qui suis je , de Jean Klein
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qui suis je , de Jean Klein
J'ai acheté ce livre un peu par hasard
Quelque soit ce qu'on pense de Jean Klein, ce livre n'est pas inintéressant car il apporte beaucoup de réflexion et d'éclairage sur la notion de progrès spirituel, sur le Soi, sur les écueils du mental et de Ahamkaram
ce n'est peut être pas le livre le plus spirituel que j'ai lu ces derniers temps, mais ce genre de livre qui rajoute un quelque chose à la compréhension d'autres choses
c'est un livre " utile" plus que " spirituel" car il ramène toujours tout à cette notion du Soi qui observe tout ce qui se passe sur l'écran
je n'étais pas très emballée au début, et à présent, j'en suis à annoter de très nombreuses pages parce que je trouve cela vraiment intéressant
Quelque soit ce qu'on pense de Jean Klein, ce livre n'est pas inintéressant car il apporte beaucoup de réflexion et d'éclairage sur la notion de progrès spirituel, sur le Soi, sur les écueils du mental et de Ahamkaram
ce n'est peut être pas le livre le plus spirituel que j'ai lu ces derniers temps, mais ce genre de livre qui rajoute un quelque chose à la compréhension d'autres choses
c'est un livre " utile" plus que " spirituel" car il ramène toujours tout à cette notion du Soi qui observe tout ce qui se passe sur l'écran
je n'étais pas très emballée au début, et à présent, j'en suis à annoter de très nombreuses pages parce que je trouve cela vraiment intéressant
- Denis
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Re: qui suis je , de Jean Klein
Merci Shana !!
Il semble que ce fut un grand Monsieur du Yoga...
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Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Re: qui suis je , de Jean Klein
quelques passages - Le livre est rédigé comme un dialogue entre Klein et des gens lui posant des questions
être quelqu'un
p 44
" avec la disparition de l'habitude d'être quelqu'un faisant quelque chose, seule l'attention nue demeure et à sa lumière le fonctionnement de la projection se montre clairement. Le mental retrouve alors sa sensibilité, sa flexibilité naturelles et simultanément nous nous sentons libres par rapport à notre environnement."
la conscience
p49
" l'ego n'a pas de caractère concret, ni substance, ni continuité; ce n'est qu'une collection de pensées maintenues ensemble par la mémoire; la personne n'apparaît que lorsque vous y pensez; quand le corps se réveille le matin, la conscience est déjà là; cette conscience n'est ni un sujet, ni une pensée, ni une sensation; elle ne peut se concrétiser; quelques instants après ce réveil, l'habitude associe la conscience avec un corps et une personnalité, alors vous dites : je suis ceci, cela"
le détachement
p 59
"soyez attentif à ce que l'observation reste purement fonctionnelle; on a souvent le réflexe de prendre une attitude de détachement; ce fossé psychologique n'a rien à voir avec le fait d'être le témoin. Cette distanciation est l'oeuvre de l'image de soi; c'est encore une réaction. L'observation sans réaction ne peut jamais être une pensée. Elle n'a rien à voir avec le processus analytique. Elle passe par un tout autre canal, et la conclusion est instantanée"
et aussi p 87 à propos de la mort
"l'art de dormir et l'art de mourir sont du même ordre; avant le sommeil, vous pouvez parvenir à un abandon conscient; c'est la même chose avec la dissolution de ce qui est né. Vous devriez être ouvert à l 'abandon naturel avant de vous endormir; familiarisez vous d'abord avec cela, et ensuite vous serez sciemment dans le lâcher prise à l'état de veille; c'est le sens réel du mot mort et du mot sacrifice"
toujours par rapport à la conscience p 109
" dans l'attention ouverte la cible est introduite dans la conscience. Lorsqu'il y a quelqu'un essayant de faire quelque chose, il y a séparation"
p 122
" nous sommes éduqués pour expérimenter, pour regarder avec un projet, mais nous devons explorer la possibilité, la vie en tant que non-expérience"
être quelqu'un
p 44
" avec la disparition de l'habitude d'être quelqu'un faisant quelque chose, seule l'attention nue demeure et à sa lumière le fonctionnement de la projection se montre clairement. Le mental retrouve alors sa sensibilité, sa flexibilité naturelles et simultanément nous nous sentons libres par rapport à notre environnement."
la conscience
p49
" l'ego n'a pas de caractère concret, ni substance, ni continuité; ce n'est qu'une collection de pensées maintenues ensemble par la mémoire; la personne n'apparaît que lorsque vous y pensez; quand le corps se réveille le matin, la conscience est déjà là; cette conscience n'est ni un sujet, ni une pensée, ni une sensation; elle ne peut se concrétiser; quelques instants après ce réveil, l'habitude associe la conscience avec un corps et une personnalité, alors vous dites : je suis ceci, cela"
le détachement
p 59
"soyez attentif à ce que l'observation reste purement fonctionnelle; on a souvent le réflexe de prendre une attitude de détachement; ce fossé psychologique n'a rien à voir avec le fait d'être le témoin. Cette distanciation est l'oeuvre de l'image de soi; c'est encore une réaction. L'observation sans réaction ne peut jamais être une pensée. Elle n'a rien à voir avec le processus analytique. Elle passe par un tout autre canal, et la conclusion est instantanée"
et aussi p 87 à propos de la mort
"l'art de dormir et l'art de mourir sont du même ordre; avant le sommeil, vous pouvez parvenir à un abandon conscient; c'est la même chose avec la dissolution de ce qui est né. Vous devriez être ouvert à l 'abandon naturel avant de vous endormir; familiarisez vous d'abord avec cela, et ensuite vous serez sciemment dans le lâcher prise à l'état de veille; c'est le sens réel du mot mort et du mot sacrifice"
toujours par rapport à la conscience p 109
" dans l'attention ouverte la cible est introduite dans la conscience. Lorsqu'il y a quelqu'un essayant de faire quelque chose, il y a séparation"
p 122
" nous sommes éduqués pour expérimenter, pour regarder avec un projet, mais nous devons explorer la possibilité, la vie en tant que non-expérience"
Re: qui suis je , de Jean Klein
Merci Shana pour ce partage
- Denis
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Re: qui suis je , de Jean Klein
je pense qu'il y a une coquille dans la phrase "de la projection de montre clairement.", peux tu donner le bon mot, merci !" avec la disparition de l'habitude d'être quelqu'un faisant quelque chose, seule l'attention nue demeure et à sa lumière le fonctionnement de la projection de montre clairement. Le mental retrouve alors sa sensibilité, sa flexibilité naturelles et simultanément nous nous sentons libres par rapport à notre environnement."
Sinon, c'est vraiment très bien !!!
Simple et précis
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Re: qui suis je , de Jean Klein
Il faut lire " se montre " je corrige dans le post lui même