruit ? ... et, d'ailleurs, le Mt des oliviers ou autre Mt Sinaï existent t'ils ailleurs qu'aux alentours de la présente Palestine؞ ? Non.). Partant de là, il ne me semble complètement fou de prétendre vouloir étendre la chose au simple système solaire, et encore moins à notre présente galaxie ... l'argument est encore aussi valable, me semble-il pour les descendants de la tribu de Moshe, qui a quand même, pour rappel, refusé les premières révélations qui lui on été faites du haut d'une (petite) montagne ...
( * ) : en tenant compte de l'étymologie grecque du mot; merci de pas confondre
( ܍ ) : le livre ayant été écrit aux alentours du début XXVième siècle après Siddharta, il traîne plus ou moins dans la même époque, du moins de mon point de vue
( ؞ ) : dont je ne suis pas entièrement convaincu que la grosse puissance militaire régionale placée juste à côté reconnaisse pleinement l'existance, ou même la Souveraineté, inviolabilité territoriale comprise ...
PresqueSousScript : si quelque lecteur passant par ici n'est pas d'accord, il a la liberté de (s'enregistrer auprès de Denis, puis) apporter quelques arguments qui tiennent plus la route qu'une variante ignorante de "mais c'est la seule religion", ou autres choses pas vérifiables.
Ajout : posté aussi sous l'influence d'une citation d'un certain Benoît Ratzinger, qui disait que les amérindiens attendaient impatiemment la venue du catholicisme ... ce qui m'a tout de suite fait songer aux récents incendies gigantesques en Amazonie brésilienne, peut-être causé par des gens suivant aveuglément les discours de son boulot d'avant sa retraîte anticipée (il est aussi possible que les incendies en question aient pour origine réelle une tentative d'application d'une préconnisation, à mon sens complètement ubuesque de l'ONU, disant entre autres que tout les 8 à 9 milliards d'humains présents sur notre planète commune se devraient de gagner plus de N us$/jour).
Du symbolisme "universel"
Modérateur : Modérateurs
Re: Du symbolisme "universel"
Hello Mua Dib,
Ayant lu tout le message j'usquà son dernier mot. Je peu seulement partager mon sentiment suite à la lecture de la vie des Maitres. Au-delà des divers Miracle quotidien durant le voyage de Blair t Splending et ses amis. Ce qui m'a marqué c est l'accent mis sur la prise de décision individuelle de metre en pratique l'enseignement pour sa libération. Ils ( les maitres) insiste sur le fait que malgré le respect et la vénération que leurs montre les habitants de ses régions Himalayenne. Trés peut avait le courage et trouvez la force de transformer leur vie . Alors ils demandaient sans cesse pourquoi ils continuaient à souffrir autant, et les maîtres leurs rappelaient sans cesse qu'il leurs revenez la décision de mettre en pratique l'enseignement .
Ayant lu tout le message j'usquà son dernier mot. Je peu seulement partager mon sentiment suite à la lecture de la vie des Maitres. Au-delà des divers Miracle quotidien durant le voyage de Blair t Splending et ses amis. Ce qui m'a marqué c est l'accent mis sur la prise de décision individuelle de metre en pratique l'enseignement pour sa libération. Ils ( les maitres) insiste sur le fait que malgré le respect et la vénération que leurs montre les habitants de ses régions Himalayenne. Trés peut avait le courage et trouvez la force de transformer leur vie . Alors ils demandaient sans cesse pourquoi ils continuaient à souffrir autant, et les maîtres leurs rappelaient sans cesse qu'il leurs revenez la décision de mettre en pratique l'enseignement .
Le vent soufle, la neige tombe. Je suis en vie.
Re: Du symbolisme "universel"
Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris le sujet de ce post, mais je crois que c'est le symbolisme des objets, végétaux et animaux des textes religieux ?
Si c'est le cas, c'est un sujet immensément vaste !
On pourrait commencer par l'arbre : déjà il y a tellement à dire !
L'arbre est pour moi un symbole fort de la spiritualité, à lui seul il représente le constat simple d'un être vivant relié à la terre par ses racines profondes et invisibles, et au ciel par ses branches qui tendent toujours plus à atteindre la lumière. C'est pour moi l'archétype de l'humain, les pieds rivés au sol, qui représente la matérialité de l'existence, l'ancrage dans le quotidien, la vie ordinaire, terrestre ; et la tête dans les étoiles, dans ses rêveries, ses pensées, ses désirs, ses projets, et parfois le divin, ou du moins le dialogue en silence avec le divin en soi.
J'ai fait très peu de yoga, mais la posture de l'arbre est l'une de celle que je préférais, je m'y sentais bien, à la fois connectée à la terre, l'énergie vibrante de la terre, et puis aussi toute cette énergie du ciel captée par les feuilles de l'arbre, cette fragilité extrême de la branche qui se casse si un coup de vent souffle trop fort, et cette résilience de l'arbre, sa capacité à rebondir toujours, à cicatriser ses plaies. Et la symbiose que l'arbre entretient avec les oiseaux, les fourmis, les abeilles sauvages qui viennent se nicher dans un trou laissé par une grosse branche déchue... et la vie repart, autrement. Certains donnent des fruits, la plupart d'entre eux certainement, fruits qui se répandent en abondance, en une si grande abondance que même l'avidité des oiseaux, des insectes et des hommes ne suffisent pas à épuiser la source, et il en est toujours qui tombent au pieds de l'arbre, et nourrissent la terre.
Si c'est le cas, c'est un sujet immensément vaste !
On pourrait commencer par l'arbre : déjà il y a tellement à dire !
L'arbre est pour moi un symbole fort de la spiritualité, à lui seul il représente le constat simple d'un être vivant relié à la terre par ses racines profondes et invisibles, et au ciel par ses branches qui tendent toujours plus à atteindre la lumière. C'est pour moi l'archétype de l'humain, les pieds rivés au sol, qui représente la matérialité de l'existence, l'ancrage dans le quotidien, la vie ordinaire, terrestre ; et la tête dans les étoiles, dans ses rêveries, ses pensées, ses désirs, ses projets, et parfois le divin, ou du moins le dialogue en silence avec le divin en soi.
J'ai fait très peu de yoga, mais la posture de l'arbre est l'une de celle que je préférais, je m'y sentais bien, à la fois connectée à la terre, l'énergie vibrante de la terre, et puis aussi toute cette énergie du ciel captée par les feuilles de l'arbre, cette fragilité extrême de la branche qui se casse si un coup de vent souffle trop fort, et cette résilience de l'arbre, sa capacité à rebondir toujours, à cicatriser ses plaies. Et la symbiose que l'arbre entretient avec les oiseaux, les fourmis, les abeilles sauvages qui viennent se nicher dans un trou laissé par une grosse branche déchue... et la vie repart, autrement. Certains donnent des fruits, la plupart d'entre eux certainement, fruits qui se répandent en abondance, en une si grande abondance que même l'avidité des oiseaux, des insectes et des hommes ne suffisent pas à épuiser la source, et il en est toujours qui tombent au pieds de l'arbre, et nourrissent la terre.