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Tya

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Message par Tya » 04 févr. 2007, 12:52

Modifié en dernier par Tya le 10 févr. 2007, 14:44, modifié 1 fois.
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Denis
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Message par Denis » 04 févr. 2007, 20:20

Bonjour Tya, Bienvenue !!!

Merci pour ta présentation qui a une belle lumière, on ressent ta sincérité...

Jiame beaucoup ta phrase :
Tya a écrit :nous devons atteindre un niveau spirituel qui nous permet de ne plus douter du doig majestieux de Dieu.
Et je me retrouve dans ta quête :
Ma recherche est une interminable analyse réalisée par des observations et des études sur la compréhension de soi.
Bien à toi

Denis
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Tya

le corps astral

Message par Tya » 04 févr. 2007, 20:43

Denis bonsoir,

Je te remercie pour la confiance que tu me portes, tu es la seconde personne qui parle de Lobsang Rampa comme un imposteur.

Je ne peux affirmer ou infirmer ton propos car je ne le connais pas. Il m’a apporté un moment où je croyais que je touchais les abîmes une main secourable. (par simple curiosité peux tu m'en dire un peu plus sur l'imposture en question).

Comme je l’ai dit dans mon message je ne suis pas d’accord avec le reste de son récit car par la suite mes études sur l’énergie mon confirmées que la matière ne contrôle pas l’anti-matière (l’énergie).

Comment aujourd’hui je suis-je dirai que je rend grâce à Dieu chaque jour pour son enseignement car si il m’a permis d’avoir une stabilité spirituelle et surtout je me trouve dans uns un niveau spirituel qui diffère de ceux que j’ai traversée et qui m’ont troublée, choquée et pour finir marqué par le sceau divin.

Dieu nous a fait un don plus que merveilleux il n’y a pas de mots pour décrire le destin qui attends celui qui est animé par une volonté qui l’attire vers son Créateur je reste à ce jour éblouit par le mécanisme qui nous conduit vers la vie éternel à ce jour la seul personne qui est parvenu à un niveau spirituel élevé n’est pas encore reconnu par l’humanité c’est monsieur René Descartes. Il a élevé son édification à celle d’un être.

Nous sommes persuadé avoir une âme un être alors qu’on réalité l’histoire est tout autre je le dis par rapport aux recherches que j’ai effectue depuis l’âge de 7 ans j’en ai aujourd’hui 51 ans. Ils m’ont permis de rejoindre les travaux de l’être et de découvrir par la suite l’impensable. :D
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Denis
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Message par Denis » 04 févr. 2007, 21:00

Pour Lobsang rampa, le Tibet ne le reconnait pas comme un tibétain...
Pour ses travaux sur le voyage astral, je crois qu'ils sont assez bon et permettent de voir une explication simple...


Oui, bien d'accord avec toi :
je reste à ce jour éblouit par le mécanisme qui nous conduit vers la vie éternelle
Pour ce qui est de dire que Descartes est le seul à être parvenu à niveau spirituel, je crois que c'est vraiment reducteur...
De tout temps et de partout dans le monde des gens ont atteind de très belles choses...
à ce jour la seul personne qui est parvenu à un niveau spirituel élevé n’est pas encore reconnu par l’humanité c’est monsieur René Descartes. Il a élevé son édification à celle d’un être
Pour ce qui est d'être persuadé d'avoir une ame ou un être (ce qui ne mesemble pas du tout la même chose, je crois que nous touchons là un concept profond qui ne peut être vu par une simple idée.
Beaucoup de religions se battent sur l'idée, l'être est il unique pour nous tous, ou nous possédons tous un être unitaire....
Nous sommes persuadé avoir une âme un être alors qu’on réalité l’histoire est tout autre je le dis par rapport aux recherches que j’ai effectue depuis l’âge de 7 ans j’en ai aujourd’hui 51 ans.
Vaste question, qui plonge les hommes dans des recherches complétements différentes des le départ...
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le corps astral

Message par Tya » 04 févr. 2007, 21:15

Pour Lobsang rampa, le Tibet ne le reconnaît pas comme un tibétain...
Pour ses travaux sur le voyage astral, je crois qu'ils sont assez bon et permettent de voir une explication simple...


Je ne remets pas leur savoir en doute. Je crois qu’il n’ont pas apprécié le livre les secrets de l’aura car il révèle le corps astral.

Même si il est vrai que par la suite je me suis éloignée de son travail il a tout de même permis à des personne comme moi de faire connaissance de façon plus intense avec la découverte de ce qui ce fait à mon insu pour cela je lui suis redevable.

Pour ce qui est de dire que Descartes est le seul à être parvenu à niveau spirituel, je crois que c'est vraiment reducteur...
De tout temps et de partout dans le monde des gens ont atteind de très belles choses... vous prêchez un convaincu je parle essentiellement de sa démarche dans l’édification de son être.


(ce qui ne mesemble pas du tout la même chose, je crois que nous touchons là un concept profond qui ne peut être vu par une simple idée. Je te rejoint l’être et l’âme sont deux choses différentes.

Beaucoup de religions se battent sur l'idée, l'être est il unique pour nous tous, ou nous possédons tous un être unitaire....
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Message par Denis » 04 févr. 2007, 22:34

Ton post est incompréhensible, il te faut lire et appliquer ce qui est dans cette aide... :wink:

http://www.pratique-du-yoga.com/forum/v ... .php?t=442
Modifié en dernier par Denis le 05 févr. 2007, 08:38, modifié 1 fois.
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Message par Yog » 04 févr. 2007, 23:42

Descartes a mené des travaux sur la circulation sanguine qui ont été complètement faux. De plus, Descartes, en considérant les animaux comme des êtres sans âmes et surtout comme des machines ne pouvant pas souffrir, a ouvert la porte à une systématisation de la souffrance animale. Donc, personnellement, je suis obligé de dire que je ne porte pas Descartes dans mon coeur et je ne le considère pas comme un être particulièrement élevé.

Quant à Rampa, c'est un charlatan. Il était plombier fauché et s'est mis à écrire des livres qui ont eu un franc succès commercial. Il a fini avec des procès sur le dos, pour avoir recommandé à des personnes de ne pas suivre des traitements médicaux. Quant à ses techniques du voyage astral, elles ne sont pas très au point et il y a de biens meilleurs auteurs sur le sujet.
Je crois qu’il n’ont pas apprécié le livre les secrets de l’aura car il révèle le corps astral.
Si je me souviens bien, le terme de corps astral était déjà évoqué bien avant Rampa, dans les milieux bourgeois ésotéristes du XIXème S.

Bienvenue à toi Tya. J'espère que tu prendras beaucoup de plaisir à venir sur ce forum. :)
Tya

Message par Tya » 05 févr. 2007, 10:09

Bonjour Denis


Denis a écrit :
Pour ce qui est de dire que Descartes est le seul à être parvenu à niveau spirituel, je crois que c'est vraiment reducteur...
De tout temps et de partout dans le monde des gens ont atteind de très belles choses...
Je me suis mal exprimée je vais donc reprendre mon message, ce que je voulais dire n'est pas réducteur il sous entend par rapport aux recherches qu'il a fait une découverte sur l'existence de son être par rapport aux cheminement des travaux réalisé dans sa quête. ses travaux lui ont permis de faire le constat de l'existence de Dieu .

C'est ce constat qu'il a voullu rendre public par ses travaux d'un Dieu créateur du monde et de l'univers. Il c'est prouvé à lui-même l'existence divine. Par sa quête.

La liste serai interminable pour citer toutes celle et tous ceux qui ont fait de leur existence un don ç Dieu.

Hereusement grâce au ciel de nombreuses personnes chaque jour font et découvre de grandes et belles choses. Le dernier nottament est partis il n'y a pas si longtemps je pense à l"abbé Pierre.
Tya

Re: parlez nous de votre pratique

Message par Tya » 05 févr. 2007, 11:28

Yog a écrit :
Descartes a mené des travaux sur la circulation sanguine qui ont été complètement faux.
Je ne cherche pas à faire de polémique sur les travaux de Descartes.

Je ne connais pas tous les travaux de l’homme mais uniquement ceux que j’ai rejoint par mon cheminement spirituel. Si vous le permettez je serai en mesure dans les détails d’expliquer pourquoi mes travaux m’on permis d’atteindre les siens, je ne dis pas qu’il est un saint mais qu’il a découvert l’existence de l’être à mon sens c’est la pire chose qui puisse arriver à un cartésien.

Il y a une différence entre croire en Dieu et chercher Dieu.

Par ailleurs au moment ou j’ai commencé ma quête j’avais 7 ans à ce moment je ne connaissais pas Descartes, ni Losbong je ne cherche pas à faire leur procès mais témoigner d’une vérité qu’ils ont chacun à sa manière permis que je continue dans mon évolution de ceci je leur suis redevable.

L’être perçu par Descartes représente ce que j’ai aussi découvert et qui a permis à l’aboutissement de cette étude je suis en mesure de dire qu’on réalité ce qu’il a découvert n’a pas l’être mais une unité squelettique du futur être.

Je serai ravi que vous me donniez le temps de faire avec vous le cheminement pourquoi je dis unité squelettique avec certitude.
Yog

Message par Yog » 05 févr. 2007, 12:43

Je ne cherche pas à faire de polémique sur les travaux de Descartes.

Je ne connais pas tous les travaux de l’homme mais uniquement ceux que j’ai rejoint par mon cheminement spirituel. Si vous le permettez je serai en mesure dans les détails d’expliquer pourquoi mes travaux m’on permis d’atteindre les siens, je ne dis pas qu’il est un saint mais qu’il a découvert l’existence de l’être à mon sens c’est la pire chose qui puisse arriver à un cartésien.
Je ne cherche pas non à plus à polémiquer, juste à équilibrer les choses afin que tous les éléments soient présents, lorsqu'il est question de Descartes. L'esprit cartésien est finalement basé sur le doute et a fondé le futur esprit scientifique. Malheureusement, à vouloir aller trop dans l'intellect, le coeur a été mis de côté, ce qui a donné des abérrations au niveau de sa conception de la condition animale.

Cogito ergo sum, je pense donc je suis, disait ce cher Descartes. Descartes met donc la pensée au premier plan et comme la manifestion de notre être. Il y a une identification de l'être au mécanisme de penser. Or, si on prend le Yoga, on m'arrêtera si je me trompe, mais la pensée est un élément faisant partie de nous, mais ne prouve pas l'être. Au contraire, le processus mental est un voile qui ne permet pas de s'identifier au Soi. Donc, à ce niveau là, je pense qu'on peut avoir déjà un fossé entre Descartes et la pensée yogique.
Sinon, je connais pas mal de chercheurs spirituels qui ont plutôt tendance à dire qu'on est lorsque la pensée se tait.
Il y a une différence entre croire en Dieu et chercher Dieu
Tout dépend. Croire en Dieu ou chercher Dieu, c'est partir du postulat de base qu'il y a existence de Dieu. Or, donc déjà ici, on risque de partir d'une projection mentale préétablie qui définit plus ou moins Dieu.
Par ailleurs au moment ou j’ai commencé ma quête j’avais 7 ans à ce moment je ne connaissais pas Descartes, ni Losbong je ne cherche pas à faire leur procès mais témoigner d’une vérité qu’ils ont chacun à sa manière permis que je continue dans mon évolution de ceci je leur suis redevable.
Toute lecture peut devenir une source d'enseignement, mais ça ne veut pas dire que l'auteur en avait conscience et parfois ça se fait même à ses dépens. Rampa est considéré par certains ésotéristes comme un grand maitre, alors qu'en réalité ce n'est qu'un imposteur. J'ai lu beaucoup de ses livres et je dois dire qu'au bout d'un moment, l'imposture commençait à transparaitre au fil des pages. Malheureusement, à une certaine époque, il n'y avait pas beaucoup de livres sur le sujet et donc Rampa a pris une place qui était libre.
Je serai ravi que vous me donniez le temps de faire avec vous le cheminement pourquoi je dis unité squelettique avec certitude.
J'en serais ravi également. :)
Tya

parlez nous de votre pratique

Message par Tya » 05 févr. 2007, 13:59

Yog a écrit:
En risque de partir d'une projection mentale préétablie qui définit plus ou moins Dieu.
On peut aussi ne pas mettre en doute son existence sans pour cela établir une projection mentale
Toute lecture peut devenir une source d'enseignement, mais ça ne veut pas dire que l'auteur en avait conscience et parfois ça se fait même à ses dépens.
Comme je l’ai dit à Denis je ne suis pas en mesure d’affirmer ou d’infirmer car je ne l’ai connu que grâce à son livre les secrets de l’aura et que son enseignement sur l’explication du corps astral m’a sauvé. Au sens propre du mot.
L'esprit cartésien est finalement basé sur le doute et a fondé le futur esprit scientifique.
J’ai eut la chance de connaître de lui que son travail sur l’existence de l’être.

Voici comment en ce qui me concerne j’ai débutée ma quête spirituelle.

Extrait de mon témoignage sur le sens de l’existence:

Comme beaucoup d’émigrés de Tunisie, mes parents pour échapper à la pauvreté, tentèrent en 1963 l’aventure de l’immigration, en nous installant en France en région parisienne.

Leur intégration se fit sans difficulté. Motivés par l’espoir d’un avenir meilleur qui se profilait à l’horizon, ils pouvaient parler d’avenir sans avoir peur de demain.

Une fois insérée, dans cette nouvelle vie, prometteuse de paix ils se rendirent, compte par la suite de la difficulté à reformer leur espace spirituel.

Comme tous les expatriés, ils durent composer pour alimenter leur flamme, dans un pays, qui conjugue, une religion, qui diffère de la leur.

Comment inculquer le culte musulman, quand le pays d’accueil, se réfère à une autre doctrine.

Du haut de mes sept ans je ne possédais pas la mesure de percevoir leurs difficultés. J’étais animée par l’intérêt de connaître les use et les coutumes de ce peuple au contour, affable.

Mes pas, m’entraînèrent vers l’église de notre ville. Je poussais la grande porte en bois qui n’était pas fermée. J'étais en léthargie, face à ce que je vis.

Avec une sensation de crainte et de curiosité, prudemment j’avançais dans cette grande salle, au plafond creux, sa hauteur majestueuse, imagé de peinture, de l’humanité, d’un autre temps.

Je vis à ma droite, une imposante icône, celle d’une mère d’un grand charme, tenant dans ses bras un enfant, posés sur le sol à ses pieds, des cierges allumés.

A ma gauche, un autre buste, celui d’une femme à la silhouette plus jeune, ayant entre ses mains une rose rouge et un chapelet.

Tout en continuant d’errer mon regard, mes yeux se fixèrent sur l’autel, séduisant, accroché au mur, une statue, celle d’un homme crucifié.

Malgré la peur, que j’éprouvais à cet instant, je trouvais le courage de courir vers la porte. Cette nuit là, je ne pus pénétrer le sommeil. Dans mon lit, j’étais paralysée par la vision d’horreur.

Dès que je fermais les yeux, je revoyais sa souffrance dessinée avec soins. Des plaies ouvertes à l’endroit de son noble cœur, des épines en fer tressé comme une couronne, fixée sur sa tête. Le sang qui suintait sur son visage, ce diagramme d’effroi, m’envahit littéralement.

J’avais besoin pour continuer de vivre, de savoir qui était cet homme châtié. Je débutais ainsi sans le savoir ma quête vers notre Concepteur. (On dit bien que les desseins de Dieu, sont impénétrables.)

J’étais plus motivée par mes tâtonnements sur le culte catholique, que par mon enseignement scolaire, relégué au second plan.

J’avais l'empreinte robuste d’une soif incessante, marchant dans le désert, avec le soleil du jour qui m’embrasait à chaque instant, et le ciré hostile de la nuit, qui m’assénait le corps.

Une sensation étrange m’envahit. Sans pouvoir la revêtir d’expressions, par manque d'essai. J’essayais de trouver des explications, afin de trouver ma stabilité spirituelle brisée par ma découverte.

C’est ainsi qu’en allant vers l’exploration de ce peuple accueillant, je repérais au cours d’une flânerie dans un vide grenier, un livre qui devint mon outil d’inspiration.

Il relatait l’autobiographie de Thérèse de Lisieux. Ce consigné qui ce laissait lire, me fit approcher une dimension nouvelle, l’univers inhabituel d’un être exceptionnel.

Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sens.

L’exprimé décrit avec une nitescence brillante, comment après son frère, qui était entré dans les ordres, elle fut touchée, à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par son complice, vers le manifeste astral.

Elle adjura, ses parents de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.

Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l’avaient fait de leur fils, pour qu’elle accomplisse, la volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela avait être pour eux ?)

Dans la sérénité, elle abandonna, les aisances, aux quelles elle était habituée, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée, de l’attachement de l’Impérissable.

La petite fille que j’étais, ne put traduire les motivations de cet être distinguée.

Elle rejeta tout le faste, pour une vie de privation et de chagrin. A l’inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions, et les privations (pour faire partie de ma vie.)

La seule chose qui me rapprochait d’elle, c’était le dévouement constant, du Versant Inconditionnel véhiculant sa vie.

J’entrais dans le Macrocosme de l’éphèbe, avec ces morosités, qui étaient mon lot quotidien, par les adversités imposées par mère nature.Ne pouvant en parler à personne, je me référais à sa Passion, pour qu’il me donne le courage, et la force nécessaire pour braver ce que je dois comparer.

Je prenais conscience, que malgré l’éclat de l’espérance, qui brûlait en moi. J’ignorais cette sensation d’amour. J’aspirais à une forme ardente incontrôlable, de séquestrer l’émotion, qui la transcende, pour l’Impérissable.

Le soir, je la priais, pour me faire respirer l'exaltation qu’elle montrait pour le Condescendant et Jésus.

Plus tard je pris conscience d’un adage que je ne pus récuser, elle avait entendu mes implorations en faisant plus que le vœu enflammé, qui m’habitait en pansant mes blessures.

Elle me guidait en inspirant chacune de mes impulsions, elle m’empêchait de prendre une voie spirituelle, qui m’aurait conduit fatalement vers une mort certaine.

Elle me révélait les vertus des adversités, me confiait la souffrance de Jésus, comment il réagit à chaque coup de fouet donné par ses tortionnaires, il demanda au Père de leur pardonner.

Je sondais le sens caché des tribulations douloureuses sur l’unité corporelle.

Sans le savoir, rien que par cette simple application, je provoquais mon premier pas vers un monde sibyllin.

Mon alliée me prodigua pendant des années, la véritable notion de la vie. Plus tard je saisis mieux certaines choses, sur l’avéré but, de la peine sur l'uniformité sensible.

Son soutien et sa patience, m’ont permis d’introduire une union avec mon être. Son sens de l’existence reflétait une évolution, qui traduisait une instruction, et une destinée, qui fédérait dans l’harmonie de la flamme Radieuse.

Des âmes comme Thérèse, je n’en connaissais pas. Son serment, indivisible, reposait uniquement pour la prédilection de Dieu.

Elle m’a attribué un précepte, que je n’aurais jamais cru possible si je n’en avais pas fait l’expérience. Ma variation se déroulait entre mes investigations et les besoins, de ma vie de tous les jours.

C’était de cette façon, que j’apprenais à errer dans cette excellence mystérieuse et désertée.

Il était trop tôt, pour que je me rendisse compte, que le simple fait d’avoir ouvert une porte allait m’entraîner, vers des essais qui sortait de l’ordinaire.

Au fil du temps les questions s’accumulaient formant une spirale, qui me maintenait vigoureusement prisonnière. Je ne possédais qu’une seule option, repérer les contestations de ceux qui m’affligeaient, et affectaient mon évolution normale.

D’après ce que j’ai emmurées, les interrogations, virevolte autour d’un seul sujet, trouver la notion cachée des désolations.

L’impression bizarre m’entraînait vers une observation, du pouvoir des tribulations que la vie nous imposait.

Ce fût dans cette disposition que j’accrochais mes vingt ans.

La sensation sur les tribulations m’entraîna dans une librairie de livre ancien j’y décelais un recueil poussiéreux.

« Le précieux recueil de l'abbé jugnio «.

Chaque page lu me conviait vers la lumière divine. J’avais du mal à y croire, il rassemblait les témoignages, de ceux qui firent de leurs existences, une recherche de soi érigé vers l'insensible.

Celui qui me tranquillisait parmi tant d’autres exprimés, fut bien évidemment, ceux révélées par sœur Thérèse, mais aussi le Bien heureux, curé d’Ars, saint François d’Assise, saint François de Paul, pour ne citer qu’eux.

Tous reflétaient la même pensée, le même souffle excité vers l’Insaisissable.

Ils ont continuèrent par leur prospection, la voie ouverte par Jésus, qui tendait vers celui qui nous attirait inlassablement avec la chaleur de son Amour.

Enfin, je partageais ce champ d'apostrophe.

Je pris l’habitude, de me référer à des écrits, qui étaient des témoignages animées par la même étincelle, qui me permutait.

Les questions s’enchaînaient l’une après l’autre. À chaque épreuve pénible, ils étaient présents, me soutenaient, afin que j’aille au bout de ce que je devais entreprendre.

Le mystère qui persistait infatigablement, c’était quel sens accorder à ce rythme désolant.

J’étais entrain de vivre une déchirure, sans être en mesure d'assigner à tout ce désordre, une explication raisonnée.

Je n’avais qu’un vœu que cela s’endigua, mais entre désirer et aptitude, il y avait un océan, que je devais parcourir pour apparaître au salut.

Ce fût ainsi que j’atteignis les indices, concédés par notre Mère Marie et Jésus. Il m’a fallu approcher leur enseignement en tentant de décoder l’exacte expression des énigmes révélées.

J’avais épuisé toute ma sève à trouver les exégèses. La seule façon, d’espérer un répit, c’était de découvrir les précisions.

Tout en faisant face simultanément aux tribulations, par les essais imposés par la vie.

Grâce à ceux qui veillaient sur moi, en m’octroyant la résistance qui me manquait. Je considérais le chemin que je devais harponner pour viser ceux qui me tracassaient.

Ce fut beaucoup plus tard avec le recul que j’arrivais à analyser mon parcours et son originalité il différait de beaucoup de mes proches ou de celui que je croisais dans mon espace.

J’étais en mesure, grâce à leur soutien précieux, de comprendre la théorie dissimulée des tribulations imposées par le spontané.

J’apprenais lors de mon apprentissage, les vertus de la fonction des vicissitudes sur l’humanité.

La peine fait partie intégrante de l’homme. L’être sans les épreuves, ne peut atteindre le Suzerain. Elle est indispensable et indissociable de sa transmutation brillante.

Elle permet tel le forgeron sans relâche de façonner et de forger la foi en son Créateur. Le fiel est un bien du Constant, il réveille à coup de semonce l’homme dans l’état de torpeur, où il se discerne, et ceci malgré lui.

Certain sont persuadés qu’il faille à défaut de voir les supplices, s’inviter dans leur demeure sacralisée, se les infliger jusqu’à l’évanouissement, dans l’espoir que cela les conduise vers le salut.

Malheureusement pour ces pauvres âmes, le mouvement du né, ne résonne pas avec cette exécution. Le calvaire ne nous touche que pour des raisons bien précises. Bien malin celui qui sait pourquoi il agit, en touchant une personne plutôt qu’une autre.

La souffrance se compare à un tuteur dont le principal privilège est de permettre à la vigne, de ne pas s’éparpiller en poussant dans tous les sens. Chaque peine subie, est un soin qui en réalité nous soigne.

Elle efface comme une gomme nos difformités. Sa fonction se fera malgré nos cris et nos larmes. Elle ne s’arrêtera q’une fois sa tâche accomplie.

Nous devons bénir et chérir l’algie providentielle, qui nous prouve que nous sommes bien sous la protection divine, entre des mains condescendantes, dont l’intention est de nous protéger, de nous même.

Il faut y croire fermement. À ce jour, elle ne connaît pas l’échec. Notre aspiration doit se sustenter par ce sentiment de ferveur et de confiance absolue.

Les pouvoirs du Pérenne sont sans limites. Connaissant chacune de nos déficiences, il donnera à celui qui en fait la requête le temps manquant,
à la réussite, pour édifier et modifier ce qui doit l’être.

Le nombre de fois, où je priais l’Absolu, et le nombre de fois, où il est venu à mon secours, sont innombrables.

Croire que le Durable n’agit pas, est une erreur fondamentale. Il agit en exauçant chaque Ave, qui provient du cœur.

Il est vrai que la plupart du temps, ce que nous recevons, ne correspond pas à nos aspirations. Croyez-moi, cependant tout est mis en œuvre par la force de son souffle Divin en vue de notre édification future et éternelle.

Survolant mes pensées, je me surpris à méditer sur l’enseignement, que l’on me lègue généreusement dans son extraordinaire forme.

Mon Ascension dans la dimension spirituelle, me fut prodigué par des femmes et des hommes d’une grande singularité. Ils n’étaient plus de ce monde et cependant, leur enthousiasme expressif et débordant pour l’Eternel vibrait plus fort que l’humanité qui souffle.

L’instant s’évanouissait entre mes prospections, et mes découvertes, impassiblement. Ce que j’ignorais c’était le renversement qui agitait mes sens.

Avec une variante, les charades habituelles, étaient substituées, à une phrase qui revenait en boucle « Je pense donc je suis. »

La seule façon de réguler la situation pour qu’elle se cheville c’était d’en comprendre le trait scellé. Pour atteindre ce que je désirais circonvenir, Je renouais avec mes études, sur ce beau système, que représentait la constitution humaine.

J’amorçais à la source, en compulsant ce qui traitait la pédagogie, la psychologie enfantine et adulte, la philosophie et la spiritualité.

Après ces dégrossissages éternels, sur le fonctionnement de l’homme, Je connus à nouveau la phase de la concentration. Je me consacrais sur les indices, révélés par Jésus, et au choix du temps, celui de l’aube de la connaissance de l’humanité.

Pendant la prospection, un poème célèbre, utilisé par la résistance, fit irruption en s’implantant sans y être interpellé, par mes idées.
Je me surpris récitant à haute voix « les sanglots longs, de l’automne, berce mon cœur, d’une lenteur monotone. »

Les expériences antécédentes, m’avaient appris à faire confiance à mon invisible. Jusqu’à aujourd'hui, il n’a pas connu de déconvenue avec l’enseignement qu’il me procure.

Je spéculais, sur le point commun, qui existait entre le poème, et les indices que j’explorais.

Une idée farfelue m’invita à me désintéresser, sur des signes, et à me connecter au but recherché c’était là que se situait peut être le résultat, entre les deux.

Les partisans informaient par radio, sous forme de poème codé, les résistants sur les Allemands.

Une sensation bizarre, me fît présumer, que j’étais sur la bonne voie.
Plusieurs jours de recherche et de prières accès sur sa venue à cette époque précise, plutôt qu’une autre me trouble.

Sans résultat crédible, et épuisée, je suspendais temporairement mon activité.

Cette nuit là, j’eus une projection de Jésus, sur la croix s’adressant à Dieu.
Il lui demandait de pardonner à ses bourreaux, car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient. L’intuition reçue dans mon assoupissement me perturba plus, qu’elle me procura d’éclaircissement. Une fois encore j’entrevoyais un mur, sans possibilité de l’esquiver.

L énoncé entendu, me choquait !

Comment devais-je l’interpréter ?

Ce que j’explorais ne se trouvais pas dans notre histoire, mais dans nos origines. C’était une sensation étrange, que de ressentir, que l’on se rapprochait du résultat adulé, sans possibilité de le saisir.

Reprenant courage, je m’érigeais au hasard de mon périple, laissant mon invisible me bâtir un autre exercice, prendre racine dans ma raison. Je bifurquai alors vers la culture bouddhiste, sur l’énergie dite positive et négative.

Obéissante, je posais mes interrogations tout en m’approchant de la
nouvelle attention. J’escomptais glaner des éclaircissements, susceptibles d’éclairer les énigmes exposées.

En allant à la rencontre de l’espérance, j’observais contrairement à ce qu’elle manifestait, il ne s’agissais nullement d’un culte. En réalité il masquait une méthodologie, qui représente la clé précieuse.

Elle était attribuée par l’Impérissable, pour accorder à l’unité dans son discernement de prospection, l’édification selon son vœu irrésistible.
Une clairvoyance m’envahit, sans que je puisse la maîtriser, m’agrippa d’une vérité criante, par la puissance exemplaire de l’origine de la création, et de sa présence dans le monde qui nous environnait.

Ceci est un extrait de mon témoignage que je lègue pour mes enfants et mes petits enfants sur ma perception du monde.

Si vous le souhaitez toujours je serai ravi de continuer ce dialogue. Je vous souhaite une bonne lecture, j'espère que l'extrait n'est pas trop long.
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Message par Denis » 05 févr. 2007, 23:36

Oufff, pas le temps de tout lire ce soir, je te promet d'y revenir demain, Tya...
Ton écriture est belle....
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Tya

Parlez nous de votre pratique

Message par Tya » 06 févr. 2007, 00:36

Cher Denis bonsoir,

Je suis ravie de constater que mon écriture te plaise, à part rechercher la lumière de l’insondable j’ai une autre passion irraisonné sur le Verbe.

Grâce au pouvoir du verbe j’ai pus donner des images à ma raison pour qu’il assimile une perception divine certes pas total mais tout de même suffisamment assez pour continuer l’évolution que Dieu nous octroie par son extraordinaire forme.

Puis une force résistible m’invite à écrire mon témoignage pour lacer une trace à ma descendance, ou bien pour venir en aide à celui qui traverse par le chemin que je viens de traverser.

Je sais que je ne lui apporte pas de solution mais j’espère lui donner du réconfort, car entre le moment ou l’en parle et le moment du spontané, mon souhait qu’il puisse avoir le courage et la force amplifié par celle que Dieu lui offre pour traverser ce qu’il doit entreprendre dans l’acquisition de son futur être.

Vous m’avez dit que l’inclinaison première de l’humanité c’est sa méfiance, la grande majorité à mon sens croit à tout et n’importe quoi pourvu que cela l’empêche de travailler sur son cheminement elle ne semble pas concernée par l’évolution qu’elle vie.

En ce qui me concerne ma motivation c’est réconforter ou tout du moins essayer avec ma mince acquisition l’homme qui marche vers Dieu car je sais que le chemin et tout sauf facile.

Quand au Dieu vers laquelle mon être s’étire de toutes ses forces Lui il a déjà tout il ne désir rien pour lui-même ce qu’il veut d’un Amour Ardent c’est pour la créature qu’il a créé Il la fait à son Image. Cela préjuge, une vie éternelle et chatoyante pour celui qui atteint son lieu de villégiature.

Actuellement je travaille sur une réflexion révélé par Jésus qui dit (Il est plus facile de faire entrer un chameau à travers le trou d’une aiguille qu’un homme au royaume de Dieu. :)
Tya

Message par Tya » 06 févr. 2007, 00:59

^Voici un autre extrait de mon cheminement :

Sans que je m’y attende, elle m’éblouissait, de sa pureté angélique, me percuta avec force, sans véhémence, par son existence, incontestable.

En l'absence de cette disposition, l’homme ne pouvait vivre, évoluant à l’intérieur du né, et dans notre espace depuis la création superbe.

Ne ressemblant en rien à ce que nous connaissions elle ne pouvait être maîtrisée, selon nos méthodes d’approches.

Par sa puissance, elle incarnait une volonté divine. Vit, pense, d’après ces propres critères, connaît tous nos déviants mieux que nous nous connaissons.

Existant depuis la création du mouvement liminaire, éternelle elle obéissait à ses propres lois.

Son ultime fonction, la protection des hommes ou bien sa destruction. Plus beau lorsque le corruptible, prenais acte de son existence, elle l’enveloppait de son innée fable amour.

L’Impérissable voyant la mauvaise inclinaison, prise par notre humanité, mesura le temps qu’il nous restait à vivre, avant que l’énergie officie son œuvre.

Il nous envoya notre Seigneur, pour la circonscrire, avec le seul instrument, qui était en mesure de la vaincre, lui seul avait le pouvoir d’en venir à bout.

Elle le mit au défit de la réduire, avec le soutien des saints disciples, qu’il avait entraîné dans un enseignement, pour le jour fatidique.

Il s’en était suivi ce que tout le monde savait. Les afflictions subis tout au long du calvaire, sans qu’une fois il ne se rebiffa.

Agissant avec une seule consigne, l’Amour de nous défendre contre nous même. Leur sacrifice avait dominé l’accroissement négatif, que les éphémères avaient fait naître, inconsciemment, par leur néfaste inclinaison.

Elle patientait tapis dans l’ombre de l’ombre de l’humanité, attendant son heure, pour l’avaler, comme le chat, ingère la souris, dans un bruit fracassant.

Les augustes condisciples et le Bien -Aimé, ne l’avait pas anéantis, car en le faisant ils auraient détruit toute vie. Ils l’avaient uniquement circoncis, et récupéré en nos noms, notre créance à la nébuleuse.

Leur Amour pour notre communauté, leur avait fait défier, celle que l’on ne pouvait vaincre. Ils avaient réussi grâce à Dieu.

Il est conclu entre la nébuleuse circoncis, et Jésus, qu’elle devra dans l’avenir se préoccuper exclusivement que de ceux qui la nourrissent, d’une forme avérée.

Libérant celui qui se repentait, et qui s’acquittait en cessant de la sustenter de façon grossière. Il devra récupérer pour son compte, en son nom, la nourriture qu’il lui a octroyée, depuis l’âge de raison.

Après cette apparition d’un genre extraordinaire, ma raison me secouait, refusant la perception ravissante.

J’avais du admettre l’acte que le Pérenne continuait d’oeuvrer à sa façon sur la créature qu’il chérissait.

J’étais dans l’obligation de me plier à cette vérité évidente.
Nous étions tellement habituées. Tout ce qui était vrai devait inévitablement être suivi de preuve, de formule, en mesure d’étayer une logique cartésienne.

C’était dans le temps que l’énergie vivante et sagace, avait fait naturellement son liséré dans le laboratoire de mon mental, comme un photogramme corroboré.

Il me fallut reprendre plus intensément le travail des bouddhistes, afin de m’assurer que je n’étais pas en train de m’abuser. La découverte sublime remettait la création de l’humanité sur un autre piédestal.

Ils consignaient l’existence de deux forces d’énergies qu’ils nommaient le yin et le yang, mais ne faisaient pas référence, à la vie, qu’elles possédaient, et de leur intellection qui dépassait notre idée de mesure.

La question suivante c’était qui étaient elle, et qu’elle étaient leur motivation profonde pour la nature mortelle.

Il fallait croire que ceux qui veillaient sur moi, eurent pitié de mon insuffisance. Ils m’aidèrent à cibler le concept des forces par la puissance divine.

L’installation étudiée avec soin, dans une initialisation de notre destin, dans ce monde prédisposé à nous accueillir avec un objectif.

Nous attirer vers l’enseignement, de notre véritable nature qui se voulait immuable dans un temps futur.

Il ne nous avait jamais dissimulé que nous portions à l’intérieur de nos entrailles, le don le plus précieux son souffle « énergie.

Cette magnificence qu’il nous avait attribuée avec la même mesure, pas une once en plus ou en moins, répondait à ce qu’il avait toujours révélé aux hommes.

L’autre vérité, se situait dans sa Sagesse et sa Justice, préétablie non pas dans un jugement ultérieur, pour ceux qui résonnaient dans l’incrimination ,de façon éperdue, avec passion, refusant l’existence ,de celui qui leur avait donné la vie éternelle.

Ils s’accompliront dans ce domaine dessiné avec Amour, le temps de notre enseignement d’être ou de ne pas être.

J’avais l’impression que le dupeur, s’était fait duper par la force, de la puissance divine, et du souffle qui brûlait dans chacun d’entre nous. La Justice divine, officiait au même titre que sa Sagesse, par rapport à nos intuitions.

Les deux robustesses que nous étions en mesure de percevoir tout autour de nous étaient totalement assujetties avec amour à une troisième force qui les régulait. Il en allait de même pour celle qui nous permettait d’avoir froid et d’avoir faim.

Elle résonnait et vibrait qu’en fonction de la Sublime.

Je découvris également, qu’elle en était éloignée de notre dimension. Elle ne pouvait être maîtrisée par aucune force, elle découlait du souffle de la volonté du Tout Puissant. Elle incarnait la rectiligne, la règle de droit Majeur, que nous devons apprendre à respecter, à vénérer, pour rejoindre notre Créateur.

Je vous souhaite une bonne lecture, ses extrait reflète celle que je suis une simple créature de Dieu qui a une soif irrésistible d'être avec des hommes et des femmes qui se tendent vers notre Créateur, je suis consciente que nous n'avons ps tous le même chemin c'est avec joie que je vous témoigne de la présence de Dieu sur terre et dans les Cieux.
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Philippe*
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Re: Parlez nous de votre pratique

Message par Philippe* » 06 févr. 2007, 07:00

Tya a écrit :
...

Actuellement je travaille sur une réflexion révélé par Jésus qui dit (Il est plus facile de faire entrer un chameau à travers le trou d’une aiguille qu’un homme au royaume de Dieu. :)
"Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille que pour un riche d’entrer au royaume des cieux". Probablement mais on en n'est pas sûr cela a rapport avec les chameaux d'autant plus chargés que les hommes étaient riches. On entrait dans Jérusalem par des portes étroites la nuit tombante. Il fallait décharger les chameaux pour ce faire.

Philippe
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Message par Tya » 06 févr. 2007, 11:03

Philippe a écrit:

"
Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille que pour un riche d’entrer au royaume des cieux". Probablement mais on en n'est pas sûr cela a rapport avec les chameaux d'autant plus chargés que les hommes étaient riches. On entrait dans Jérusalem par des portes étroites la nuit tombante. Il fallait décharger les chameaux pour ce faire.
Je ne sais toujours pas comment interpréter cette citation, donc vous pensez que cela n'a rien à voir avec ce que l'homme doit entreprendre pour atteindre le royaume aimé.

Cette citation à mon sens, nous est révélée pour nous permettre de réfléchir sur le spontané qui nous induit très souvent à faire des choix qui ne sont pas toujours de bon aloi.

Ces même choix nuise par la suite aux développement de l’être.

Il y a une autre citation tout aussi criante de vérité : Si l’on pouvait éprouver l’amertume que je ressens lorsque je vois mon Amour méprisé se serait assez pour enlever la vie.
J’ai l’impression que les deux citations ne sont pas contraires et je dirai même plus elle se complète.
:) :)
au plaisir de vous lire
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Message par sittingbull » 06 févr. 2007, 14:50

Jésus à l'occasion d'un entretien avec un homme riche et qui certainement ne voulait pas abandonner ses biens pour le suivre, s'écria:"mes enfants qu'il est difficile à ceux qui se confient dans les richesses dans le royaume de dieu"
et il ajouta:
"Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de dieu".

Ici riche désigne , celui qui attribue la valeur réelle à sa personnalité, et qui place en elle sa confiance et ses espoirs, et cela indépendamment du fait qu'il a beaucoup de biens ou qu'il ne posséde rien.
Tya

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Message par Tya » 06 févr. 2007, 15:04

Sittingbull a écrit :
Ici riche désigne , celui qui attribue la valeur réelle à sa personnalité, et qui place en elle sa confiance et ses espoirs, et cela indépendamment du fait qu'il a beaucoup de biens ou qu'il ne posséde rien.
Pardon je ne comprend pas ? qu’est ce que la personnalité fait dans ce cas précis ?
:?: :?: :!:
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Message par sittingbull » 06 févr. 2007, 15:10

Elle empéche d'entrer en relation avec dieu, dans la mesure ou tu t'identifies à elle. C'est le résultat de la chute par exemple; aprés la chute la conscience s'identifie à la personnalité.
Tya

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Message par Tya » 06 févr. 2007, 17:33

Sittingbull a écrit:
Elle empéche d'entrer en relation avec dieu, dans la mesure ou tu t'identifies à elle. C'est le résultat de la chute par exemple; aprés la chute la conscience s'identifie à la personnalité.
Je ne suis pas en mesure de comprendre d’ailleurs pour être franche je ne comprend pas du tout c’est incompréhensible.
Je suis en relation par l’intermédiaire de la prière avec Dieu sans difficulté quand il accepte bien entendu la communion avec mon être.
:?: :?: :P
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Re: parlez nous de votre pratique

Message par Philippe* » 06 févr. 2007, 17:40

Tya a écrit :Philippe a écrit:

"
Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille que pour un riche d’entrer au royaume des cieux". Probablement mais on en n'est pas sûr cela a rapport avec les chameaux d'autant plus chargés que les hommes étaient riches. On entrait dans Jérusalem par des portes étroites la nuit tombante. Il fallait décharger les chameaux pour ce faire.
Je ne sais toujours pas comment interpréter cette citation, donc vous pensez que cela n'a rien à voir avec ce que l'homme doit entreprendre pour atteindre le royaume aimé.

Cette citation à mon sens, nous est révélée pour nous permettre de réfléchir sur le spontané qui nous induit très souvent à faire des choix qui ne sont pas toujours de bon aloi.

Ces même choix nuise par la suite aux développement de l’être.

Il y a une autre citation tout aussi criante de vérité : Si l’on pouvait éprouver l’amertume que je ressens lorsque je vois mon Amour méprisé se serait assez pour enlever la vie.
J’ai l’impression que les deux citations ne sont pas contraires et je dirai même plus elle se complète.
:) :)
au plaisir de vous lire
Je ne pense rien de particulier, tu peux interpréter cette citation comme tu le ressens, il y a des milliers d'interprétations de la Bible, ça ne veut pas dire premièrement que Jésus ait vraiment dit cela, deuxièmement qu'il l'ait vraiment dit dans le sens où tu l'interprètes. Ce que j'ai écrit était pour comprendre le possible contexte culturel de la comparaison, Jésus parlant en paraboles, utilisant des comparaisons pour se faire comprendre.
Personnellement j'aime beaucoup la parabole de l'enfant prodigue, et la scène autour de cette parabole dans le film Jésus de Nazareth de Zeffirelli, même si le père parle de tuer le veau gras, un animal, mais on passera outre pour aller à l'essentiel...

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Re: parlez nous de votre pratique

Message par Denis » 06 févr. 2007, 17:45

Tya a écrit :Sittingbull a écrit:
Elle empéche d'entrer en relation avec dieu, dans la mesure ou tu t'identifies à elle. C'est le résultat de la chute par exemple; aprés la chute la conscience s'identifie à la personnalité.
Je ne suis pas en mesure de comprendre d’ailleurs pour être franche je ne comprend pas du tout c’est incompréhensible.
Je suis en relation par l’intermédiaire de la prière avec Dieu sans difficulté quand il accepte bien entendu la communion avec mon être.
:?: :?: :P
Voici toute la vision de la spiritualité, plus nous nous identifions à notre corps, notre histoire, notre vie, moins nous pouvons aller vers l'absolu.
De cette évidence là est née toutes les religions et les mouvements du monde. Le problème étant l'attachement au choses, pas le fait de ne pas en avoir, car on peut bien ne rien avoir mais être acroché au fait d'en vouloir, d'être jaloux, ou au contraire avoir des choses mais en être détachées...
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Message par sittingbull » 07 févr. 2007, 00:22

Oui, et jésus dit aussi, "méme, à celui qui n'a rien (pas de richesses extérieures) dieu lui prendra tout "(également les richesses intérieures). A mon sens, ça veut dire,tout ce qui est de ce monde, et le "monde" à l'intérieur de l'homme( la personnalité et toutes ses possibilités, maya chez les orientaux). Tout cela ne passe pas par "la porte étroite" qui méne à la conscience et à la vérité.

Sauf, pour les justes , est il dit dans la bible. Mais les justes sont rares.
Pouvons nous y arriver? Oui certainement! Jésus dit bien qu'il a vaincu le monde, et bouddha également.
Tya

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Message par Tya » 07 févr. 2007, 10:48

Denis a écrit:
Voici toute la vision de la spiritualité, plus nous nous identifions à notre corps, notre histoire, notre vie, moins nous pouvons aller vers l'absolu.

De cette évidence là est née toutes les religions et les mouvements du monde. Le problème étant l'attachement au choses, pas le fait de ne pas en avoir, car on peut bien ne rien avoir mais être acroché au fait d'en vouloir, d'être jaloux, ou au contraire avoir des choses mais en être détachées...
_________________


Ce n’est pas du tout le cas de la configuration de l’évolution qui est la mienne aujourd’hui. Au contraire si il y a une chose dont je suis sur c’est que je me trouve dans la voie tracé par Jésus pour tendre vers l’insondable.

Je désire m’excuser car je réalise que je me trouve dans un site yogiste alors que je croyais me trouver dans un cite de recherche spirituel. (soit dit en passant cela me change de vous lire des autres.) Mieux tard que jamais.

Mon avancé ne ce fait pas de la même façon que la votre d’ailleurs on ne m’a pas demandé mon avis. Tout comme mon amie la chenille, on lui a pas demandé son avis, et tout comme moi elle ne fait pas de yoga pour un jour sans crier gare se transmuter pour ne plus ramper mais voler.

Je suis ravie de vous avoir rencontrer que Dieu vous donne plus qu’il ne m’a donné.
:) :) :)
Modifié en dernier par Tya le 08 févr. 2007, 08:47, modifié 1 fois.
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Message par Philippe* » 07 févr. 2007, 12:24

Tya, ainsi que Monsieur Jourdain faisait de la prose dans le savoir, sans doute ferais-tu du Yoga sans le savoir non plus. La dévotion est une voie du Yoga appelée Bhakti Yoga. C'est pourquoi beaucoup de Yogis sont touchés par des passages de l'évangile, certains même déclarent avoir eu des contacts avec Jésus, quand bien même la prudence est de mise avec ce genre de déclarations. Le Yoga ne se résume pas à une série de postures physiques, car on aura beau pratiquer toutes les postures du monde, s'il n'y a pas de changement de conscience, ça rime à peu de choses si ce n'est peut-être à aider à un certain équilibre physique et psychologique. Demandons alors aux gens du cirque ce qu'ils en pensent.
Peu importe, il s'agit bien d'un forum de recherche spirituelle même si c'est orienté Yoga, tu n'as pas à t'excuser. :)

Philippe
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Message par Tya » 07 févr. 2007, 15:38

Philippe a écrit :
Le Yoga ne se résume pas à une série de postures physiques, car on aura beau pratiquer toutes les postures du monde, s'il n'y a pas de changement de conscience, ça rime à peu de choses si ce n'est peut-être à aider à un certain équilibre physique et psychologique. Demandons alors aux gens du cirque ce qu'ils en pensent.
Il ne me viendrai pas à l'idée de porter un jugement sur un enseignement de recherche quel qu'il soit. Il me semblait par rapport à vos messages et par rapport à mon enseignement que même si nous recherchons un sens de notre existence nous n'avons pas le même enseignement. Deplus j'ai déjà eut l'occasion il y a lontemps d'entrer dans le domaine yogiste pour atteindre une relaxation qui m'aide dans mon quotidien je connais ces vertus et je suis persuadée que ce que j'ai vu dans mon travail est peu par rapport à tout ce que ce domaine offre.

Mais en ci qui me concerne, cela n'ai pas été ma voie, c'est plutôt les prières.

La relaxation je l'utilise juste avant de rentrer en connexion avec l'insondable. Quand j'y arrive. :) :)
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Message par Philippe* » 07 févr. 2007, 19:40

En fait il y a plusieurs enseignements de Yoga, plusieurs Yogas, tu sais, difficile de s'y retrouver. Depuis au moins cinq millénaires, il y a eu bien des voies qui ont été explorées, et il y en a pour lesquelles la prière est fondamentale, d'où le rapprochement, Yoga signifie union, union au sacré, à l'absolu, à Dieu pour beaucoup. Cela dit chacun sa voie, il faut savoir prendre la sagesse là où l'on trouve. Image

"Faire de toute sa vie religion, gouverner toutes les activités par l'idée religieuse, semble être la voie correcte pour le développement de l'individu idéal et de la société idéale et l'élévation de toute la vie de l'homme jusqu'au Divin." Sri Aurobindo

Philippe
Tya

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Message par Tya » 07 févr. 2007, 23:49

Phillipe, [code]merci[/code]

L'enseignement que l'on m'a octroyé généreusement a eut des effets sur moi. Je me comporte comme un animal blessée ma confiance s'en trouve très exacerbée car le fait de travailler seule depuis ma plus tendre enfance ma éloignée de mes proches d’abord et du reste de l’humanité.

C’est dur de ne pas pouvoir partager la foi je crois que c'est le plus dur a vivre, non j’en suis même certaine car si tu peux te passer des êtres tu as du mal a ne pas pouvoir partager l’Amour que tu ressent pour l’insondable, l’incassable. Il m’a tellement donné que j’en ai eut le vertige.

Alors quand autour de moi je ressent l’amertume des personnes qui ce déchire pour des futilité.

Alors je remet ma foi dans la croix car je ne peux accepter que le sacrifice de Jésus ce résume a quelques âmes car mon vœu c’est toute l’humanité passée, présente, et avenir tende et perçoive ne serai ce qu’une fraction de seconde le reflet de Dieu et que cette fraction les harponne pour l’éternité.
:) :) :)


Encore merci
Tya

PARLEZ NOUS DE VOTRE PRATIQUE

Message par Tya » 08 févr. 2007, 18:40

AMI DU SOIR BONSOIR,

Oui on peut dire que le corps est un arc qu'il faut tendre à son plus niveau et que l'être est la flèche.
:roll: CIBLANT DIEU
Yog

Re: PARLEZ NOUS DE VOTRE PRATIQUE

Message par Yog » 08 févr. 2007, 19:40

Tya a écrit :AMI DU SOIR BONSOIR,

Oui on peut dire que le corps est un arc qu'il faut tendre à son plus niveau et que l'être est la flèche.
:roll: CIBLANT DIEU
Et si on ne croit pas en Dieu, on cible quoi ? :wink:
Tya

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Message par Tya » 08 févr. 2007, 20:12

Yog a écrit :
Et si on ne croit pas en Dieu, on cible quoi ?
Lui il croit en sa créature c’est le plus important connaissant chacun de nous il sait comment nous permettre de le percevoir le moment opportun cet instant restera unique et permettra à sa créature de tendre vers lui. :D
:D
Yog

Message par Yog » 08 févr. 2007, 21:57

Oui bien sûr, mais comment peut faire un athée ? Car, il ne peut avoir de recours à la prière, étant athée. De plus, tu sembles dire qu'il suffit d'attendre qu'Il vienne à nous, ça veut donc dire qu'il n'y a rien à faire ?

:)
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Message par sissi135 » 09 févr. 2007, 09:39

Yog a écrit :Oui bien sûr, mais comment peut faire un athée ? Car, il ne peut avoir de recours à la prière, étant athée. De plus, tu sembles dire qu'il suffit d'attendre qu'Il vienne à nous, ça veut donc dire qu'il n'y a rien à faire ?

:)
bonjour yog
mais athee veut dire que tu ne crois pas en dieu , pourquoi parler de dieu si on refuse a croire a son existance ..je ne comprend rien , quand on est sure que qlq chose n'existe pas ...
mais voila, la , on est plus en desaccord avec le principe de dieu qu'avec dieu lui meme idee a debattre bisou sissi
La femme fut créée d’une côte de l’homme, Pas de sa tête pour être au dessus de lui, Ni de ses pieds pour être piétinée, Mais d’une de ses côtes pour être son égale, Sous son bras pour être protégée Et près de son cœur pour être aimé.
Yog

Message par Yog » 09 févr. 2007, 11:01

Le problème est en fait assez simple. Tya propose une voie entièrement faite de dévotion à Dieu. Donc je pose la question comment peut faire un athée, puisqu'il ne croit pas en Dieu et nie son existence ?
Maintenant, dire que tôt ou tard, il ira à Dieu, je trouve que c'est se mettre des oeillères et n'admettre qu'une seule possibilité pour tous, càd, Dieu. Or, si on prend le christianisme, seul le salut peut venir de Jésus, en passant par un acte de foi. Cette idée entraine forcément de l'intolérance, puisque le pratiquant est persuadé que seule sa voie est bonne.
Puis, franchement, je trouve qu'on parle de trop de Dieu. Après tout, au lieu d'utiliser des mots grandiloquents qui éblouissent l'ego, je trouve qu'on devrait plutôt faire preuve d'humilité et de réserve.
Tout le monde aura compris depuis longtemps, que je n'aime pas la voie dévotionnelle, sûrement dû à mon éducation catholique dans mon enfance.
Voilà, j'espère avoir répondu à ta question Sissi. :)
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Message par rico » 09 févr. 2007, 13:26

Puis, franchement, je trouve qu'on parle de trop de Dieu. Après tout, au lieu d'utiliser des mots grandiloquents qui éblouissent l'ego, je trouve qu'on devrait plutôt faire preuve d'humilité et de réserve.
Tout le monde aura compris depuis longtemps, que je n'aime pas la voie dévotionnelle
Ben tout le monde aura compris que je te rejoins totalement. J'irai même jusqu'à dire que ce genre de discours n'a pas de sens et aucun intérêt. Bon je peux aussi comprendre ceux qui se gargarisent de ces mots grandiloquents mais très peu pour moi... Et puis ce genre de propos n'aidera jamais un individu en pleine recherche spirituelle ou bien un individu en détresse. Par contre je comprends tout à fait qu'il puisse procurer de la jouissance entre individus adeptes de ce type de discours.
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Message par Philippe* » 09 févr. 2007, 13:47

Tout cela est relatif et du au conditionnement de chacun, le mot Dieu n'est qu'un mot après tout, avec beaucoup de significations pour le mental. Ce n'est pas comme si c'était dans la vie courante un mantra développant l'égo en soi.

Cela dit par expérience je comprends la réserve qui me paraît compréhensible au vu du comportement de nombreuses personnes à travers l'Histoire dans des systèmes théistes strictement dualistes.

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Message par rico » 09 févr. 2007, 14:33

Une remarque : les discours grandiloquents sur Dieu semblent être l'apanage des femmes. Il n'est pas nouveau de dire que les femmes sont davantage portées par les bons sentiments et c'est d'ailleurs elles qu'on retrouve devant les feuilletons mélo à l'eau de rose. C'est juste une remarque non un jugement critique.
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Message par Linka » 09 févr. 2007, 15:01

Pour les bons sentiments, d'accord, suis une femme. Pour les discours grandiloquents, et même "petitloquents" sur "Dieu", oh que non, c'est pas ma tasse de thé, bien que c'est vrai que nous les femmes, on est douées pour les déclarations enflammées.

Et les trucs à l'eau de rose, une bonne nunucherie de temps à autre qui tire la larme, oui, j'avoue, je suis preneuse. Mais bon, maintenant que je sais que Denis apprécie les belles voitures, les belles femmes, et s'éclate en moto, je n'ai pas honte de l'avouer :wink:
"Souviens-toi d'oublier" (Nietzsche)
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Message par Yog » 09 févr. 2007, 15:23

Une remarque : les discours grandiloquents sur Dieu semblent être l'apanage des femmes.
Allons Rico, pas de sexisme. :D Non plus sérieusement, je peux t'assurer que je retrouve ce discours aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Il faut que tu parcours un peu plus le net et tu pourras le constater par toi-même. Je me souviens même bien d'un homme qui avait ce genre de discours sur un autre forum.
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Message par Denis » 09 févr. 2007, 23:34

rico a écrit :Une remarque : les discours grandiloquents sur Dieu semblent être l'apanage des femmes. Il n'est pas nouveau de dire que les femmes sont davantage portées par les bons sentiments et c'est d'ailleurs elles qu'on retrouve devant les feuilletons mélo à l'eau de rose. C'est juste une remarque non un jugement critique.
Wouaiii !!! Vive le muscle et la sueur !!! :lol: :lol:

Il faut que je t'avoue une chose, je pleur comme une madeleine devant un film à l'eau de rose, tu sais tu genre "danse avec les loup", "Légende d'automne" lui c'est le pompon, il me faut une boite de kleenex...

Pour finir, la rencontre avec Dieu est la plus grande des chose que j'ai pu vivre dans ma vie......

Et souvent la rencontre est là sur ma moto !!! :lol: :lol:
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Message par sittingbull » 09 févr. 2007, 23:47

Si tu peux rencontrer dieu, cest qu'il n'éxiste pas;
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Message par Denis » 09 févr. 2007, 23:49

sittingbull a écrit :Si tu peux rencontrer dieu, cest qu'il n'éxiste pas;
Superbe !!

C'est un grand mot Dieu, s'en approcher est trouver lumière et énergie...

Qu'en penses-tu ?
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 08:41

dieu peut -il se rencontrer lui méme?
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Message par Denis » 10 févr. 2007, 09:06

dieu peut -il se rencontrer lui méme?
Oui, puisque c'est une révélation...
Tout en étant particule du tout nous sommes le tout...
Mais mayashakti a mis ene place une illusion qui nous fait nous identifier à notre corps, notre histoire, notre ego...
Révéler Dieu en doi, c'est certe ce révéler soi même, mais le tout est d'y arriver !!

Un jour le pratiquant voit la lumière
Un autre jour il entre dedans
puis, Siva est Siva...
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 09:11

la lumiére peut se voir elle méme?
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Message par Denis » 10 févr. 2007, 09:26

Je ne crois pas que cette forme de discussion soit très intéressante...

Elle n'apporte rien dans le développement, et elle ne permet pas non plus une prise de conscience....

Merci de t'exprimer avec des phrases et de tenter d'apporter aussi ton point de vue, car de petites questions en petites réponses on peut arriver à ça..
la lumière peut se voir elle méme?
Oui, si tu appuis sur l'interrupteur ! :lol:
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 09:35

La conscience, peut elle étre consciente d'elle méme?
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 09:38

S'il y a quelque chose, lumiére ou autre, il y a encore phenoméne, et conscience de ce qu'il y a. Lorsqu'il n'y a plus que la conscience ou est la lumiére?
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Message par Denis » 10 févr. 2007, 09:45

Un jour le pratiquant voit la lumière
Un autre jour il entre dedans
puis, Siva est Siva...
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 11:07

Quel rapport avec la conscience?
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Message par Denis » 10 févr. 2007, 14:18

Un jour le pratiquant voit la lumière => L'observateur observe un objet, la discrimination monde intérieur, monde extérieur est là...
Un autre jour il entre dedans => Fusion avec l'objet, état de méditation
puis, Siva est Siva... Union totale, la conscience absolu revient à la conscience absolu, dissolution.
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Message par sittingbull » 10 févr. 2007, 15:51

La vacuité se dissout-elle également?
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Message par Yog » 10 févr. 2007, 16:33

Le syllogisme mène-t-il quelque part ? :D
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Message par rico » 10 févr. 2007, 16:50

Allons Rico, pas de sexisme. Très content Non plus sérieusement, je peux t'assurer que je retrouve ce discours aussi bien chez les femmes que chez les hommes.
Je parle en général, biensur qu'il y a des hommes qui ont ce type de discours. D'abord Seule, puis Tya, je me dis jamais deux sans trois....
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
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Message par Denis » 10 févr. 2007, 17:42

Ta démarche est si petite et tellement mesquine Tya, que j'ai supprimé tous tes posts...

C'est tellement facile de venir répandre la bêtise et de s'offusquer après coup de la réaction des gens que tout cela ne peut porter tord qu'a une personne : TOI.

Toi qui es venu ici avec aucune belle intention, et surtout l'envie de nuire !!!

Tu n'a plus rien à faire ici !!

Tu vois ton passage est déjà fini et oublié, disparu, comme si tu n'étais jamais venue !!
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Message par Jugulé » 13 févr. 2007, 10:26

Philippe* a écrit :Tout cela est relatif et du au conditionnement de chacun, le mot Dieu n'est qu'un mot après tout, avec beaucoup de significations pour le mental. Ce n'est pas comme si c'était dans la vie courante un mantra développant l'égo en soi.
On ne peut-être philosophe si on se laisse emporter par l'émotion d'un mot, qu'on le rejette sur un ressentiment. Mais un mot est un symbole, et que représente le symbole du mot Dieu? Des personnes affirment que l'on peut voir Dieu et que chacun de nous peut le faire. Si tel est le cas, alors c'est une chose qui se répète, est une chose qui se répète suit une certaine loi.
Philippe* a écrit :Cela dit par expérience je comprends la réserve qui me paraît compréhensible au vu du comportement de nombreuses personnes à travers l'Histoire dans des systèmes théistes strictement dualistes.
Quelle est la leçon de l'Histoire à propos de Dieu? Sa recherche a apporter énormément de bien pour l'Humanité (pas le journal), les oeuvres les plus belles et les plus grandes, elle a créée des peuples et les a souder. En contrepartie des personnes s'en ont attribuer sa connaissance pour répandre leurs propres idées qui ont enjoint un grand fanatisme et a par là même apporter les plus grands maux.
Mais si un symbole a pu faire faire de telles choses à l'Homme, c'est qu'il y a derrière une vérité, la Vérité de la Réalité.
Comprenons le symbolisme si nous sommes intellectuel et voir de quel manière il peut mettre fin à nos pertubations du mental.
Aimons Dieu en tant qu'être personnel, car il est plus aisé d'aimer une représentation de l'être humain, plutôt qu'un concept de l'Absolu, avant de l'aimer en tant qu'être impersonnel. En quoi cela dérangerai-t-il quelqu'un? Le résultat de cela apporte la paix qui nous font réaliser notre vrai nature. Si on pense qu'elle est divine, il s'ensuivra un amour pour toute chose, jusqu'au point qu'on ne fasse plus de différence entre l'amant, l'aimé et l'amour. Une telle vision, vous savez tous à quoi cela correspond.
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Message par Jugulé » 13 févr. 2007, 14:22

Denis a écrit :Et souvent la rencontre est là sur ma moto !!! :lol: :lol:
Ca c'est du vâhana! C'est le petit ou le grand Véhicule?

Aparament Shiva est parfait pour faire le vide des impuretés: http://www.shiva.fr/
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