expansion de conscience

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Tom54
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expansion de conscience

Message par Tom54 » 18 nov. 2015, 22:05

L'espace qui est en soi est infini et sans limite.
On pourrait dire vide.
Ce vide est source de tout.
Mon ordinateur, le clavier sur lequel j'écris ainsi que tout l'univers passé présent et futur et contenu maintenant dans ce vide, infini.
Le big bang c'est maintenant, tu es le premier homme le premier arbre, l'expansion c'est la conscience qui fuit ce vide.
Pas de la-bas pas de ici, juste l'Un.
Pas de lieu, pas de temps.
Je n'existe pas je n'entends pas.
Tout est mouvement de conscience.
Tout est conscience.
Le vide est la source en chacun chaque chose
Mais chacun n'existe pas et les choses non plus...
La conscience c'est partout de manière holographique.
Tout se fait dans l'un.
La célébration c'est maintenant.
Rien de solide, rien ne se touche.
L'infini est source de tout.
Je suis ça.
Si tu meurs, tu es encore, dans la conscience c'est toujours toi.
Tout est conscience.
Tu es conscience.
La vie est mouvement de conscience.
Tu es mouvement de la vie.
Soit ça.
Seul le vide est.
Voilà ce que je perçois de moi quand les portes de la conscience s'ouvrent.
Ce qui est au-delà de se vide est histoire et mouvement, rien n'est réelement palpable, tout est relatif et conscience de soi, le vide n'a pas conscience de soi et ne connait pas la forme.
C'est l'infini qui joue au jeu divin.
Le reste n'est qu'expansion de conscience.
Ce besoin d'expression est une expansion de la conscience, cette recherche de soi en est une aussi, tout est conscience et expansion du vide.
Voilà ce ressenti cette perception est relative bien sur elle n'est pas la vérité.
Il manque un sens a l'homme pour être témoin de cette dimension.
Alors tout mouvement toute tentative de controle toute recherche n'est pas jeu de soi mais celui de la conscience, qui s'exprime maintenant et en même temps dans toutes les dimensions possible.
Le non savoir, la non connaissance ouvrent sur une singularité ou l'on peu se rejoindre, rejoindre son premier reflet je dirais.
Parce que fondamentalement "on" ne se rencontre jamais.
L’évidence c'est d'aimer sans rien attendre.
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