Yog a écrit:
En risque de partir d'une projection mentale préétablie qui définit plus ou moins Dieu.
On peut aussi ne pas mettre en doute son existence sans pour cela établir une projection mentale
Toute lecture peut devenir une source d'enseignement, mais ça ne veut pas dire que l'auteur en avait conscience et parfois ça se fait même à ses dépens.
Comme je l’ai dit à Denis je ne suis pas en mesure d’affirmer ou d’infirmer car je ne l’ai connu que grâce à son livre les secrets de l’aura et que son enseignement sur l’explication du corps astral m’a sauvé. Au sens propre du mot.
L'esprit cartésien est finalement basé sur le doute et a fondé le futur esprit scientifique.
J’ai eut la chance de connaître de lui que son travail sur l’existence de l’être.
Voici comment en ce qui me concerne j’ai débutée ma quête spirituelle.
Extrait de mon témoignage sur le sens de l’existence:
Comme beaucoup d’émigrés de Tunisie, mes parents pour échapper à la pauvreté, tentèrent en 1963 l’aventure de l’immigration, en nous installant en France en région parisienne.
Leur intégration se fit sans difficulté. Motivés par l’espoir d’un avenir meilleur qui se profilait à l’horizon, ils pouvaient parler d’avenir sans avoir peur de demain.
Une fois insérée, dans cette nouvelle vie, prometteuse de paix ils se rendirent, compte par la suite de la difficulté à reformer leur espace spirituel.
Comme tous les expatriés, ils durent composer pour alimenter leur flamme, dans un pays, qui conjugue, une religion, qui diffère de la leur.
Comment inculquer le culte musulman, quand le pays d’accueil, se réfère à une autre doctrine.
Du haut de mes sept ans je ne possédais pas la mesure de percevoir leurs difficultés. J’étais animée par l’intérêt de connaître les use et les coutumes de ce peuple au contour, affable.
Mes pas, m’entraînèrent vers l’église de notre ville. Je poussais la grande porte en bois qui n’était pas fermée. J'étais en léthargie, face à ce que je vis.
Avec une sensation de crainte et de curiosité, prudemment j’avançais dans cette grande salle, au plafond creux, sa hauteur majestueuse, imagé de peinture, de l’humanité, d’un autre temps.
Je vis à ma droite, une imposante icône, celle d’une mère d’un grand charme, tenant dans ses bras un enfant, posés sur le sol à ses pieds, des cierges allumés.
A ma gauche, un autre buste, celui d’une femme à la silhouette plus jeune, ayant entre ses mains une rose rouge et un chapelet.
Tout en continuant d’errer mon regard, mes yeux se fixèrent sur l’autel, séduisant, accroché au mur, une statue, celle d’un homme crucifié.
Malgré la peur, que j’éprouvais à cet instant, je trouvais le courage de courir vers la porte. Cette nuit là, je ne pus pénétrer le sommeil. Dans mon lit, j’étais paralysée par la vision d’horreur.
Dès que je fermais les yeux, je revoyais sa souffrance dessinée avec soins. Des plaies ouvertes à l’endroit de son noble cœur, des épines en fer tressé comme une couronne, fixée sur sa tête. Le sang qui suintait sur son visage, ce diagramme d’effroi, m’envahit littéralement.
J’avais besoin pour continuer de vivre, de savoir qui était cet homme châtié. Je débutais ainsi sans le savoir ma quête vers notre Concepteur. (On dit bien que les desseins de Dieu, sont impénétrables.)
J’étais plus motivée par mes tâtonnements sur le culte catholique, que par mon enseignement scolaire, relégué au second plan.
J’avais l'empreinte robuste d’une soif incessante, marchant dans le désert, avec le soleil du jour qui m’embrasait à chaque instant, et le ciré hostile de la nuit, qui m’assénait le corps.
Une sensation étrange m’envahit. Sans pouvoir la revêtir d’expressions, par manque d'essai. J’essayais de trouver des explications, afin de trouver ma stabilité spirituelle brisée par ma découverte.
C’est ainsi qu’en allant vers l’exploration de ce peuple accueillant, je repérais au cours d’une flânerie dans un vide grenier, un livre qui devint mon outil d’inspiration.
Il relatait l’autobiographie de Thérèse de Lisieux. Ce consigné qui ce laissait lire, me fit approcher une dimension nouvelle, l’univers inhabituel d’un être exceptionnel.
Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sens.
L’exprimé décrit avec une nitescence brillante, comment après son frère, qui était entré dans les ordres, elle fut touchée, à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par son complice, vers le manifeste astral.
Elle adjura, ses parents de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.
Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l’avaient fait de leur fils, pour qu’elle accomplisse, la volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela avait être pour eux ?)
Dans la sérénité, elle abandonna, les aisances, aux quelles elle était habituée, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée, de l’attachement de l’Impérissable.
La petite fille que j’étais, ne put traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une vie de privation et de chagrin. A l’inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions, et les privations (pour faire partie de ma vie.)
La seule chose qui me rapprochait d’elle, c’était le dévouement constant, du Versant Inconditionnel véhiculant sa vie.
J’entrais dans le Macrocosme de l’éphèbe, avec ces morosités, qui étaient mon lot quotidien,
par les adversités imposées par mère nature.Ne pouvant en parler à personne, je me référais à sa Passion, pour qu’il me donne le courage, et la force nécessaire pour braver ce que je dois comparer.
Je prenais conscience, que malgré l’éclat de l’espérance, qui brûlait en moi. J’ignorais cette sensation d’amour. J’aspirais à une forme ardente incontrôlable, de séquestrer l’émotion, qui la transcende, pour l’Impérissable.
Le soir, je la priais, pour me faire respirer l'exaltation qu’elle montrait pour le Condescendant et Jésus.
Plus tard je pris conscience d’un adage que je ne pus récuser, elle avait entendu mes implorations en faisant plus que le vœu enflammé, qui m’habitait en pansant mes blessures.
Elle me guidait en inspirant chacune de mes impulsions, elle m’empêchait de prendre une voie spirituelle, qui m’aurait conduit fatalement vers une mort certaine.
Elle me révélait les vertus des adversités, me confiait la souffrance de Jésus, comment il réagit à chaque coup de fouet donné par ses tortionnaires, il demanda au Père de leur pardonner.
Je sondais le sens caché des tribulations douloureuses sur l’unité corporelle.
Sans le savoir, rien que par cette simple application, je provoquais mon premier pas vers un monde sibyllin.
Mon alliée me prodigua pendant des années, la véritable notion de la vie. Plus tard je saisis mieux certaines choses, sur l’avéré but, de la peine sur l'uniformité sensible.
Son soutien et sa patience, m’ont permis d’introduire une union avec mon être. Son sens de l’existence reflétait une évolution, qui traduisait une instruction, et une destinée, qui fédérait dans l’harmonie de la flamme Radieuse.
Des âmes comme Thérèse, je n’en connaissais pas. Son serment, indivisible, reposait uniquement pour la prédilection de Dieu.
Elle m’a attribué un précepte, que je n’aurais jamais cru possible si je n’en avais pas fait l’expérience. Ma variation se déroulait entre mes investigations et les besoins, de ma vie de tous les jours.
C’était de cette façon, que j’apprenais à errer dans cette excellence mystérieuse et désertée.
Il était trop tôt, pour que je me rendisse compte, que le simple fait d’avoir ouvert une porte allait m’entraîner, vers des essais qui sortait de l’ordinaire.
Au fil du temps les questions s’accumulaient formant une spirale, qui me maintenait vigoureusement prisonnière. Je ne possédais qu’une seule option, repérer les contestations de ceux qui m’affligeaient, et affectaient mon évolution normale.
D’après ce que j’ai emmurées, les interrogations, virevolte autour d’un seul sujet, trouver la notion cachée des désolations.
L’impression bizarre m’entraînait vers une observation, du pouvoir des tribulations que la vie nous imposait.
Ce fût dans cette disposition que j’accrochais mes vingt ans.
La sensation sur les tribulations m’entraîna dans une librairie de livre ancien j’y décelais un recueil poussiéreux.
« Le précieux recueil de l'abbé jugnio «.
Chaque page lu me conviait vers la lumière divine. J’avais du mal à y croire, il rassemblait les témoignages, de ceux qui firent de leurs existences, une recherche de soi érigé vers l'insensible.
Celui qui me tranquillisait parmi tant d’autres exprimés, fut bien évidemment, ceux révélées par sœur Thérèse, mais aussi le Bien heureux, curé d’Ars, saint François d’Assise, saint François de Paul, pour ne citer qu’eux.
Tous reflétaient la même pensée, le même souffle excité vers l’Insaisissable.
Ils ont continuèrent par leur prospection, la voie ouverte par Jésus, qui tendait vers celui qui nous attirait inlassablement avec la chaleur de son Amour.
Enfin, je partageais ce champ d'apostrophe.
Je pris l’habitude, de me référer à des écrits, qui étaient des témoignages animées par la même étincelle, qui me permutait.
Les questions s’enchaînaient l’une après l’autre. À chaque épreuve pénible, ils étaient présents, me soutenaient, afin que j’aille au bout de ce que je devais entreprendre.
Le mystère qui persistait infatigablement, c’était quel sens accorder à ce rythme désolant.
J’étais entrain de vivre une déchirure, sans être en mesure d'assigner à tout ce désordre, une explication raisonnée.
Je n’avais qu’un vœu que cela s’endigua, mais entre désirer et aptitude, il y avait un océan, que je devais parcourir pour apparaître au salut.
Ce fût ainsi que j’atteignis les indices, concédés par notre Mère Marie et Jésus. Il m’a fallu approcher leur enseignement en tentant de décoder l’exacte expression des énigmes révélées.
J’avais épuisé toute ma sève à trouver les exégèses. La seule façon, d’espérer un répit, c’était de découvrir les précisions.
Tout en faisant face simultanément aux tribulations, par les essais imposés par la vie.
Grâce à ceux qui veillaient sur moi, en m’octroyant la résistance qui me manquait. Je considérais le chemin que je devais harponner pour viser ceux qui me tracassaient.
Ce fut beaucoup plus tard avec le recul que j’arrivais à analyser mon parcours et son originalité il différait de beaucoup de mes proches ou de celui que je croisais dans mon espace.
J’étais en mesure, grâce à leur soutien précieux, de comprendre la théorie dissimulée des tribulations imposées par le spontané.
J’apprenais lors de mon apprentissage, les vertus de la fonction des vicissitudes sur l’humanité.
La peine fait partie intégrante de l’homme. L’être sans les épreuves, ne peut atteindre le Suzerain. Elle est indispensable et indissociable de sa transmutation brillante.
Elle permet tel le forgeron sans relâche de façonner et de forger la foi en son Créateur. Le fiel est un bien du Constant, il réveille à coup de semonce l’homme dans l’état de torpeur, où il se discerne, et ceci malgré lui.
Certain sont persuadés qu’il faille à défaut de voir les supplices, s’inviter dans leur demeure sacralisée, se les infliger jusqu’à l’évanouissement, dans l’espoir que cela les conduise vers le salut.
Malheureusement pour ces pauvres âmes, le mouvement du né, ne résonne pas avec cette exécution. Le calvaire ne nous touche que pour des raisons bien précises. Bien malin celui qui sait pourquoi il agit, en touchant une personne plutôt qu’une autre.
La souffrance se compare à un tuteur dont le principal privilège est de permettre à la vigne, de ne pas s’éparpiller en poussant dans tous les sens. Chaque peine subie, est un soin qui en réalité nous soigne.
Elle efface comme une gomme nos difformités. Sa fonction se fera malgré nos cris et nos larmes. Elle ne s’arrêtera q’une fois sa tâche accomplie.
Nous devons bénir et chérir l’algie providentielle, qui nous prouve que nous sommes bien sous la protection divine, entre des mains condescendantes, dont l’intention est de nous protéger, de nous même.
Il faut y croire fermement. À ce jour, elle ne connaît pas l’échec. Notre aspiration doit se sustenter par ce sentiment de ferveur et de confiance absolue.
Les pouvoirs du Pérenne sont sans limites. Connaissant chacune de nos déficiences, il donnera à celui qui en fait la requête le temps manquant,
à la réussite, pour édifier et modifier ce qui doit l’être.
Le nombre de fois, où je priais l’Absolu, et le nombre de fois, où il est venu à mon secours, sont innombrables.
Croire que le Durable n’agit pas, est une erreur fondamentale. Il agit en exauçant chaque Ave, qui provient du cœur.
Il est vrai que la plupart du temps, ce que nous recevons, ne correspond pas à nos aspirations. Croyez-moi, cependant tout est mis en œuvre par la force de son souffle Divin en vue de notre édification future et éternelle.
Survolant mes pensées, je me surpris à méditer sur l’enseignement, que l’on me lègue généreusement dans son extraordinaire forme.
Mon Ascension dans la dimension spirituelle, me fut prodigué par des femmes et des hommes d’une grande singularité. Ils n’étaient plus de ce monde et cependant, leur enthousiasme expressif et débordant pour l’Eternel vibrait plus fort que l’humanité qui souffle.
L’instant s’évanouissait entre mes prospections, et mes découvertes, impassiblement. Ce que j’ignorais c’était le renversement qui agitait mes sens.
Avec une variante, les charades habituelles, étaient substituées, à une phrase qui revenait en boucle « Je pense donc je suis. »
La seule façon de réguler la situation pour qu’elle se cheville c’était d’en comprendre le trait scellé. Pour atteindre ce que je désirais circonvenir, Je renouais avec mes études, sur ce beau système, que représentait la constitution humaine.
J’amorçais à la source, en compulsant ce qui traitait la pédagogie, la psychologie enfantine et adulte, la philosophie et la spiritualité.
Après ces dégrossissages éternels, sur le fonctionnement de l’homme, Je connus à nouveau la phase de la concentration. Je me consacrais sur les indices, révélés par Jésus, et au choix du temps, celui de l’aube de la connaissance de l’humanité.
Pendant la prospection, un poème célèbre, utilisé par la résistance, fit irruption en s’implantant sans y être interpellé, par mes idées.
Je me surpris récitant à haute voix « les sanglots longs, de l’automne, berce mon cœur, d’une lenteur monotone. »
Les expériences antécédentes, m’avaient appris à faire confiance à mon invisible. Jusqu’à aujourd'hui, il n’a pas connu de déconvenue avec l’enseignement qu’il me procure.
Je spéculais, sur le point commun, qui existait entre le poème, et les indices que j’explorais.
Une idée farfelue m’invita à me désintéresser, sur des signes, et à me connecter au but recherché c’était là que se situait peut être le résultat, entre les deux.
Les partisans informaient par radio, sous forme de poème codé, les résistants sur les Allemands.
Une sensation bizarre, me fît présumer, que j’étais sur la bonne voie.
Plusieurs jours de recherche et de prières accès sur sa venue à cette époque précise, plutôt qu’une autre me trouble.
Sans résultat crédible, et épuisée, je suspendais temporairement mon activité.
Cette nuit là, j’eus une projection de Jésus, sur la croix s’adressant à Dieu.
Il lui demandait de pardonner à ses bourreaux, car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient. L’intuition reçue dans mon assoupissement me perturba plus, qu’elle me procura d’éclaircissement. Une fois encore j’entrevoyais un mur, sans possibilité de l’esquiver.
L énoncé entendu, me choquait !
Comment devais-je l’interpréter ?
Ce que j’explorais ne se trouvais pas dans notre histoire, mais dans nos origines. C’était une sensation étrange, que de ressentir, que l’on se rapprochait du résultat adulé, sans possibilité de le saisir.
Reprenant courage, je m’érigeais au hasard de mon périple, laissant mon invisible me bâtir un autre exercice, prendre racine dans ma raison. Je bifurquai alors vers la culture bouddhiste, sur l’énergie dite positive et négative.
Obéissante, je posais mes interrogations tout en m’approchant de la
nouvelle attention. J’escomptais glaner des éclaircissements, susceptibles d’éclairer les énigmes exposées.
En allant à la rencontre de l’espérance, j’observais contrairement à ce qu’elle manifestait, il ne s’agissais nullement d’un culte. En réalité il masquait une méthodologie, qui représente la clé précieuse.
Elle était attribuée par l’Impérissable, pour accorder à l’unité dans son discernement de prospection, l’édification selon son vœu irrésistible.
Une clairvoyance m’envahit, sans que je puisse la maîtriser, m’agrippa d’une vérité criante, par la puissance exemplaire de l’origine de la création, et de sa présence dans le monde qui nous environnait.
Ceci est un extrait de mon témoignage que je lègue pour mes enfants et mes petits enfants sur ma perception du monde.
Si vous le souhaitez toujours je serai ravi de continuer ce dialogue. Je vous souhaite une bonne lecture, j'espère que l'extrait n'est pas trop long.