poésie expression de son intériorité
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poésie expression de son intériorité
Je me délecte des propos que vous avez tenus sur la poésie,et je suis heureuse de constater qu'elle ne soit pas prise pour une forme d'expression un peu désuète et naÏve.En ce qui me concerne,l'écriture,et notamment celle de la poésie,me fait l'effet de rentrer en ce que je suis au plus profond de moi,dans ma véritable intimité,c'est un peu comme plonger dans mes "abysses",et faire vibrer,jaillir sous ma plume toute cette authenticité là.Ainsi,il m'arrive quand j'écris d'avoir l'impression "d'entrer en transe",si je puis dire.C'est un peu comme une ouverture du coeur et laisser la possibilité au lecteur de pénétrer ce coeur,c'est se présenter sans artifice,sans masque,dans la nudité de son âme.Cela renvoie ,parfois, un côté "fleur bleue" mais je crois à cette simplicité authentique en tous.La poésie c'est aussi l'amour du beau,en tout cas de la beauté de l'authenticité des choses exprimées.Pour moi les mots sont des magiciens,car tout ce qu'ils véhiculent derriére eux me font partager et grandir.Sussurés,chuchotés,chantés,récités ou couchés sur du papier je les aime tous !!!!!!!!!!A vous lire! Fleur blanche.
Comme c'est beau, comme c'est Divin et vrai ces messages ci-dessus qui me touchent dans les tripes, au plus profond...Chevalom a écrit :bonjour Fleur Blanche.
Effectivement la poesie est la plus belle expression du divin.
C est pour cela que l on trouve cette expression dans les ecrits de nombreux mystiques.
Toucher ce monde revient a penettrer la parole divine et l installer en son etre.
Quand le divin s exprime en toi c est sous forme de vers poetiques.
Je rajouterai ,seul la poesie touche le coeur sans y faire intervenir le mental.
Il y a la poésie écrite certes, mais la beauté de la nature est pour moi la plus pure poésie et la plus directe, il suffit de regarder mais il y a regard et regard, c'est sûr. Apprendre à voir, à entendre, à écouter, c'est tout ce que j'ai appris et cela n'a aucune fin.
Un musicien nous dira que la musique est elle aussi capable de nous élever Divinement, et je suis bien d'accord. En fait la poésie, où n'est-elle pas si l'on regarde avec le coeur, avec les trippes, avec chacune de nos cellules, de tout notre être ?
C'est seulement lorsque l'on regarde avec la mental que le regard est faussé, parce que seulement linéaire et mesurable.
On se sent bien sur votre forum, je suis heureuse de votre forum, l'amour y est présent et c'est merveilleux la vie avec vous tous.
Dire que j'ai manqué vous manquer...
Je mettrai quand même un bémol....Chevalom a écrit :Je rajouterai ,seul la poesie touche le coeur sans y faire intervenir le mental.
Je crois que le sentiment de la poésie est effectivement un beau sentiment capable d'emmener loin une personne, mais il passe quand même par l'intellect.
Quand au fait que "seul" la poésie touche le coeur....
Attention aussi au sentimentalisme, à la sensiblerie... et au fait "je m'aime MOI"
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Coucou Denis,Denis a écrit :Je mettrai quand même un bémol....Chevalom a écrit :Je rajouterai ,seul la poesie touche le coeur sans y faire intervenir le mental.
Je crois que le sentiment de la poésie est effectivement un beau sentiment capable d'emmener loin une personne, mais il passe quand même par l'intellect.
Quand au fait que "seul" la poésie touche le coeur....
Attention aussi au sentimentalisme, à la sensiblerie... et au fait "je m'aime MOI"
Bon, je n'ai plus à réagir puisque tu viens de le faire si pertinemment...
C'est exactement ce que je m'apprêtais à répondre...
Je tente juste une explication qui va tout à fait dans ton sens.
Je suis pas contre le fait de parler de poésie de la vie. Mais chez moi ce n'est que l'un des si nombreux aspect de la beauté du vivant, tout comme le romantisme car il y a du romantisme comme de la poésie dans le vivant. Par vivant, j'entends le miracle de vie et de vie vivante, vibrante, je veux dire qui se touche humainement, n'est-ce pas ? Dont l'être humain peut faire l'expérience donc, à la mesure de sa capacité à mourir, encore une fois et j'insiste sur ce dernier point.
Mais le danger, et vous remarquerez vous-mêmes combien il menace ce danger, c'est de réduire le champ de la vie à de la poésie et du romantisme.
C'est un peu comme lorsque nous parlons du Divin, nous ne citons chaque fois qu'un ou plusieurs aspects de cette infini, mais jamais nous ne pouvons en faire le tour avec le langage et les mots, les symboles.
Les symboles pointent vers lui, vers le Divin, mais ne sont pas le Divin.
La seule façon de rencontrer le Divin, c'est de l'être, de le vivre, et c'est l'absence totale de celui qui vit cette expérience transcendantale qui révèle la pleinitude du Divin, son infini, sa beauté, son harmonie indescriptible qui est l'ordre parfait.
Le silence du personnel, c'est l'éveil à l'impersonnel et le Divin n'appartient pas... !
Merci à toi Denis de ton intervention.
Seule a écrit :sissi135 a écrit :tiens moi aussiet au fait "je m'aime MOI"
La femme fut créée d’une côte de l’homme, Pas de sa tête pour être au dessus de lui, Ni de ses pieds pour être piétinée, Mais d’une de ses côtes pour être son égale, Sous son bras pour être protégée Et près de son cœur pour être aimé.
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expression poétique
Attention aussi au sentimentalisme, à la sensiblerie... et au fait "je m'aime MOI"
Dans toutes formes d'expression créatives,ou artistiques, n'y a t'il pas une volonté de partage bien au-delà des manifestations de l'égo?
Et , pour bien aimer autrui n'est-ce pas sain de bien s'aimer soi?
Chaleureusement. Fleur blanche.
Dans toutes formes d'expression créatives,ou artistiques, n'y a t'il pas une volonté de partage bien au-delà des manifestations de l'égo?
Et , pour bien aimer autrui n'est-ce pas sain de bien s'aimer soi?
Chaleureusement. Fleur blanche.
Re: expression poétique
fleur blanche a écrit :Attention aussi au sentimentalisme, à la sensiblerie... et au fait "je m'aime MOI"
Dans toutes formes d'expression créatives,ou artistiques, n'y a t'il pas une volonté de partage bien au-delà des manifestations de l'égo?
Et , pour bien aimer autrui n'est-ce pas sain de bien s'aimer soi?
Chaleureusement. Fleur blanche.
dans toute creativite ya une manisfestation de l'ego mais qu'elle belle manisfestation dans un but formidable de partage de beaute ...une des plus jolie manifestation d'ego .......j'aurai voulu avoir le don de l'ecriture..mais voila mon manque de concentration m'a empeche d'aller plus loin que .....
mais peut etre qu'avec le yoga
La femme fut créée d’une côte de l’homme, Pas de sa tête pour être au dessus de lui, Ni de ses pieds pour être piétinée, Mais d’une de ses côtes pour être son égale, Sous son bras pour être protégée Et près de son cœur pour être aimé.
Il y a une question qui revient dans des discussions, quelle est la différence entre un artisan et un artiste... ???fleur blanche a écrit :Dans toutes formes d'expression créatives,ou artistiques, n'y a t'il pas une volonté de partage bien au-delà des manifestations de l'égo?
Et , pour bien aimer autrui n'est-ce pas sain de bien s'aimer soi?
S'aimer soi est une chose importante, mais la démarche spirituelle nous amène à nous oublier, à mettre de coté notre petit personnage pour le transcender vers quelque chose de plus absolu...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Créer c'est sans aucun doute une manière de se quitter. En tous cas d'avoir accès à un autre champ que celui du connu, du savoir. Ce champ pourrait être nommé Silence.
Puiser dans ce champ vaste et profond c'est rendre possible la création artistique. Ce champ est impersonnel, nous pouvons tous y avoir accès.
Certains artistes y ont accès, les créateurs. Leurs œuvres sont impersonnelles et bien souvent on les dit immortelles ou éternelles.
C'est dans l'expression de l'œuvre que son éternité nous interpelle, sa matière physique, partition, toile, plâtre, fer ou bronze, est destructible.
L'artiste plonge dans ce champ rendant possible la création, son expression. A son tour, celui qui découvre l'œuvre est plongé dans ce champ silencieux, rendant possible cette rencontre entre l'œuvre est celui qui la découvre.
La question du partage ne se pose pas dans l'action créatrice, cette action est impersonnelle, elle appartient à tous, elle ne s'adresse pas au particulier mais le particulier s'y retrouve.
S'aimer soi ? Toute la psy nous dit de nous aimer. Quel est ce soi ? C'est toute la question. Ce soi est-il personnel ou impersonnel ?
Le soi personnel, l'individu, est-il une entité séparée de tout, des autres, du mouvement vivant qui comprend celui de la nature et de l'univers toute entier auquel chaque créature vivante participe ?
Si c'est votre soi cosmique que vous aimez, incarné par votre organisme et animé de l'Esprit Un, universel, alors l'aimer c'est aimer ce miracle de vie jaillissante en des milliers et des milliers de formes, telle la votre.
S'aimer est indissociable d'aimer. Nous pouvons alors avoir des préférences, mais celles-ci ne sont pas exclusives, possessives.
Puisque nous sommes sur l'expression de l'intériorité, et s'y notre intériorité était aussi vaste que le monde, que l'univers tout entier ? Alors s'aimer, c'est l'aventure de toute une vie, et toute une vie ne suffit pas !
Puiser dans ce champ vaste et profond c'est rendre possible la création artistique. Ce champ est impersonnel, nous pouvons tous y avoir accès.
Certains artistes y ont accès, les créateurs. Leurs œuvres sont impersonnelles et bien souvent on les dit immortelles ou éternelles.
C'est dans l'expression de l'œuvre que son éternité nous interpelle, sa matière physique, partition, toile, plâtre, fer ou bronze, est destructible.
L'artiste plonge dans ce champ rendant possible la création, son expression. A son tour, celui qui découvre l'œuvre est plongé dans ce champ silencieux, rendant possible cette rencontre entre l'œuvre est celui qui la découvre.
La question du partage ne se pose pas dans l'action créatrice, cette action est impersonnelle, elle appartient à tous, elle ne s'adresse pas au particulier mais le particulier s'y retrouve.
S'aimer soi ? Toute la psy nous dit de nous aimer. Quel est ce soi ? C'est toute la question. Ce soi est-il personnel ou impersonnel ?
Le soi personnel, l'individu, est-il une entité séparée de tout, des autres, du mouvement vivant qui comprend celui de la nature et de l'univers toute entier auquel chaque créature vivante participe ?
Si c'est votre soi cosmique que vous aimez, incarné par votre organisme et animé de l'Esprit Un, universel, alors l'aimer c'est aimer ce miracle de vie jaillissante en des milliers et des milliers de formes, telle la votre.
S'aimer est indissociable d'aimer. Nous pouvons alors avoir des préférences, mais celles-ci ne sont pas exclusives, possessives.
Puisque nous sommes sur l'expression de l'intériorité, et s'y notre intériorité était aussi vaste que le monde, que l'univers tout entier ? Alors s'aimer, c'est l'aventure de toute une vie, et toute une vie ne suffit pas !
Vers quelque chose de plus absolu qui pourrait être notre vraie nature, la nature de Bouddha...Denis a écrit :
S'aimer soi est une chose importante, mais la démarche spirituelle nous amène à nous oublier, à mettre de coté notre petit personnage pour le transcender vers quelque chose de plus absolu...
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Transcendance
Oui, je suis complétement en accord avec cette idée de dépassement de soi vers quelque-chose de plus absolu, je pense que toute forme de spiritualité oeuvre en ce sens, et je pense aussi,que, sans forcément avoir une pratique particulière, quand on se retrouve complétement seul dans un cadre naturel,l'on peut ressentir profondément cette "dilution" de soi dans le tout,que l'on est rien et tout en même temps, pas plus, pas moins ,que le souffle du vent.Quand la douleur d'être séparée , éloignée, des êtres que je chéris profondément m'étreint de trop, je pars alors loin de mon confort,loin des regards,et je m'assoie "à même la terre",je regarde alors le ciel , et, enfin,je lâche tout,passé le moment où je me sens complétement perdue,je prends conscience d'une unité fondamentale,et que même ces souffrances de séparation sont ,quelque-part, illusoires.La voûte céleste est la même pour ceux qui sont loins, que pour ma petite personne,ou le petit écureuil qui m'amusera de ses acrobaties en dépit d'une grande tristesse.Toutefois, pour en revenir à cette idée de transcendance du moi,je pense que c'est le fruit de toute une vie (ou plus) de travail sur soi!!!!Fleur blanche.Denis a écrit :Il y a une question qui revient dans des discussions, quelle est la différence entre un artisan et un artiste... ???fleur blanche a écrit :Dans toutes formes d'expression créatives,ou artistiques, n'y a t'il pas une volonté de partage bien au-delà des manifestations de l'égo?
Et , pour bien aimer autrui n'est-ce pas sain de bien s'aimer soi?
S'aimer soi est une chose importante, mais la démarche spirituelle nous amène à nous oublier, à mettre de coté notre petit personnage pour le transcender vers quelque chose de plus absolu...
Bonsoir Fleur Blanche de comme j'aime ce pseudo !
"quand on se retrouve complétement seul dans un cadre naturel,l'on peut ressentir profondément cette "dilution" de soi dans le tout,que l'on est rien et tout en même temps, pas plus, pas moins ,que le souffle du vent"
"Toutefois, pour en revenir à cette idée de transcendance du moi,je pense que c'est le fruit de toute une vie (ou plus) de travail sur soi!!!!Fleur blanche."
Pardon Fleur Blanche, mais voyons cette question d'une autre façon.
D'un côté vous dites qu'il n'est pas nécessaire de suivre une pratique particulière et de l'autre vous défendez l'idée que cette transcendance est le fruit de toute une vie…
Si c'est parfois le fruit de toute une vie c'est que nous hésitons parfois et souvent toute une vie à transcender.
Car comme vous le dites en premier, la pratique est inutile et en tous cas pas obligatoire.
La transcendance ne dépend pas du processus du temps. Elle est une brèche dans ce processus, une brèche que l'on pourrait qualifier de verticale dans l'horizontal. On peut dire qu'elle est une soudaine brèche, ou une brèche instantanée. Certains chercheurs ont besoins de beaucoup d'années, alors que d'autres très peu d'années.
Le nombre d'années peut peut-être dépendre de notre soif en la vérité. Le temps dépendrait donc de la mesure de notre soif à le transcender.
Ne faudrait-il pas considérer ici que la plupart des chercheurs ne souhaitent pas découvrir la vérité mais plutôt vivre une expérience ?
Ce qui implique évidemment que ces chercheurs cherchent à saisir par le mental ce qui n'est pas saisissable par le mental, ou la pensée. Alors ils s'accrochent à des pratiques diverses et toutes sortes de disciplines ou ascèses pour atteindre cet objectif. Ils suivent des maîtres, des philosophies ou religions dans l'espoir d'être un jour libérés.
Cette démarche là peut s'avérée très longue, effectivement et si toutefois l'éveil est au bout, extérieurement on pourrait évidemment éprouver le sentiment qu'il faut beaucoup de temps, voire toute une vie.
Tout en m'appuyant sur l'exemple de l'écureuil que vous citez, je voudrais tenter de vous faire toucher l'essence du vivant.
Ce qui est important dans votre exemple, c'est la façon dont vous "touchez" l'écureuil par votre regard alors que vous êtes triste et chargée de ce poids de cette tristesse à l'idée des êtres chers de votre entourage.
Comme quoi vous pouvez en un instant passer du poids pénible de votre tristesse à la présence de l'écureuil ou de la nature autour de vous.
De la même façon, vous pouvez passer de votre connu à l'inconnu, de l'endormissement à l'éveil, avec la même facilité et soudaineté.
Seulement vous ne pouvez être les deux à la fois, l'endormie et l'éveillée !
Remarquez seulement que vous choisissez de revenir à la réalité d'endormie, votre connu, la seule chose que vous connaissez, votre individualité.
La dissolution représente ce que vous ne connaissez pas, le vide en somme, le néant, la mort. Et si le vide est plein, comme je le dis si souvent, alors nous évoquons ici l'absolu, le terrain fondamental, autrement dit le jamais né et le jamais, mort, miracle de création éternelle, toujours fraîche. Nous évoquons notre véritable nature dont la nature de Bouddha en est devenue un symbole, mais nous parlons du vivant vibrant, du ressenti de la chose ici.
Mais je pose la question très sérieusement :
Peut-on avoir peur de ce que nous ne connaissons pas ?
Si nous ne le connaissons pas, il n'y a aucune raison d'en avoir peur du vide, de la mort, du néant, n'est-ce pas ?
Ce saut dans le vide a été très long à s'effectuer, en ce qui me concerne. Le connu me raccrochait toujours. Il m'arrivait de taire ma pensée un instant et de vivre le vide. Mais aussitôt ma pensée reprenait le dessus...
Seulement en avoir conscience, ne pas se juger, ne pas se faire des reproches, juste voir comment cela se passe, tranquillement, avec intérêt pour la découverte de soi. Ce que vous découvrez alors est de première main, vous n'imitez plus, ne suivez plus, ne répétez plus, vous découvrez d'instant en instant… C'est cela la porte, la barque pour l'autre rive, c'est vous-même, c'est la connaissance de soi par soi directement et la découverte de la façon dont vous fonctionnez, dont fonctionne le cerveau, et le cœur, et l'esprit, et aussi la façon dont vous vous comportez.
Dans l'attention vigilante sans choix, vous voyez tout, vous êtes connaissance, rien d'autre n'est nécessaire.
Vous savez, je m'en suis personnellement voulue de pas être capable de vivre longtemps le vide de l'esprit du temps et de la mesure. Je ne me sentais pas à la hauteur et en quelque sorte me culpabilisais.
Cette culpabilisation est inutile, je suis mon seul juge et bourreau.
J'ai reconnu cette culpabilisation comme un tour du moi pour continuer de se conforter lui-même, pour continuer de se confirmer. J'ai reconnu un nouveau rôle que le moi était en train de me faire jouer, il adore ça, il est ainsi le meneur, le patron, c'est lui le maître.
De cette façon je suis devenu consciente de tous les rôles que le moi s'amuse à nous faire prendre. Cette vision est déconditionnement, voyez en vous-même comment cela se passe, c'est cela la porte, cette action de voir, cette vision pénétrante, elle ne dépend pas de l'horizontal tout en s'y exprimant, tout en s'y manifestant, elle est impersonnelle.
Pardon d'être longue, il me semble que cela en vaut la peine.
"quand on se retrouve complétement seul dans un cadre naturel,l'on peut ressentir profondément cette "dilution" de soi dans le tout,que l'on est rien et tout en même temps, pas plus, pas moins ,que le souffle du vent"
"Toutefois, pour en revenir à cette idée de transcendance du moi,je pense que c'est le fruit de toute une vie (ou plus) de travail sur soi!!!!Fleur blanche."
Pardon Fleur Blanche, mais voyons cette question d'une autre façon.
D'un côté vous dites qu'il n'est pas nécessaire de suivre une pratique particulière et de l'autre vous défendez l'idée que cette transcendance est le fruit de toute une vie…
Si c'est parfois le fruit de toute une vie c'est que nous hésitons parfois et souvent toute une vie à transcender.
Car comme vous le dites en premier, la pratique est inutile et en tous cas pas obligatoire.
La transcendance ne dépend pas du processus du temps. Elle est une brèche dans ce processus, une brèche que l'on pourrait qualifier de verticale dans l'horizontal. On peut dire qu'elle est une soudaine brèche, ou une brèche instantanée. Certains chercheurs ont besoins de beaucoup d'années, alors que d'autres très peu d'années.
Le nombre d'années peut peut-être dépendre de notre soif en la vérité. Le temps dépendrait donc de la mesure de notre soif à le transcender.
Ne faudrait-il pas considérer ici que la plupart des chercheurs ne souhaitent pas découvrir la vérité mais plutôt vivre une expérience ?
Ce qui implique évidemment que ces chercheurs cherchent à saisir par le mental ce qui n'est pas saisissable par le mental, ou la pensée. Alors ils s'accrochent à des pratiques diverses et toutes sortes de disciplines ou ascèses pour atteindre cet objectif. Ils suivent des maîtres, des philosophies ou religions dans l'espoir d'être un jour libérés.
Cette démarche là peut s'avérée très longue, effectivement et si toutefois l'éveil est au bout, extérieurement on pourrait évidemment éprouver le sentiment qu'il faut beaucoup de temps, voire toute une vie.
Tout en m'appuyant sur l'exemple de l'écureuil que vous citez, je voudrais tenter de vous faire toucher l'essence du vivant.
Ce qui est important dans votre exemple, c'est la façon dont vous "touchez" l'écureuil par votre regard alors que vous êtes triste et chargée de ce poids de cette tristesse à l'idée des êtres chers de votre entourage.
Comme quoi vous pouvez en un instant passer du poids pénible de votre tristesse à la présence de l'écureuil ou de la nature autour de vous.
De la même façon, vous pouvez passer de votre connu à l'inconnu, de l'endormissement à l'éveil, avec la même facilité et soudaineté.
Seulement vous ne pouvez être les deux à la fois, l'endormie et l'éveillée !
Remarquez seulement que vous choisissez de revenir à la réalité d'endormie, votre connu, la seule chose que vous connaissez, votre individualité.
La dissolution représente ce que vous ne connaissez pas, le vide en somme, le néant, la mort. Et si le vide est plein, comme je le dis si souvent, alors nous évoquons ici l'absolu, le terrain fondamental, autrement dit le jamais né et le jamais, mort, miracle de création éternelle, toujours fraîche. Nous évoquons notre véritable nature dont la nature de Bouddha en est devenue un symbole, mais nous parlons du vivant vibrant, du ressenti de la chose ici.
Mais je pose la question très sérieusement :
Peut-on avoir peur de ce que nous ne connaissons pas ?
Si nous ne le connaissons pas, il n'y a aucune raison d'en avoir peur du vide, de la mort, du néant, n'est-ce pas ?
Ce saut dans le vide a été très long à s'effectuer, en ce qui me concerne. Le connu me raccrochait toujours. Il m'arrivait de taire ma pensée un instant et de vivre le vide. Mais aussitôt ma pensée reprenait le dessus...
Seulement en avoir conscience, ne pas se juger, ne pas se faire des reproches, juste voir comment cela se passe, tranquillement, avec intérêt pour la découverte de soi. Ce que vous découvrez alors est de première main, vous n'imitez plus, ne suivez plus, ne répétez plus, vous découvrez d'instant en instant… C'est cela la porte, la barque pour l'autre rive, c'est vous-même, c'est la connaissance de soi par soi directement et la découverte de la façon dont vous fonctionnez, dont fonctionne le cerveau, et le cœur, et l'esprit, et aussi la façon dont vous vous comportez.
Dans l'attention vigilante sans choix, vous voyez tout, vous êtes connaissance, rien d'autre n'est nécessaire.
Vous savez, je m'en suis personnellement voulue de pas être capable de vivre longtemps le vide de l'esprit du temps et de la mesure. Je ne me sentais pas à la hauteur et en quelque sorte me culpabilisais.
Cette culpabilisation est inutile, je suis mon seul juge et bourreau.
J'ai reconnu cette culpabilisation comme un tour du moi pour continuer de se conforter lui-même, pour continuer de se confirmer. J'ai reconnu un nouveau rôle que le moi était en train de me faire jouer, il adore ça, il est ainsi le meneur, le patron, c'est lui le maître.
De cette façon je suis devenu consciente de tous les rôles que le moi s'amuse à nous faire prendre. Cette vision est déconditionnement, voyez en vous-même comment cela se passe, c'est cela la porte, cette action de voir, cette vision pénétrante, elle ne dépend pas de l'horizontal tout en s'y exprimant, tout en s'y manifestant, elle est impersonnelle.
Pardon d'être longue, il me semble que cela en vaut la peine.
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quelle belle plume!
Bonjour Seule,
Tout d'abord, ne vous excusez pas d'avoir été un peu longue, ce n'est pas le nombre de lignes qui importe mais bien leur contenu.Qui plus est,vous avez une qualité d'écriture que je trouve absolument magnifique,parce-que à la fois naturelle, touchante et riche.A ce titre,étant en ce moment un petit peu "comprimée"par les contingences d'un quotidien qui me happe dans ses obligations,je ne dispose que de peu de temps,quand bien-même,je souhaiterai vraiment approfondir avec vous,échanger,par rapport au magnifique post que vous venez d'écrire.A trés bientôt alors,Seule, au plaisir de vous lire en attendant.Fleur blanche.
Tout d'abord, ne vous excusez pas d'avoir été un peu longue, ce n'est pas le nombre de lignes qui importe mais bien leur contenu.Qui plus est,vous avez une qualité d'écriture que je trouve absolument magnifique,parce-que à la fois naturelle, touchante et riche.A ce titre,étant en ce moment un petit peu "comprimée"par les contingences d'un quotidien qui me happe dans ses obligations,je ne dispose que de peu de temps,quand bien-même,je souhaiterai vraiment approfondir avec vous,échanger,par rapport au magnifique post que vous venez d'écrire.A trés bientôt alors,Seule, au plaisir de vous lire en attendant.Fleur blanche.
Fleur blanche, je me suis permis de supprimer le doublon du message qu'il y avait, j'espere que j'ai bien fais...
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Re: quelle belle plume!
Bonsoir Fleur Blanchefleur blanche a écrit :Bonjour Seule,
Tout d'abord, ne vous excusez pas d'avoir été un peu longue, ce n'est pas le nombre de lignes qui importe mais bien leur contenu.Qui plus est,vous avez une qualité d'écriture que je trouve absolument magnifique,parce-que à la fois naturelle, touchante et riche.A ce titre,étant en ce moment un petit peu "comprimée"par les contingences d'un quotidien qui me happe dans ses obligations,je ne dispose que de peu de temps,quand bien-même,je souhaiterai vraiment approfondir avec vous,échanger,par rapport au magnifique post que vous venez d'écrire.A trés bientôt alors,Seule, au plaisir de vous lire en attendant.Fleur blanche.
Je suis très touchée de votre réponse, très touchée que mon écriture puisse rencontrer. Si vous saviez à quel point la rencontre m'importe, c'est une manière vibratoire de danser ensemble sur le tempo universel du vivant. Je suis convaincue qu'il est possible de danser ensemble par bien des canaux énergétiques mais y compris celui de l'écriture via ce forum.
Je sais bien ce que vous entendez par la happe des obligations. Je ne suis pas épargnée mais à l'âge de mes 54 ans aujourd'hui, rien ne m'importe plus que d'accorder de l'espace à mes obligations. Accorder de l'espace à l'espace, c'est une manière d'oxygéner les cellules cérébrales.
C'est absolument nécessaire et combien naturel le renouvellement et sans espace, pas de renouvellement, les circuits énérgétiques sont bouchés.
Je vous embrasse au profond. Merci de votre vraie réponse
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- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
Demain
Bonsoir chère Seule,
Qu'il me plaît de vous lire! Je vais essayer ,demain,d'arracher de l'espace au temps,pour danser avec vous sur le théme de la conscience immédiate,de la présence,dont vous avez su exprimer toute la quintescence.
Moi aussi,je vous renvoie ce baiser au plus profond.Fleur blanche.
Qu'il me plaît de vous lire! Je vais essayer ,demain,d'arracher de l'espace au temps,pour danser avec vous sur le théme de la conscience immédiate,de la présence,dont vous avez su exprimer toute la quintescence.
Moi aussi,je vous renvoie ce baiser au plus profond.Fleur blanche.
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- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
Dépouillement de soi
D'un côté vous dites qu'il n'est pas nécessaire de suivre une pratique particulière et de l'autre vous défendez l'idée que cette transcendance est le fruit de tout une vie....
Seule,j'apporte une nuance,je n'affirme aucunement qu'il n'est pas nécessaire de suivre une pratique,je livre juste le témoignage d'un vécu,d'une expérience de "dépouillement" de soi ,naît dans l'isolement et résultante d'une situation de souffrance.Cette souffrance,flèche qui transperce ,momentanément, mon coeur,devient à la fin une fleur(si je puis dire.....).Cette souffrance aigue,acérée,à son apogée,porte en elle le germe de la compassion envers la condition humaine(et,attention,je ne dis aucunement qu'il faille souffrir pour cela...).Libérée d'elle(aprés m'être littéralement "fondue "en elle), c'est alors un regard neuf qui s'offre à "moi",comme une virginité à la vie(malheureusement expérience trés fugitive...).C'est quand je cesse de combattre face à ce qui m'arrive ,et à ce qui se passe en" moi",qu'alors les "charniers" de ma vie en ça de bon, qu'ils deviennent parfois des remédes... Par ailleurs,je ne prétends aucunement qu'il s'agisse là d'une transcendance,il s'agirait plutôt d'une conscience "flash",immédiate ,crue et nue,exempte de tout raisonnement,de toute pensée analytique,c'est ,en soi,une libération,une vigilance passive,attention à ce qui est,non fractionnée,non dirigée,sans intention,je vous rejoins là-dessus.
Je retiens là ,le terme "s'accrocher" qui induit un blocage,un "forcing",encore une façon de "vouloir"changer,d'entrtenir une insatisfaction foncière,d'entretenir un conflit avec soi,mais je ne crois pas que ce soit-là une généralité,au contraire beaucoup y apprennent le détachement qui est à l'encontre de" l'accrochement".C'est ce à quoi,j'aspire en pratiquant le yoga,me "décrocher" du bavardage incessant du mental,m'apaiser,un peu comme m'apaise le contact solitaire avec la nature,mais ce n'est pas la meme chose,l'un est le fruit d'une démarche volontaire,l'autre émerge de façon aléatoire et spontané.En tout cas les deux écartent toute intellectualisation,dans laquelle mon égo se complaît,et Dieu que ça fait du bien!("Heureux les simples d'esprit").La relaxation ,qui suit, généralement,une séance de yoga me permet ,désormais,(car ce fût trés long ),de me "déposer"dans un silence intérieur,une nuit intérieure,où ,coupée de mes sens,je ne pense plus,enfin,je ne ressens plus,enfin,et pourtant je suis ,profondément.Dans cette coupure sensorielle,c'est alors un espace immense qui s'offre,extrêmement reposant et ressourcant.Alors,je me garderai de faire prévaloir telle ou telle expérience,il y a simplement ,pour moi, dans la voie du yoga,la possibilité de "pérreniser" un retour à cet état de pure conscience.Et la persévérance,l'habitude ,l'application,rendent,à chaque fois,ce "glissement" un peu plus facile.
Pour tout ce que vous exprimer par la suite,et notamment,le passage sur la conscience et la connaissance de soi,il y faudrait ouvrir une véritable dissertation ,trés interressante,mais trés prenante,et pour ce jour,je ne peux m'offrir ce luxe,mais offrir mon temps à mes adorables fillettes....Plus tard,j'éspère,nous y reviendrons.Aussi je tenais à vous dire que je "comprends" tout le reste de vos propos,cela se passe donc de toute évaluation,de tout commentaire,ils sont beaux et vrais.Chaleureusement.Fleur blanche.
Seule,j'apporte une nuance,je n'affirme aucunement qu'il n'est pas nécessaire de suivre une pratique,je livre juste le témoignage d'un vécu,d'une expérience de "dépouillement" de soi ,naît dans l'isolement et résultante d'une situation de souffrance.Cette souffrance,flèche qui transperce ,momentanément, mon coeur,devient à la fin une fleur(si je puis dire.....).Cette souffrance aigue,acérée,à son apogée,porte en elle le germe de la compassion envers la condition humaine(et,attention,je ne dis aucunement qu'il faille souffrir pour cela...).Libérée d'elle(aprés m'être littéralement "fondue "en elle), c'est alors un regard neuf qui s'offre à "moi",comme une virginité à la vie(malheureusement expérience trés fugitive...).C'est quand je cesse de combattre face à ce qui m'arrive ,et à ce qui se passe en" moi",qu'alors les "charniers" de ma vie en ça de bon, qu'ils deviennent parfois des remédes... Par ailleurs,je ne prétends aucunement qu'il s'agisse là d'une transcendance,il s'agirait plutôt d'une conscience "flash",immédiate ,crue et nue,exempte de tout raisonnement,de toute pensée analytique,c'est ,en soi,une libération,une vigilance passive,attention à ce qui est,non fractionnée,non dirigée,sans intention,je vous rejoins là-dessus.
Alors ils s'accrochent à des pratiques diverses et toutes sortes de disciplines ou ascèses pour atteindre cet objectif. Ils suivent des maîtres, des philosophies ou religions dans l'espoir d'être un jour libérés.
Je retiens là ,le terme "s'accrocher" qui induit un blocage,un "forcing",encore une façon de "vouloir"changer,d'entrtenir une insatisfaction foncière,d'entretenir un conflit avec soi,mais je ne crois pas que ce soit-là une généralité,au contraire beaucoup y apprennent le détachement qui est à l'encontre de" l'accrochement".C'est ce à quoi,j'aspire en pratiquant le yoga,me "décrocher" du bavardage incessant du mental,m'apaiser,un peu comme m'apaise le contact solitaire avec la nature,mais ce n'est pas la meme chose,l'un est le fruit d'une démarche volontaire,l'autre émerge de façon aléatoire et spontané.En tout cas les deux écartent toute intellectualisation,dans laquelle mon égo se complaît,et Dieu que ça fait du bien!("Heureux les simples d'esprit").La relaxation ,qui suit, généralement,une séance de yoga me permet ,désormais,(car ce fût trés long ),de me "déposer"dans un silence intérieur,une nuit intérieure,où ,coupée de mes sens,je ne pense plus,enfin,je ne ressens plus,enfin,et pourtant je suis ,profondément.Dans cette coupure sensorielle,c'est alors un espace immense qui s'offre,extrêmement reposant et ressourcant.Alors,je me garderai de faire prévaloir telle ou telle expérience,il y a simplement ,pour moi, dans la voie du yoga,la possibilité de "pérreniser" un retour à cet état de pure conscience.Et la persévérance,l'habitude ,l'application,rendent,à chaque fois,ce "glissement" un peu plus facile.
D'où la nature éphémère et illusoire de toutes émotions ,face à ce qui est,de façon impermanente.Ce qui est important dans votre exemple, c'est la façon dont vous "touchez" l'écureuil par votre regard alors que vous êtes triste et chargée de ce poids de cette tristesse à l'idée des êtres chers de votre entourage.
Comme quoi vous pouvez en un instant passer du poids pénible de votre tristesse à la présence de l'écureuil ou de la nature autour de vous.
Oui,en toute logique,mais ces peurs sont profondes,irraisonnées,non intellectualisées(inconscient collectif?).Hier soir,par exemple,j'avais le "trouillométre" à son maximum alors que je traversais ,avec mon véhicule,tardivement,une forêt de nuit,des peurs enfantines de "loup-garou" me revenaient....J'avais beau me dire que c'était du n'importe quoi,et que je n'étais plus une enfant pour me laisser impressionner de la sorte,il n'en reste pas moins que j'avais grande hâte de rentrer chez moi!Gag!Peut-on avoir peur de ce que nous ne connaissons pas ?
Si nous ne le connaissons pas, il n'y a aucune raison d'en avoir peur du vide, de la mort, du néant, n'est-ce pas ?
Pour tout ce que vous exprimer par la suite,et notamment,le passage sur la conscience et la connaissance de soi,il y faudrait ouvrir une véritable dissertation ,trés interressante,mais trés prenante,et pour ce jour,je ne peux m'offrir ce luxe,mais offrir mon temps à mes adorables fillettes....Plus tard,j'éspère,nous y reviendrons.Aussi je tenais à vous dire que je "comprends" tout le reste de vos propos,cela se passe donc de toute évaluation,de tout commentaire,ils sont beaux et vrais.Chaleureusement.Fleur blanche.
Bonjour Fleur Blanche,
Je lis avec beaucoup d'attention votre post. Je ne vous réponds pas immédiatement, mon intervention est juste pour vous signifier combien je vous entends parfaitement, combien cela glisse en moi, résonne.
Vous avec la faculté de la simplicité et de l'épuration, j'aime beaucoup ça !
Merci à vous, je vous répondrais plus longuement aussitôt que possible. Ce que vous écrivez est très intéressant.
Je lis avec beaucoup d'attention votre post. Je ne vous réponds pas immédiatement, mon intervention est juste pour vous signifier combien je vous entends parfaitement, combien cela glisse en moi, résonne.
Vous avec la faculté de la simplicité et de l'épuration, j'aime beaucoup ça !
Merci à vous, je vous répondrais plus longuement aussitôt que possible. Ce que vous écrivez est très intéressant.
Oui c'est vrai que ce qu'écrit Fleur Blanche est beau, mais la réalité, sa réalité est autre... Elle s'est présentée sur le forum comme quelqu'un ayant des problèmes :
La beauté d'une poésie, si touchante soit elle, n'enlève rien à la réalité où nous sommes, rien à ce que nous sommes. Elle peut, peut-être masquer pendant un instant nos doutes et souffrances, mais il me semble rien de plus...
Il est bien plus dur et réel d'entrer en soi que de se faire plaisir avec des mots et de belles sensations, façon "coeur ouvert" mais sans aucune force.
Je crois que cela montre très clairement le jeu de la poésie qui reste pour moi, quand même, très intellectuel. Ce fameux intellectuel qui nous laisse entrevoir que ce qu'il veut et nous amène dans la dérive rapidement avec, sans l'oublier, le grand coté de la sensiblerie et toutes ses illusions qui nous apporte.fleur blanche a écrit :je vais donc à mes séances de yoga Comme un assoiffé à la source!Toutefois, je n'ose toujours pas tenter la méditation,aprés essais j'ai essuyé Des crises d'angoisse,Des pleurs profonds
La beauté d'une poésie, si touchante soit elle, n'enlève rien à la réalité où nous sommes, rien à ce que nous sommes. Elle peut, peut-être masquer pendant un instant nos doutes et souffrances, mais il me semble rien de plus...
Il est bien plus dur et réel d'entrer en soi que de se faire plaisir avec des mots et de belles sensations, façon "coeur ouvert" mais sans aucune force.
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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J'entends bien, c'est justement ce qui me parle."je livre juste le témoignage d'un vécu,d'une expérience de "dépouillement" de soi ,naît dans l'isolement et résultante d'une situation de souffrance."
Je relève que vous ne donnez pas la souffrance comme condition à l'esprit de compassion. Je partage votre vision, bien entendu. Et je partage aussi l'idée qu'une souffrance aigue porte en elle le germe de la compassion. Mais pour le plaisir de l'échange, apportons une nuance. Ce n'est pas toujours vrai qu'une souffrance aigue porte en elle le germe de la compassion."Cette souffrance,flèche qui transperce ,momentanément, mon coeur,devient à la fin une fleur(si je puis dire.....).Cette souffrance aigue,acérée,à son apogée,porte en elle le germe de la compassion envers la condition humaine(et,attention,je ne dis aucunement qu'il faille souffrir pour cela...)"
Alors j'avancerais timidement l'idée qu'une certaine sensibilité est nécessaire. Je dis bien une certaine sensibilité, ce qui veut dire pas n'importe laquelle. C'est le terrain qui me pousse à dire cela, l'observation des mécanismes du mental en moi mais aussi autour de moi, chez autrui.
Car la question qui se pose c'est pourquoi lui ou elle et pas elle ou lui pourtant aussi sensibles ? Et si l'élitisme est rejeté parce que trop infantile, nous sommes obligés de nous demander si en effet une certaine sensibilité n'est pas utile ?
Mais alors de quelle sensibilité parlerions-nous ? Comment la distinguer d'une autre, sur quel critère nous appuyer ?
Ce type de cheminement m'amène à considérer que cette sensibilité, voire souffrance, doit être telle que la mort y est incluse. Et cela ce n'est pas donné à tous ! D'où le peu d'éveillés.
Si le concept de mourir vivant dérange, je veux bien utiliser un autre symbole peut être aussi expressif, c'est celui de l'acceptation. Mourir c'est accepter l'inacceptable.
Et voilà, l'identité est si importante dans notre culture, être quelqu'un ou quelque chose est si puissamment ancrée dans nos esprits conditionnés par les millénaires précédents. Alors l'acceptation de se perdre irrémédiablement, provoque un véritable ras de marée chez l'ego, une peur à la fois consciente et inconsciente, une peur viscérale et psychologique.
C'est d'un coup remettre en cause tout ce que nous avions cru, toutes les valeurs sur lesquelles nous nous sommes appuyés, c'est en clair la destruction de notre incarnation, la destruction du moi séparatif et oppositionnel…
Ce qui veut bien dire que nous avons limité la vie à une existence séparée, à la naissance et à la mort d'une entité séparée que nous prenons pour une incarnation.
S'incarner n'est-ce pas s'identifier ? N'être rien c'est participer à un mouvement universel de création perpétuelle et toujours renouvelée, ce n'est pas se limiter à une incarnation dans le temps et l'espace et limitée au temps et à l'espace.
Vu la souffrance à laquelle vous faites allusion, Fleur blanche, son intensité, n'êtes vous pas passé par une telle mort et une telle acceptation ? D'où votre renaissance…, et votre touché de l'esprit d'innocence. L'esprit d'innocence est la mort du passé, la mort totale du savoir. L'esprit d'innocence est le vide de l'esprit de séparation, le silence des acquis.
Accepter de mourir c'est accepter de ne plus s'identifier, c'est cela l'esprit de nudité totale qui est l'esprit d'innocence, cette transparence là, cette dissolution là du connu, cette vacuité ou vide qui embrasse la création entière, ici et maintenant, jamais hier ni demain.
L'autre mouvement, qui n'est pas celui du connu ou de l'entité séparée, qui n'est pas seulement linéaire, peut alors pénétrer un cerveau vidé de la mémoire et de sa réaction. Le rythme d'un tel mouvement holistique se touche en touchant la Nature de laquelle nous ne sommes pas séparés. Entendre la Nature et ses lois harmonieuses, c'est changer de rythme et aussi ne plus se situer dans la direction de la flèche du temps et de la mesure qui va du passé vers le futur et dont le rôle n'est qu'utilitaire.
Le rythme de la compassion, c'est toujours ici et maintenant, jamais hier et jamais demain. Car la compassion est de l'ordre de la spontanéité, elle est impersonnelle, l'esprit du temps, le connu, l'entité séparée n'y a pas accès, ne le croyez pas, celui qui sait ne sait pas !
Au profond du vivant où nous nous rencontrons joyeusement,
Fleur Blanche
Re: Dépouillement de soi
Oui, c'est cela, je vous remercie vraiment. Je danse déjà avec vous, c'est une joie pure, merci chaleureusement.Oui, d'accord, je veux bien croire votre optimisme...fleur blanche a écrit :
Je retiens là ,le terme "s'accrocher" qui induit un blocage,un "forcing",encore une façon de "vouloir"changer,d'entrtenir une insatisfaction foncière,d'entretenir un conflit avec soi,mais je ne crois pas que ce soit-là une généralité,au contraire beaucoup y apprennent le détachement qui est à l'encontre de" l'accrochement".
Exactement.C'est ce à quoi,j'aspire en pratiquant le yoga,me "décrocher" du bavardage incessant du mental,m'apaiser,un peu comme m'apaise le contact solitaire avec la nature,mais ce n'est pas la meme chose,l'un est le fruit d'une démarche volontaire,l'autre émerge de façon aléatoire et spontané.
Croyez bien que je comprends. Mais cela ne me suffit pas personnellement, le vide seul du passé ne me suffit pas en ce sens que cela ne me rempli pas ! Ce n'est pas encore la plénitude... Je suis passé par là, il me manquait la beauté, l'amour, le coeur. Il me fallait encore rencontrer le mouvement de l'intelligence parfaite de la création.En tout cas les deux écartent toute intellectualisation,dans laquelle mon égo se complaît,et Dieu que ça fait du bien!("Heureux les simples d'esprit")
Je comprends. Si ce "jesuis profondément"inclue le création entière, alors d'accord. Sino, élargissez vous à l'extérieur, ne vous contentez pas de l'intériorité, vous êtes infinie, l'infini vivant, vibrant, en mouvement..La relaxation ,qui suit, généralement,une séance de yoga me permet ,désormais,(car ce fût trés long ),de me "déposer"dans un silence intérieur,une nuit intérieure,où ,coupée de mes sens,je ne pense plus,enfin,je ne ressens plus,enfin,et pourtant je suis ,profondément.
Oui, c'est réel.Dans cette coupure sensorielle,c'est alors un espace immense qui s'offre,extrêmement reposant et ressourcant
Bon, je n'en discute pas.derai de faire prévaloir telle ou telle expérience,il y a simplement ,pour moi, dans la voie du yoga,la possibilité de "pérreniser" un retour à cet état de pure conscience.Et la persévérance,l'habitude ,l'application,rendent,à chaque fois,ce "glissement" un peu plus facile.
OuiD'où la nature éphémère et illusoire de toutes émotions ,face à ce qui est,de façon impermanente.
Oui...Oui,en toute logique,mais ces peurs sont profondes,irraisonnées,non intellectualisées(inconscient collectif?)
Oui, je joue avec ces peurs, j'aime les surprendre et j'écoute leur vibration, les vibrations auxquelles elles renvoient dans l'organisme, liéesàdes peurs de l'enfance...Hier soir,par exemple,j'avais le "trouillométre" à son maximum alors que je traversais ,avec mon véhicule,tardivement,une forêt de nuit,des peurs enfantines de "loup-garou" me revenaient....J'avais beau me dire que c'était du n'importe quoi,et que je n'étais plus une enfant pour me laisser impressionner de la sorte,il n'en reste pas moins que j'avais grande hâte de rentrer chez moi!
cela se passe donc de toute évaluation,de tout commentaire.
Je suis assez d'accord avec ce que tu dis Denis.Denis a écrit :Oui c'est vrai que ce qu'écrit Fleur Blanche est beau, mais la réalité, sa réalité est autre... Elle s'est présentée sur le forum comme quelqu'un ayant des problèmes :
Je crois que cela montre très clairement le jeu de la poésie qui reste pour moi, quand même, très intellectuel. Ce fameux intellectuel qui nous laisse entrevoir que ce qu'il veut et nous amène dans la dérive rapidement avec, sans l'oublier, le grand coté de la sensiblerie et toutes ses illusions qui nous apporte.fleur blanche a écrit :je vais donc à mes séances de yoga Comme un assoiffé à la source!Toutefois, je n'ose toujours pas tenter la méditation,aprés essais j'ai essuyé Des crises d'angoisse,Des pleurs profonds
La beauté d'une poésie, si touchante soit elle, n'enlève rien à la réalité où nous sommes, rien à ce que nous sommes. Elle peut, peut-être masquer pendant un instant nos doutes et souffrances, mais il me semble rien de plus...
Il est bien plus dur et réel d'entrer en soi que de se faire plaisir avec des mots et de belles sensations, façon "coeur ouvert" mais sans aucune force.
En ce qui concerne Fleur Blanche, je suis très confiante en elle, ses posts prouvent une écoute etune sensibilité peu commune. Pour moi ce qu'elle écrit est vrai, cela ne s'invente pas, son ressenti la dirige et la dirige bien, sûrement.
Assurément il transperce une douleur vive en elle, je la sens sur le point d'en triompher.
Bon, elle se rend à des séances de yoga comme une assoiffée à la source, c'est si touchant ! Mais si par ce biais elle entre en elle et parvient à une plus grande sérénité, pourquoi pas ? Si par ce biais cela lui donne de se recentrer et d'être à l'écoute d'un autre son que celui de son mental récurrent, pourquoi pas ?
Moi c'était la nature qui facilitait ma sortie du corps et du mental. Une nécessité comme absolue de me ressourcer dans la nature, jusqu'à ce que je découvre que je suis la nature et peu importe où je sois, la nature est toujours avec moi.
C'est commle l'énergie, chercher l'énergie dehors, dans une salle de yoga par exemple, cela peut apprendre à ne plus la chercher en dehors de soi, nous sommes l'énergie vie.
Et puis les posts de Fleurs Blanche aujourd'hui ne sont pas les posts de Fleur Blanche hier, la vie bouge et Fleur Blanche aussi...
Modifié en dernier par Seule le 29 nov. 2006, 19:08, modifié 1 fois.
Je vais vous raconter une histoire. Je viens de faire la rencontre d'un garçon de trente ans. Il est grand, pas spécialement beau de visage mais cependant il n'est pas dépourvu de charme. Il est absolument aimable bien que sa vibration reste assez dure, oui, on peut dire qu'il est dur de caractère. En fait c'est très juste ce caractère, vu sa lucidité.
Ce n'est pas pour dire mais question lucidité, je suis assez branchée…, j'en suis passionnée au point d'y consacrer une grande partie de ma vie. Disons que malgré moi, cela prend une place considérable dans ma vie.
Ce n'est pas une question de temps à consacrer à la lucidité, ni la question d'y penser souvent, c'est une question de lâcher prise frontal, ce qui a évidemment une répercussion dans l'organisme, lequel se dénoue.
Ce lâcher prise si mystérieux pour bien des chercheurs de vérité, c'est simplement accorder de l'espace entre les pensées, c'est en somme la rencontre du silence, l'autre partie de soi-même…
Mais ce garçon si lucide dont-il était question, c'était une véritable joie de l'entendre parler des mécanismes du conditionnement. Sa vision de la société et du monde, et donc de lui-même, est un enchantement à votre oreille si vous saviez l'écouter.
Il est doué d'un potentiel énorme, la sensibilité. Je le lui ai dit : "c'est elle qui te guide !"
En fait sa clairvoyance était égale à sa sensibilité profonde.
Et bien voyez-vous, je vous le dis brutalement, il lui manque l'amour, il lui manque la dimension du cœur et c'est dire celle de la beauté, de cette rayonnante intelligence là.
La lucidité sans le cœur n'est pas totale. Et la beauté sans la nature, hors la création, ce mouvement de vie si colossal, si extraordinairement infini, n'est alors qu'une projection mentale. Tous nos sens peuvent participer à l'enchantement du miracle de vie, dans une présence sans concession à soi-même.
Nous nous sommes tout de suite connectés sur l'essentiel lui et moi, spontanément. Nous avons une amie commune laquelle est très chargée émotivement, elle porte un poids considérable sur ses frêles épaules. Elle est noyée dans les soucis et les peurs du lendemain.
Le regard de mon nouveau compagnon de route ici bas quant à la situation de notre amie, était extrêmement clair, on y sentait une rigueur qu'il ne possédait pas lui-même.
Voilà, c'est ça mon histoire.
Ce n'est pas pour dire mais question lucidité, je suis assez branchée…, j'en suis passionnée au point d'y consacrer une grande partie de ma vie. Disons que malgré moi, cela prend une place considérable dans ma vie.
Ce n'est pas une question de temps à consacrer à la lucidité, ni la question d'y penser souvent, c'est une question de lâcher prise frontal, ce qui a évidemment une répercussion dans l'organisme, lequel se dénoue.
Ce lâcher prise si mystérieux pour bien des chercheurs de vérité, c'est simplement accorder de l'espace entre les pensées, c'est en somme la rencontre du silence, l'autre partie de soi-même…
Mais ce garçon si lucide dont-il était question, c'était une véritable joie de l'entendre parler des mécanismes du conditionnement. Sa vision de la société et du monde, et donc de lui-même, est un enchantement à votre oreille si vous saviez l'écouter.
Il est doué d'un potentiel énorme, la sensibilité. Je le lui ai dit : "c'est elle qui te guide !"
En fait sa clairvoyance était égale à sa sensibilité profonde.
Et bien voyez-vous, je vous le dis brutalement, il lui manque l'amour, il lui manque la dimension du cœur et c'est dire celle de la beauté, de cette rayonnante intelligence là.
La lucidité sans le cœur n'est pas totale. Et la beauté sans la nature, hors la création, ce mouvement de vie si colossal, si extraordinairement infini, n'est alors qu'une projection mentale. Tous nos sens peuvent participer à l'enchantement du miracle de vie, dans une présence sans concession à soi-même.
Nous nous sommes tout de suite connectés sur l'essentiel lui et moi, spontanément. Nous avons une amie commune laquelle est très chargée émotivement, elle porte un poids considérable sur ses frêles épaules. Elle est noyée dans les soucis et les peurs du lendemain.
Le regard de mon nouveau compagnon de route ici bas quant à la situation de notre amie, était extrêmement clair, on y sentait une rigueur qu'il ne possédait pas lui-même.
Voilà, c'est ça mon histoire.
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- Messages : 27
- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
merci
Chère Seule,
Il y a quelques années,je suis morte ,intérieurement.
Les circonstances et les faits importent peu.Mais, le désespoir,la misère soudaine,la perte,d'un coup de tous ses repères,m'ont conduites à cet état de mort intérieure.C'était une expérience d'absence totale d'espoir,et pourtant le début d'un recommençement , avec tous ces tâtonnements....et il y en a encore tellement....Je n'avais plus rien à m'"accrocher",je prenais en pleine figure la réalité de l'imparnence et du changement.N'importe où,n'importe quand,le sol sur lequel on s'est bâti,peut s'ouvrir et nous ensevelir;je ne suis rien,et "rien" fait pourtant partie de Tout.La seule chose dont je sois sûre c'est ma finitude,et la beauté de ma parfaite imperfection,comme celle de l'écureuil.
Seule, merci, merci d'offrir par le biais de votre écriture la beauté de l'essentiel.
Au fait,votre petite histoire m'a touchée,je l'ai bien aimée
Fleur blanche(éphémère,fragile,si petite que l'on peut marcher dessus sans crier garde,dommage c'était joli...)
Je ne manquerai pas ,Seule,de vous lire.De tout mon coeur je vous embrasse!.
Il y a quelques années,je suis morte ,intérieurement.
Les circonstances et les faits importent peu.Mais, le désespoir,la misère soudaine,la perte,d'un coup de tous ses repères,m'ont conduites à cet état de mort intérieure.C'était une expérience d'absence totale d'espoir,et pourtant le début d'un recommençement , avec tous ces tâtonnements....et il y en a encore tellement....Je n'avais plus rien à m'"accrocher",je prenais en pleine figure la réalité de l'imparnence et du changement.N'importe où,n'importe quand,le sol sur lequel on s'est bâti,peut s'ouvrir et nous ensevelir;je ne suis rien,et "rien" fait pourtant partie de Tout.La seule chose dont je sois sûre c'est ma finitude,et la beauté de ma parfaite imperfection,comme celle de l'écureuil.
Seule, merci, merci d'offrir par le biais de votre écriture la beauté de l'essentiel.
Au fait,votre petite histoire m'a touchée,je l'ai bien aimée
Fleur blanche(éphémère,fragile,si petite que l'on peut marcher dessus sans crier garde,dommage c'était joli...)
Je ne manquerai pas ,Seule,de vous lire.De tout mon coeur je vous embrasse!.
Alors les filles, on a trouvé un coin pour papotter entre nana... Vous parlez broderie, tricot et j'en passe hein?? Vous voulez pas rejoindre les mecs qui parlent techniques, continence, éjac, sperme, crotin de cheval et j'en passe Bon j'vous laisse entre vous moi j'vais retrouver mes pots
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:19, modifié 1 fois.
Youpiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!seule a écrit :Je comprends. Si ce "jesuis profondément"inclue le création entière, alors d'accord. Sino, élargissez vous à l'extérieur, ne vous contentez pas de l'intériorité, vous êtes infinie, l'infini vivant, vibrant, en mouvement.
Seule, tu viens enfin d'écrire une chose concrète, soyons plus honnête, tu viens enfin d'écrire une technique qui elle peut aider !!!!...
Oui, dans la pratique, quand on tente de méditer ou dans la "relaxation" qu'on peut faire en fin de cours, il faut tenter de faire disparaitre l'idée du mur que représente notre peau. Cette idée met en place un monde intérieur et un monde extérieur, donc cette discrimination congénitale.
Se sentir pris dans une expansion sans fin, sans borne est une chose étrange qui peut nous amener loin...
Toujours un peu sufisant le , mais jovial ce matin...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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"Si vous devez être fou d'Amour, soyez-le pour le Seigneur et non pour les choses de ce monde"a écrit :Alors les filles, on a trouvé un coin pour papotter entre nana... Vous parlez broderie, tricot et j'en passe hein?? Vous voulez pas rejoindre les mecs qui parlent techniques, continence, éjac, sperme, crotin de cheval et j'en passe Bon j'vous laisse entre vous moi j'vais retrouver mes pots
Coucou Denis,Denis a écrit :Youpiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!seule a écrit :Je comprends. Si ce "jesuis profondément"inclue le création entière, alors d'accord. Sino, élargissez vous à l'extérieur, ne vous contentez pas de l'intériorité, vous êtes infinie, l'infini vivant, vibrant, en mouvement.
Seule, tu viens enfin d'écrire une chose concrète, soyons plus honnête, tu viens enfin d'écrire une technique qui elle peut aider !!!!...
Oui, dans la pratique, quand on tente de méditer ou dans la "relaxation" qu'on peut faire en fin de cours, il faut tenter de faire disparaitre l'idée du mur que représente notre peau. Cette idée met en place un monde intérieur et un monde extérieur, donc cette discrimination congénitale.
Se sentir pris dans une expansion sans fin, sans borne est une chose étrange qui peut nous amener loin...
Toujours un peu sufisant le , mais jovial ce matin...
Je suis ravie que tu le vois !
C'est tout à fait juste, il y a ici une indication énorme, quelque chose d'énorme à saisir.
Si tu veux bien Denis, et je te remercie de cette intervention qui permet un éclaire selon moi utile, sinon toi-même ne s'y serait pas arrêté, c'est ton expression finale qui me gène :
"Se sentir pris dans une expansion sans fin, sans borne est une chose étrange qui peut nous amener loin..."
On ne se sent pas pris dans une expension sans fin..., seul cela est, nous sommes cela, le reste n'était qu'une illusion...
Oui oui, Fleur Blanche, nous sommes cela, aussi colossalement cela, aussi incommensurablement cela.
Alors vous vous rendez compte toutes les bêtises auxquelles il nous faut mourir ? Mourons donc en une seule fois, par l'action de rendre le moi silencieux, lequel est la mesure et la petitesse. Voyons-le, voyons clairement le mouvement horizontal du moi, voir cela, c'est dévoiler notre identification, notre maya...
C'est maintenant la vie, vivons mes amis, soyons de cette joie là, partout présente dans la légèreté de la liberté...
Re: merci
Oui oui, rien est tout. Entre rien et tout, il n'y a pas d'espâce. Tout le monde construit un espace, même les érudits en la matière, mais entre rien et tout, il n'y a pas d'espace de séparartion.fleur blanche a écrit :.N'importe où,n'importe quand,le sol sur lequel on s'est bâti,peut s'ouvrir et nous ensevelir;je ne suis rien,et "rien" fait pourtant partie de Tout.
C'est comme entre esprit et matière, il n'y a pas d'espace de séparation, pas d'espace sous forme de temps à parcourir...
Entre toi et l'univers, il n'y a pas d'espace, l'espace c'est le conditionnement, c'est maya, mourir à l'ombre, c'est laisser la lumière vous éclairer.
Mourir au temps, c'est entrer dans le royaume du ici et maintenant, royaume éternel du vivant, le Père est avec vous.
Vous savez, c'est plus fort que moi, je viens vous trouver, il faut que cela jaillisse, je n'attends rien, je n'ai besoin de rien, je me sens proche de la fin, que voulez-vous que j'attende de ce monde sinon l'essentiel, cela qui ne naît jamais ni ne meure jamais ? Et l'essentiel c'est la vie, la relation, la beauté, le monde subtil en lequel aucune séparation n'existe entre vous et la création.
C'est depuis ce monde subtil que je m'exprime, on reçoit ou on ne reçoit pas, on a des oreilles ou on est sourds… Personne ne force personne ici, on voit soi-même ou on ne voit pas !
J'ai bien conscience de ne rien vous donner en plus. Je peux seulement vous aider à perdre d'avantage, je ne peux que vous aider à mourir un peu plus.
Je suis désolée, il faudrait savoir ce que nous voulons !
Nous voudrions la force et le pouvoir de Dieu, mais nous ne voulons pas mourir.
Nous voudrions être libres, mais sous la condition d'en profiter à partir de ce notre identification mesquine à un moi-je.
Nous nous complaisons dans notre connu depuis lequel nous aimerions attraper un peu de ce qui se trouve de l'autre côté, côté inconnu, côté fraîcheur...
Nous devons en avoir conscience, ne pas nous mentir.
En somme, nous refusons le changement, la mutation de la conscience. Nous choisissons les 10 % seulement du cerveau, le connu, le savoir, l'accumulation de connaissances en culture, religions et traditions, avec tout ce que cela comporte d'enfermement linéaire, horizontal, nous ne sommes que l'horizontal ici.
Il nous faut voir nécessairement notre conditionnement, le mouvement mécanique du mental, l'identification aux images, nous ne vivons qu'avec des images, c'est affreux quand on le voit en toute lucidité.
Et la lucidité est essentielle si nous voulons sortir de tout ce pétrin, c'est cela l'équilibre, sortir de ce grand déséquilibre, de ce grand bordel que nous sommes devenus, pardon de l'expression.
Voir en toute lucidité que je suis l'esclave du temps, du demain, c'est réaliser mon absence de présence au présent tel il est. Et c'est le présent qui libère du temps, de la prison du temps et de la pensée.
Avez-vous vraiment vu que sans pensées le temps n'existe pas ? En êtes vous certains de l'avoir réellement vu ?
Car si vous le voyez clairement, alors vous voyez que le moi n'est que pensées s'y rapportant, qu'une construction mentale, une identification au savoir, au passé à la fois proche et si lointain. La culture du moi c'est la culture de la séparation et de la tradition que nous perpétuons en toute bonne fois, c'est-à-dire en toute hypocrisie. Parce que l'ego et la bonne fois vous savez, on en est revenu sur ce forum…
"Bon, assez de baratin ! Quelle est la brèche là, tout de suite ? Parce que moi je suis resté coincée dans le temps depuis longtemps et tellement trop longtemps, que j'aimerais bien en sortir un chouia, et vous dites instantanément, alors je vous trouve un peu vantarde, grand-mère, plutôt présomptueuse et tueuse à la fois… !"
Je suis identifié depuis 54 ballais, et vous voulez me faire croire que là, soudain, d'un coup de baguette magique, je vais pouvoir vivre l'expansion de conscience ?"
Il ne s'agit pas d'un coup de baguette magique, il s'agit de voir dans une vision instantanée, tout le processus de l'ego, sa structure qui est temps. Voir cela, c'est en sortir, c'est en devenir libre dans l'instantanéité de l'instant.
Voir cela, c'est voir ce que vous n'êtes pas. Ce qui est, EST, éternellement nouveau, éternellement frais, sans âge, sans passé ni futur, création en mouvement multidirectionnel.
Croître et multiplier, c'est participer à l'action créatrice impersonnelle du mouvement cosmique.
Et ne venez pas me parler de la mort organique ! Ne retournons pas en arrière, cette mort là est renouvellement, c'est dire Intelligence. Aucune montagne n'est loin de nous, aucune mer n'est loin de nous, aucune plaine, aucun pays. Même les galaxies ne sont pas éloignées de nous, nous pouvons toucher les étoiles, tout est en soi, tout est Soi !
C'est depuis ce monde subtil que je m'exprime, on reçoit ou on ne reçoit pas, on a des oreilles ou on est sourds… Personne ne force personne ici, on voit soi-même ou on ne voit pas !
J'ai bien conscience de ne rien vous donner en plus. Je peux seulement vous aider à perdre d'avantage, je ne peux que vous aider à mourir un peu plus.
Je suis désolée, il faudrait savoir ce que nous voulons !
Nous voudrions la force et le pouvoir de Dieu, mais nous ne voulons pas mourir.
Nous voudrions être libres, mais sous la condition d'en profiter à partir de ce notre identification mesquine à un moi-je.
Nous nous complaisons dans notre connu depuis lequel nous aimerions attraper un peu de ce qui se trouve de l'autre côté, côté inconnu, côté fraîcheur...
Nous devons en avoir conscience, ne pas nous mentir.
En somme, nous refusons le changement, la mutation de la conscience. Nous choisissons les 10 % seulement du cerveau, le connu, le savoir, l'accumulation de connaissances en culture, religions et traditions, avec tout ce que cela comporte d'enfermement linéaire, horizontal, nous ne sommes que l'horizontal ici.
Il nous faut voir nécessairement notre conditionnement, le mouvement mécanique du mental, l'identification aux images, nous ne vivons qu'avec des images, c'est affreux quand on le voit en toute lucidité.
Et la lucidité est essentielle si nous voulons sortir de tout ce pétrin, c'est cela l'équilibre, sortir de ce grand déséquilibre, de ce grand bordel que nous sommes devenus, pardon de l'expression.
Voir en toute lucidité que je suis l'esclave du temps, du demain, c'est réaliser mon absence de présence au présent tel il est. Et c'est le présent qui libère du temps, de la prison du temps et de la pensée.
Avez-vous vraiment vu que sans pensées le temps n'existe pas ? En êtes vous certains de l'avoir réellement vu ?
Car si vous le voyez clairement, alors vous voyez que le moi n'est que pensées s'y rapportant, qu'une construction mentale, une identification au savoir, au passé à la fois proche et si lointain. La culture du moi c'est la culture de la séparation et de la tradition que nous perpétuons en toute bonne fois, c'est-à-dire en toute hypocrisie. Parce que l'ego et la bonne fois vous savez, on en est revenu sur ce forum…
"Bon, assez de baratin ! Quelle est la brèche là, tout de suite ? Parce que moi je suis resté coincée dans le temps depuis longtemps et tellement trop longtemps, que j'aimerais bien en sortir un chouia, et vous dites instantanément, alors je vous trouve un peu vantarde, grand-mère, plutôt présomptueuse et tueuse à la fois… !"
Je suis identifié depuis 54 ballais, et vous voulez me faire croire que là, soudain, d'un coup de baguette magique, je vais pouvoir vivre l'expansion de conscience ?"
Il ne s'agit pas d'un coup de baguette magique, il s'agit de voir dans une vision instantanée, tout le processus de l'ego, sa structure qui est temps. Voir cela, c'est en sortir, c'est en devenir libre dans l'instantanéité de l'instant.
Voir cela, c'est voir ce que vous n'êtes pas. Ce qui est, EST, éternellement nouveau, éternellement frais, sans âge, sans passé ni futur, création en mouvement multidirectionnel.
Croître et multiplier, c'est participer à l'action créatrice impersonnelle du mouvement cosmique.
Et ne venez pas me parler de la mort organique ! Ne retournons pas en arrière, cette mort là est renouvellement, c'est dire Intelligence. Aucune montagne n'est loin de nous, aucune mer n'est loin de nous, aucune plaine, aucun pays. Même les galaxies ne sont pas éloignées de nous, nous pouvons toucher les étoiles, tout est en soi, tout est Soi !
beatitude
lire et s'imbiber, le coeur prend le relai , l'envoie à la sensation, qui est pleine de d'amour devant de si jolis ecrits merci a vous deux .
Oui seule je crois que là aussi tu touches du doigt une belle chose...seule a écrit :Alors vous vous rendez compte toutes les bêtises auxquelles il nous faut mourir ? Mourons donc en une seule fois
Dans la tentative de faire une posture, une technique, si je la fait en attendant un "fruit", c'est partir du connu, en sachant quoi attndre, quoi chercher et donc arriver au connu.
Pour moi cela ne sera jamais Yoga !
Alors tenter une seule fois de mourir à nous même, de vivre notre mort comme si elle eétait là, de sentir toute notre histoire disparaitre, tous nos doutes, nos croyances, de sentir la fin, cela est une merveilleuse technique de Yoga et cela peut être la porte vers l'autre coté...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Un peu mièvre tout cela, non ?
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:19, modifié 1 fois.
Tu sais seule ne raconte pas que des bétises, ça vaut le coup de lire précisément ses posts, même si tout cela te semble un peu mièvre il y a quand même de très belles choses.
Modifié en dernier par Denis le 01 déc. 2006, 19:03, modifié 1 fois.
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Oui tu as bien raison Seule, enfin une prise de conscience... Ah au fait tu savais que les Sagittaires s'agitent trop au lieu de se taire
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:20, modifié 1 fois.
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- Messages : 27
- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
merci
Denis a écrit :Tu sais seule ne raconte pas que des bétises, ça vaut le coup de lire précisément ses posts, même si tout cela te semble un peu mièvre il y a quand même de très belles choses.
Merci,pour cette grande dame,qui , au" coeur "de ses propos, nous fait découvrir la" seule"chose que l'on ne peut réduire,la seule chose qui s'offre à nous sans condition,sans limite aucune,là, au" coeur "des choses,l'amour qui ne meurt pas.
C'est curieux, je ne sens pas indifférent du tout Pas même contre ce que nous échangeons ici. Je pense au contraire qu'il encourage cette discussion en l'aérant, par l'humour, et c'est génial...a écrit :Oui tu as bien raison Seule, enfin une prise de conscience... Ah au fait tu savais que les Sagittaires s'agitent trop au lieu de se taireSeule a écrit :Vous savez, c'est plus fort que moi,
"Bon, assez de baratin !
Tout à fait, et tout à fait d'accord de préciser "plus ou moins grande la part de vérité" !a écrit :Certes on a tous une part de vérité à exprimer... plus ou moins grande quand-même...
La mienne est impersonnelle, et c'est curieux, elle est celle de chacun de nous, et chacun de nous s'y retrouve si peu qu'il soit conscient et aussi attentif, avec de la sensibilité quand-même ! Un minimum je veux dire...
Bonsoir denis,Denis a écrit :Oui seule je crois que là aussi tu touches du doigt une belle chose...seule a écrit :Alors vous vous rendez compte toutes les bêtises auxquelles il nous faut mourir ? Mourons donc en une seule fois
Dans la tentative de faire une posture, une technique, si je la fait en attendant un "fruit", c'est partir du connu, en sachant quoi attndre, quoi chercher et donc arriver au connu.
Pour moi cela ne sera jamais Yoga !
Alors tenter une seule fois de mourir à nous même, de vivre notre mort comme si elle eétait là, de sentir toute notre histoire disparaitre, tous nos doutes, nos croyances, de sentir la fin, cela est une merveilleuse technique de Yoga et cela peut être la porte vers l'autre coté...
Je suis contente que tu fasses le lien avec le yoga ici.
Tu sais que je pratique la respiration consciente. C'est un total ressenti intérieur, un tel lâcher prise du frontal. Dans une posture aussi on peut éprouver ce total abandon de soi, jusqu'au point où l'Autre, le Tout Autre prends la relève, une énergie cosmique vous porte, l'énergie du coeur, et tout est soudain éclairé !
Cette mort est la porte oui, sans nul doute, je suis bien d'accord avec toi. Ce silence total du passé, et donc du futur qui n'est qu'une projection améliorée ou non, sur la base du passé, inclue le silence du moi, de l'entité séparée.
Si le yoga ne me donne pas de voir l'agitation mentale, et mon identification à cette agitation, alors inutile de pratiquer du yoga !
A quoi bon vivre le corps, le ressenti corporel, l'unification des énergies, si je ne prends conscience de combien les pensées m'agitent et font obstacle à la vacuité silencieuse ?
Dans la respiration, une vigilance du mouvement mental se développe naturellement. Soit nous vivons le percet, le ressenti, soit nous sommes conscepts, emportés dans le mouvement mental linéaire qui sait tout au sujet de tout.
Les critiques peuvent dirent ce qu'ils veulent, ce que j'expose le plus souvent par mon clavier qui remplace la belle plume, ce n'est ni plus ni moins ce qui se passe en soi, en chacun.
Chacun en effet dans le monde est identifié au mental, chacun est en devenir psychologiqument, le devenir du moi, de l'entité séparée. Même celui qui sincèrement cherche à se libérer, s'imagine lui-même libéré demain.
Ce n'est pas ce que je dis et Denis non plus, l'éveil est sans personne pour être libéré, la mort du passé et donc du moi passe par là, par cette mort du savoir, du moi, de l'entité séparée.
Alors oui Denis, ce passage doit être vu, entendu compris, la mort ne peut et ne doit pas être évitée. Sans le silence, l'amour ne viendra jamais nous visiter, l'amour est une qualité du silence qui contient tout, qui est tout, qui embrasse tout, comme l'espace et la liberté.
Mais au fait, celui qui donc est mort vivant, celui qui est devenu de cette qualité d'esprit vidé de la mémoire, aurait-il rencontré l'éternité ? Et dans ce cas, la mort pour lui, ce n'est qu'un concept de plus ?
Re: merci
C'est très juste, cela est gratuit, ici et maintenant, disponible, pourquoi ne puisons-nous pas ?fleur blanche a écrit :
Merci,pour cette grande dame,qui , au" coeur "de ses propos, nous fait découvrir la" seule"chose que l'on ne peut réduire,la seule chose qui s'offre à nous sans condition,sans limite aucune,là, au" coeur "des choses,l'amour qui ne meurt pas.
Parce que notre regard est orienté dehors vers le salut, le salut viendra de dehors, de demain, de ceci ou cela, de la spiritualité, du yoga, du maître, d'un nouveau messie, d'une belle femme ou d'un mari idéal, lorsque ce n'est pas le loto...
Dehors offre pourtant un champ de vastitude infinie, mais si le dedans est toujours en mouvement de devenir, de faire, d'accomplir, de mériter, de parvenir, de progresser, de quantifier, de totaliser, d'analyser, d'aboutir, d'obtenir, vous comprenez ?
Si mon cerveau est toujours occupé à devenir dans le temps, dans le futur, puis-je être pénétrée de cette immensité partout alentour et où que se posent les yeux ?
Oui Fleur Blanche, c'est la seule chose qui s'offre à nous sans concession, cette chose là c'est la vie elle-même, se reconnaissant en nous !
Y sommes-nous présents ?
Sommes-nous dignes, réceptacles et assez libres pour pour être un tel réceptacle ?
Car avant de donner, nous devons recevoir n'est-ce pas ?
Sommes nous connectés à la source vive, dans le silence, au point de jonction entre mort et vie, car vivre c'est mourir, c'est ce mouvement de création là, la création ?
Modifié en dernier par Seule le 01 déc. 2006, 19:22, modifié 1 fois.
Re: beatitude
Merci à toi, merci à la vie libre, merci à cette énergie sensible qui nous fait respirer ensemble..., qui nous fait voyager ensemble, danser ensemble sur le rythme cosmique et Sacré.yoda a écrit :lire et s'imbiber, le coeur prend le relai , l'envoie à la sensation, qui est pleine de d'amour devant de si jolis ecrits merci a vous deux .
Savez-vous, j'éprouve le sentiment que si nous étions nombreux à danser sur cette vibration là du vivant en nous et partout, et bien cela aurait une action considérable sur la conscience humaine et Une...
A qui parles-tu Seule ? Ne te sens-tu pas un peu seule Seule ??
Va falloir qu'on te trouve de nouvelles copines parce que pour l'instant tu papottes dans le vide ...
Denis doit bien avoir des copines qui aiment parler tricot, hein Denis ??
Va falloir qu'on te trouve de nouvelles copines parce que pour l'instant tu papottes dans le vide ...
Denis doit bien avoir des copines qui aiment parler tricot, hein Denis ??
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:20, modifié 1 fois.
Plouffff !!a écrit :A qui parles-tu Seule ? Ne te sens-tu pas un peu seule Seule ??
Va falloir qu'on te trouve de nouvelles copines parce que pour l'instant tu papottes dans le vide ...
Denis doit bien avoir des copines qui aiment parler tricot, hein Denis ??
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Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Je vais vous parler de ma pratique personnelle, celle de l'attention. L'attention doit devenir notre seconde nature, nous ne sommes pas attentifs !
La conscience de notre inattention est absolument nécessaire, se rendre compte de notre inattention au mouvement mécanique et répétitif de nos pensées sous notre crâne est un pas considérable dans la connaissance de soi. Et le premier pas c'est le dernier pas, répète Krishnamurti inlassablement.
Comment le premier pas peut –il être le dernier pas ? C'est une question que je me suis longtemps posée.
Au début c'est vous qui êtes attentif, vous vous croyez quelqu'un d'attentif, il y a un observateur de l'attention.
Et puis un beau jour, il ne reste que l'attention, l'attention est impersonnelle, elle n'appartient pas à un quelqu'un. C'est une attention sans intention, sans direction, sans objectif à atteindre, à devenir.
L'attention est l'état du cela qui est de toute éternité. L'attention est conscience, clarté-lucidité, l'attention Connaît, se connaît Connaissant.
L'attention c'est, pourrait-on dire, l'état de vigilance de l'amour, l'amour veille, l'amour est mouvement, il y a de la rigueur dans l'amour, une rigueur de flamme, de veille. Jésus en parlait métaphoriquement avec le symbole des lampes à huile.
Notre nature originelle est cet état de vigilance attentive, c'est l'état de veille attentive. Un état qui ne supporte plus la présence d'un quelqu'un qui serait attentif.
Alors le yoga, les exercices doivent être utilisés pour nous apprendre à mieux ressentir et par ce fait même, à mieux prendre de la distance avec le concept, avec le mental, avec la pensée et la mémoire, avec le champ du connu.
Le tout début c'est déjà se rendre compte que nous pensons du matin au soir, nous ne sommes que pensées. Dés le matin la machine cérébrale se met en route, et ainsi jusqu'au soir. Nous croyons résoudre tous nos problèmes avec le mental, le soir dans le lit avant de nous endormir nous ressassons encore notre journée, avec le bon et le mauvais.
Et c'est à partir de ce mental là que nous cherchons également la vérité, l'éveil, la réalité ultime, le fondamental, une vie déconditionnée, absente de peurs.
C'est si important pour nous de prendre conscience de cette activité de notre cerveau, de voir clairement que c'est dans et par le mental que nous existons, en tant qu'entité séparée.
Voir le mouvement de cette activité incessante, c'est commencer à lui accorder de l'espace, c'est se déconnecter de cette mécanicité et de cette identification à ce mouvement linéaire.
Alors les montagnes redeviennent des montagnes et les rivières des rivières, alors vous respirez pleinement, consciemment, de la conscience Une et impersonnelle.
Alors le vieil homme de l'évangile se tait, laisse la place, le nouvel homme est né, et avec lui la nouvelle terre en création multidirectionnellement. Son mouvement est expansion, comme la conscience que vous êtes, comme la nature de Bouddha que nous sommes, originellement. Nous l'avions seulement perdu… Le retrouver c'est nous re-connaître, c'est naître de nouveau.
Pour je vais faire l'effort de redescendre un peu de niveau lors des prochains posts, il semble entendre le langage des aiguilles à tricoter qu'il ne supporte pas plus. C'est normal, nous utiliserons donc le langage du seau, de la pelle et des chateaux de sable...
La conscience de notre inattention est absolument nécessaire, se rendre compte de notre inattention au mouvement mécanique et répétitif de nos pensées sous notre crâne est un pas considérable dans la connaissance de soi. Et le premier pas c'est le dernier pas, répète Krishnamurti inlassablement.
Comment le premier pas peut –il être le dernier pas ? C'est une question que je me suis longtemps posée.
Au début c'est vous qui êtes attentif, vous vous croyez quelqu'un d'attentif, il y a un observateur de l'attention.
Et puis un beau jour, il ne reste que l'attention, l'attention est impersonnelle, elle n'appartient pas à un quelqu'un. C'est une attention sans intention, sans direction, sans objectif à atteindre, à devenir.
L'attention est l'état du cela qui est de toute éternité. L'attention est conscience, clarté-lucidité, l'attention Connaît, se connaît Connaissant.
L'attention c'est, pourrait-on dire, l'état de vigilance de l'amour, l'amour veille, l'amour est mouvement, il y a de la rigueur dans l'amour, une rigueur de flamme, de veille. Jésus en parlait métaphoriquement avec le symbole des lampes à huile.
Notre nature originelle est cet état de vigilance attentive, c'est l'état de veille attentive. Un état qui ne supporte plus la présence d'un quelqu'un qui serait attentif.
Alors le yoga, les exercices doivent être utilisés pour nous apprendre à mieux ressentir et par ce fait même, à mieux prendre de la distance avec le concept, avec le mental, avec la pensée et la mémoire, avec le champ du connu.
Le tout début c'est déjà se rendre compte que nous pensons du matin au soir, nous ne sommes que pensées. Dés le matin la machine cérébrale se met en route, et ainsi jusqu'au soir. Nous croyons résoudre tous nos problèmes avec le mental, le soir dans le lit avant de nous endormir nous ressassons encore notre journée, avec le bon et le mauvais.
Et c'est à partir de ce mental là que nous cherchons également la vérité, l'éveil, la réalité ultime, le fondamental, une vie déconditionnée, absente de peurs.
C'est si important pour nous de prendre conscience de cette activité de notre cerveau, de voir clairement que c'est dans et par le mental que nous existons, en tant qu'entité séparée.
Voir le mouvement de cette activité incessante, c'est commencer à lui accorder de l'espace, c'est se déconnecter de cette mécanicité et de cette identification à ce mouvement linéaire.
Alors les montagnes redeviennent des montagnes et les rivières des rivières, alors vous respirez pleinement, consciemment, de la conscience Une et impersonnelle.
Alors le vieil homme de l'évangile se tait, laisse la place, le nouvel homme est né, et avec lui la nouvelle terre en création multidirectionnellement. Son mouvement est expansion, comme la conscience que vous êtes, comme la nature de Bouddha que nous sommes, originellement. Nous l'avions seulement perdu… Le retrouver c'est nous re-connaître, c'est naître de nouveau.
Pour je vais faire l'effort de redescendre un peu de niveau lors des prochains posts, il semble entendre le langage des aiguilles à tricoter qu'il ne supporte pas plus. C'est normal, nous utiliserons donc le langage du seau, de la pelle et des chateaux de sable...
Waaaoooouuuuuuuuuuuuu !!!!
Alors je suis touché seule !!
Merci d'avoir écrit une chose aussi pure et aussi belle !!
Oui, l'attention est l'acte d'Être !
L'attention est totale, sans support et quand elle s'instale elle s'installe dans tous les états de conscience, les 3 que nous connaissons tous.
La veille
Le sommeil paradoxal
Le sommeil profond
Alors apparait le quatrième état, l'état de conscience, qui se dit être pregnant et s'imisser dans les 3 états ordinaires comme de l'huile entre dans un tissu...
L'attention est l'intention dans l'instant.
Avoir l'intention d'avoir une attention permet à l'attention d'Être...
Merci seule.
Je suis heureux de voir que tu arrives à donner des indices sublimes qui peuvent devenir des aides parfaites pour ceux et celles qui les appliqueront. Merci de témoigner de cela...
Pour , ne te fatigue pas, tout cela lui passera le jour où la vie voudra vraiment le pousser vers la lumière, pour l'instant il pédale...
Alors je suis touché seule !!
Merci d'avoir écrit une chose aussi pure et aussi belle !!
Oui, l'attention est l'acte d'Être !
L'attention est totale, sans support et quand elle s'instale elle s'installe dans tous les états de conscience, les 3 que nous connaissons tous.
La veille
Le sommeil paradoxal
Le sommeil profond
Alors apparait le quatrième état, l'état de conscience, qui se dit être pregnant et s'imisser dans les 3 états ordinaires comme de l'huile entre dans un tissu...
L'attention est l'intention dans l'instant.
Avoir l'intention d'avoir une attention permet à l'attention d'Être...
Merci seule.
Je suis heureux de voir que tu arrives à donner des indices sublimes qui peuvent devenir des aides parfaites pour ceux et celles qui les appliqueront. Merci de témoigner de cela...
Pour , ne te fatigue pas, tout cela lui passera le jour où la vie voudra vraiment le pousser vers la lumière, pour l'instant il pédale...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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merci
merci seule.de tout mon coeur et que tous les coeurs qui passent ici sur le forum se laisse imbiber de cette pureté que tu distiles avec tant d'amour pour nous tous.
seul a écrit :
merci Seule...
bien sur l'attention, vivre dans l'instant présent...ça rejoins aussi la méthode de méditation vipassana, et d'autres discour bouddhistes. Ce qui prouve que l'on peut trouver ce genre de chose "seule",mais que aussi cette chose a été trouvé par de grands chercheur spirituel!
je suis en train de lire un bouquin très intéressant, c'est : "Périls et promesses de la vie spirituelle" de jack kornfield qui explique cette méthode vipassana avec beuacoup d'exemples et d'application pratiques.
Car il ne faut pas rever...si certaines personnes arrivent a s'établir dans le moment présent instantanément, pour d'autres, il faudra des années et des méthodes (c'est mon cas)...allez savoir pourquoi
bon week end a vous.
Isa
oui,il y a certaines périodes de la vie ou c'est infernal...e tout début c'est déjà se rendre compte que nous pensons du matin au soir, nous ne sommes que pensées. Dés le matin la machine cérébrale se met en route, et ainsi jusqu'au soir. Nous croyons résoudre tous nos problèmes avec le mental, le soir dans le lit avant de nous endormir nous ressassons encore notre journée, avec le bon et le mauvais.
ouiVoir le mouvement de cette activité incessante, c'est commencer à lui accorder de l'espace, c'est se déconnecter de cette mécanicité et de cette identification à ce mouvement linéaire.
merci Seule...
bien sur l'attention, vivre dans l'instant présent...ça rejoins aussi la méthode de méditation vipassana, et d'autres discour bouddhistes. Ce qui prouve que l'on peut trouver ce genre de chose "seule",mais que aussi cette chose a été trouvé par de grands chercheur spirituel!
je suis en train de lire un bouquin très intéressant, c'est : "Périls et promesses de la vie spirituelle" de jack kornfield qui explique cette méthode vipassana avec beuacoup d'exemples et d'application pratiques.
Car il ne faut pas rever...si certaines personnes arrivent a s'établir dans le moment présent instantanément, pour d'autres, il faudra des années et des méthodes (c'est mon cas)...allez savoir pourquoi
bon week end a vous.
Isa
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- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
Le temps
Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour rattraper toutes ces années aux abonnés absents,
Absence et négligence de n'avoir pris suffisamment le temps,
D'aimer,encore aimer,toujours aimer,quoi de plus important?
De ma propre personne à toutes celles qui peuplent l'univers,
Du monde animal,végétal,minéral,à la création entière,
Je demande humblement pardon d'avoir errer dans les ténèbres,
Ténèbres d'un coeur prisonnier de lui-même,cherchant la lumière,
Je ne t'avais pas vu, et ,pourtant, toujours tu es là à m'éclairer,
Quand dans ma vie coulait en moi le poison de l'absurdité,
Et, où, chaque jour,préssée,comprimée,mon coeur se fânait,
Lui enlevant,pétale aprés pétale,la grâce de son authencité,
Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour nous apprendre à être bons et présents,
Sans jamais s'excuser de manquer de temps,
Le temps d'aimer,toujours aimer,quoi de plus important.
Fleur blanche.A toi Seule,à tous.
Pour rattraper toutes ces années aux abonnés absents,
Absence et négligence de n'avoir pris suffisamment le temps,
D'aimer,encore aimer,toujours aimer,quoi de plus important?
De ma propre personne à toutes celles qui peuplent l'univers,
Du monde animal,végétal,minéral,à la création entière,
Je demande humblement pardon d'avoir errer dans les ténèbres,
Ténèbres d'un coeur prisonnier de lui-même,cherchant la lumière,
Je ne t'avais pas vu, et ,pourtant, toujours tu es là à m'éclairer,
Quand dans ma vie coulait en moi le poison de l'absurdité,
Et, où, chaque jour,préssée,comprimée,mon coeur se fânait,
Lui enlevant,pétale aprés pétale,la grâce de son authencité,
Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour nous apprendre à être bons et présents,
Sans jamais s'excuser de manquer de temps,
Le temps d'aimer,toujours aimer,quoi de plus important.
Fleur blanche.A toi Seule,à tous.
BonjourDenis a écrit :Waaaoooouuuuuuuuuuuuu !!!!
Alors je suis touché seule !!
Merci d'avoir écrit une chose aussi pure et aussi belle !!
Oui, l'attention est l'acte d'Être !
L'attention est totale, sans support et quand elle s'instale elle s'installe dans tous les états de conscience, les 3 que nous connaissons tous.
La veille
Le sommeil paradoxal
Le sommeil profond
Alors apparait le quatrième état, l'état de conscience, qui se dit être pregnant et s'imisser dans les 3 états ordinaires comme de l'huile entre dans un tissu...
L'attention est l'intention dans l'instant.
Avoir l'intention d'avoir une attention permet à l'attention d'Être...
Merci seule.
Je suis heureux de voir que tu arrives à donner des indices sublimes qui peuvent devenir des aides parfaites pour ceux et celles qui les appliqueront. Merci de témoigner de cela...
Pour , ne te fatigue pas, tout cela lui passera le jour où la vie voudra vraiment le pousser vers la lumière, pour l'instant il pédale...
Tu vois Denis, tu viens de dévoiler une autre façon d'expliquer l'importance de l'attention. Et je trouve que ta façon vaut bien la mienne.
Je ne connais pas cette méthode vipassana mais il est sûr qu'il en existe beaucoup car tout ceci a été observé et décrit par les sages depuis fort longtemps.isa a écrit : bien sur l'attention, vivre dans l'instant présent...ça rejoins aussi la méthode de méditation vipassana, et d'autres discour bouddhistes. Ce qui prouve que l'on peut trouver ce genre de chose "seule",mais que aussi cette chose a été trouvé par de grands chercheur spirituel!
je suis en train de lire un bouquin très intéressant, c'est : "Périls et promesses de la vie spirituelle" de jack kornfield qui explique cette méthode vipassana avec beuacoup d'exemples et d'application pratiques.
Car il ne faut pas rever...si certaines personnes arrivent a s'établir dans le moment présent instantanément, pour d'autres, il faudra des années et des méthodes (c'est mon cas)...allez savoir pourquoi
bon week end a vous.
Isa
Par contre, regardons si vous êtes d'accord ce que vous écrivez ensuite et qui sans doute vous a échappé:
"Car il ne faut pas rever...si certaines personnes arrivent a s'établir dans le moment présent instantanément, pour d'autres, il faudra des années et des méthodes (c'est mon cas)...allez savoir pourquoi"
Permettez-moi, non pas par plaisir de contradiction mais plutôt de façon pratique, de rejeter ce que vous écrivez là.
Car que dites-vous exactement ? Vous dites exactement, et donc vous le créez ainsi, le projetant, qu'il vous faudra des années pour y parvenir.
Depuis que j'observe la pensée, je me suis rendu compte de son pouvoir créateur.
Vous savez, j'ai exercé la clairvoyance et cette expérience m'a amenée à vivre le pouvoir créateur de la pensée. Si nous pensons petit, nous sommes petits, si nous pensions l'universel ou universellement régulièrement, nous le deviendrions... C'est la pure vérité.
Et celui qui connait cette loi créatrice de la pensée, est à même d'aider les autres, qui eux sont esclaves de leurs pensées tantôt bonnes mais plus souvent mauvaises...
Je vous livre mes secrets de sorcière moi là !
L'homme est ce qu'il contemple tout le long du jour, c'est une loi, ce n'est pas moi qui l'invente, cette loi est, elle est loi universelle et elle est amour.
Regardez, c'est très simple : Nous venons d'observer que nous pensons en permanence, ce qui veut dire quoi ?
Que nous sommes nos pensées !
Comme la pensée est toujours vieille, du fait que sans mémoire elle n'interviendrait pas, et que donc si elle est mémoire c'est bien qu'elle a été enregistrée dans le passé, comme chaque mot, chaque objet, chaque expérience dont on se souvient consciemment ou inconsciemment.
On peut voir aisément par cette observation directe que s'identifier au mental, à ce mouvement de la pensée, c'est en quelque sorte s'identifier au passé dont notre identité fait partie, que cette identité soit heureuse ou malheureuse, car elle peut être heureuse un moment, mais cela ne dure jamais.
Alors l'action de contempler nos pensées tout le long du jour fait de nous des penseurs, mais comme la pensée n'est pas le vivant en action, la réalité vivante, vibrante, le fait d'être les pensées nous éloigne de la vérité qui n'est pas pensées mais action, mouvement vivant et holistique, global.
Mais forte de la connaissance de cette loi (par sa découverte) créatrice de la pensée , que nous devenons ce que nous contemplons, je vais devenir vigilante du contenu de mes pensées, de ce qu'elles disent.
Et supposons que je me rende compte que mes pensées toujours fragmentent, séparent le vivant, ressassant des histoires sans fins en lesquelles je ne suis que le triste personnage, lequel n'a jamais de chance, qui est incompris, qui subit les pires injustices, que la vie frappe durement, si je me rend compte de cela, que va t-il seproduire ?
Autrefois je faisais cela inconsciemment, mais maintenant je le vois, j'en devient consciente par la vigilante attention, est-ce que cela ne produit pas un changement fondamental en moi ?
La prochaine fois, devant ce processus de pensée, vais-je encore projeter un personnage aussi dérisoire qui pleure sur sa vie et son passé ? Vais-je encore m'identifier à ce mouvement là de pensée qui est vieux ?
Ou bien, ce mouvement d'identification identitaire, à mon histoire et personnage conditionnée prend fin ?
Et si à la place de ce mouvement/histoire du personnage, un espace surgissait, et que cet espace n'est aucune limite ni de temps ni d'espace, et que cette espace illimité contienne tout le vivant en action, en action créatrice, vais-je continuer mon identification au personne ou bien ce vide, cet espace qui contient tout, se suffit à lui-même, sans surimposition d'aucune sorte, et encore du triste ( ou gai d'ailleurs, il sera toujours limité et mesquin, petit) personnage auquel je me suis identifiée ?
Tout ceci pour faire la relation avec ce que vous écrivez, à savoir que vous dépendez des années, vous en créez vous-même la réalité, voyez le simplement, c'est encore un piège de l'ego pour se maintenir...
Re: Le temps
Fleur Blanche, ne m'en veuillez pas de me servir de vos écrits comme support, c'est du flagrand délit et c'est ce qui peut donner une dimension bien plus vivante à nos échanges... Je sais que vous êtes au-delà de ça, alors amusons-nous très sérieusement !fleur blanche a écrit :Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour rattraper toutes ces années aux abonnés absents,
Absence et négligence de n'avoir pris suffisamment le temps,
D'aimer,encore aimer,toujours aimer,quoi de plus important?
De ma propre personne à toutes celles qui peuplent l'univers,
Du monde animal,végétal,minéral,à la création entière,
Je demande humblement pardon d'avoir errer dans les ténèbres,
Ténèbres d'un coeur prisonnier de lui-même,cherchant la lumière,
Je ne t'avais pas vu, et ,pourtant, toujours tu es là à m'éclairer,
Quand dans ma vie coulait en moi le poison de l'absurdité,
Et, où, chaque jour,préssée,comprimée,mon coeur se fânait,
Lui enlevant,pétale aprés pétale,la grâce de son authencité,
Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour nous apprendre à être bons et présents,
Sans jamais s'excuser de manquer de temps,
Le temps d'aimer,toujours aimer,quoi de plus important.
Fleur blanche.A toi Seule,à tous.
"Reste-t-il encore suffisamment de temps,
Pour rattraper toutes ces années aux abonnés absents,
Absence et négligence de n'avoir pris suffisamment le temps,
D'aimer,encore aimer,toujours aimer,quoi de plus important?"
On s'en fiche !
Cela n'a aucune importance pratique. En s'éveillant on peut penser de la sorte et pleurer sur notre aveuglement, mais bien vite on réalise que le temps de l'homme n'est pas le temps de la création. On réalise exactement que la création englobe le temps, mais n'y est pas soumise...
Le temps pour l'homme c'est l'espace entre la naissance et sa mort. Il projette en outre un après la mort, donc il projette du temps même après sa mort. Mais la création n'en a rien à faire du temps projeté par l'homme...
Pour le dire autrement, l'ordre n'est pas dans le temps de l'homme, dans le temps de l'homme il n'y a que désordre et souffrance, déchirements.
Pour cette raison il est dit que notre Seigneur est toute patience, parce que pour lui le temps de l'homme est un grin de sable dans tous les déserts réunis...
Ce qui compte c'est mon éveil maintenant, maintenant n'est jamais dans le temps et ne dépend pas du temps, maintenant est le temps de notre Seigneur, le temps de Dieu, le temps de la création. Et pour la création maintenant est éternel...
Ce n'est très important que vous ne compreniez pas tout ce que j'écris, les symboles que j'utilise, ne faites pas un effort particulier pour comprendre mes écrits, sentez en la quintessence plutôt. Tout ce que je dis est déjà en vous, cela ne peut que se reconnaitre, se sentir...
Il est dit dans une tradition orientale ou chrétienne, je ne sais plus, que voir Dieu juste avant sa mort cela suffit, nous sommes pardonnés de toute une existence de péchés ou d'ignorance.
C'est absolument réel. La vérité, Dieu, est tellement au-delà de ce que nous pouvons en imaginer.
Savez-vous comment moi-même je réagis à mon esprit de somnolence ? Par une très vigilante attention, en me noyant dans l'infinitude. C'est elle qui ensuite me parle dans la fragmentation et me montre la scission entre mon penser et la réalité de l'infinitude... C'est elle, l'infinitude qui me dévoile le champ du fini, le champ de la petitesse à laquelle je me suis dentifiée.
Cela se passe en flagrand délit, en flagrand délit je me surprends en train de projeter du fini, du petit, et cette vision agit parce que je le vois, parce que cela est conscientisé, alors qu'avant c'était un mouvement inconscient.
Evidemment, comme je suis une vieille cheminante, je ne me laisse plus avoir facilement, mais l'état de veille ou de vigilance est toujours là, car il très facile de se refaire un film et de se prendrre pour l'acteur, pour le rôle, comme s'identifier au rôle d'un gourou, par exemple...
Autrefois j'ai eu un copain voyou, ce qui ne veut pas dire grand-chose, mais je dois préciser que notre esprit était celui de malfrats, atterris là fautes de certains stimuli propices à ce genre de destinées horizontales…
Il me dit à plusieurs reprises :
"Les flics de la rue son très dangereux, mais les flics de la tête le sont bien pire et plus tu en descends plus ils en revient des nouveaux."
Il était très intelligent, vivant à fleur de peau lui aussi. Malheureusement la toxicomanie nous a séparé, il était moins résistant que moi alors que je l'avais juger bien supérieur à moi. Mais à cette époque je voyais chacun plus supérieur que moi, ou alors c'était vraiment des cas extrêmes, je ne me considérais pas comme une extrême, malgré tout…
C'est un peu l'époque où chaque personne rencontrée n'était à mes yeux qu'un "cave", un bidon, un type à escroquer. Et je ne parle pas de ma période drogue dure, alors chaque individu rencontré était un potentiel billet de banque… Car il ma fallait ma dose, et toute mon existence tournait autour de ça, le moyen de me procurer ma dose, le manque allait se faire sentir…
Mais bon, revenons à nos moutons.
Les flics de la tête c'était quoi au juste ? Il n'était pas très prolixe sur ses connaissances ce copain là, mais sont intelligence fulgurante transperçait dans son comportement. Je l'admirai beaucoup je dois dire.
Alors moi qui l'admirait je devais lui plaire vous comprenez, je devais le séduire et pour ce faire je devais évoluer. Je croyais vraiment à l'évolution intellectuelle, au savoir, mais je confondais le savoir avec l'intelligence. Et comme je me trouvais très gauche, très lourde, très ignare, je me cultivais comme je pouvais. Et il m'a beaucoup apporté ce copain bien que j'ai été obligée de rompre par la suite avec lui faute de son autodestruction en emmenant avec lui tous ceux qu'il aimait. Et ils n'étaient pas nombreux, bien sûr, ceux que lui aimait.
Toujours est-il qu'il fut un exemple d'identification pour moi si perdue. Ce qui explique que je me suis penchée sur cette réflexion des flics de la tête, que voulait-il dire au juste ?
Chemin faisant, je suis tombée sur un ouvrage qui s'intitulait, "le pouvoir créateur de la pensée", ou quelque chose dans ce goût. En découvrant cet ouvrage, j'étais déjà sur la voie spirituelle, sur la voie de la recherche, j'étais dans l'effort, la discipline, la bonne volonté.
Par moments j'ai eu des flashs, mais ils n'étaient que le fruit de mes projections.
J'étais encore loin de me douter en ce temps là combien ce que je cherchai était propre de moi, était moi. C'est dehors que j'espérai trouver la délivrance, dans les livres ou autres objets extérieurs.
Mais à la lecture de cet ouvrage de Murphy Joseph, si ma mémoire est bonne, je retrouvais le souvenir de mon ex copain, "les flics de la tête". Et je me suis dit que mon copain ne savait de quoi il parlait en parlant des flics de la tête.
Le fait de me dire que mon éveil dépendra du temps, c'est m'emprisonner dans cette réalité là, c'est vraiment la créer, elle devient la réalité pour moi. Elle le devient ma vérité au point qu'il me faudra effectivement des années pour m'éveiller.
Plus j'accorde de la foi à ce types de pensées, plus s'élargit ma malchance d'en vivre la réalité.
C'est si vraie cette loi que celui qui se croira porté par la vie ou par son dieu, peu importe lequel, aura toute les chances de l'être.
Pour moi aujourd'hui je ne crois à rien, je suis sans aucune foi, car comment croire cela même qui est là ?
Je n'ai pas besoin de croire à cela qui est là, cela est là, la croyance est inutile!
Et la vie Une, voyez-vous, n'est pas une croyance, elle est, et elle est vivante, elle est conscience connaissance, elle est l'amour, une vibration éternelle, une pulsion de vie éternelle, son ordre est toute beauté.
Alors Dieu pour moi qui ne croit absolument à rien sur ce plan religieux ou spirituel ? Ne serais-je pas touchée par Dieu ?
Et bien l'amour fou, l'amour de Dieu, est celui-là même qui vous tue, inexorablement, irrémédiablement car Lui seul est. Et "Je suis !"
C'est dire qu'ici, vous n'entretenez plus d'espace de temps entre ce que vous êtes et ce que Dieu est… Et vous comprenez en le voyant directement, en le vivant, que l'espace entre vous et Dieu, n'est qu'une scission créée par la pensée, laquelle est le temps, passé, présent et futur.
Alors les flics de la tête devinrent très clairs pour moi, et de ce fait, ils ne pouvaient plus œuvrer à mon insu, je me suis familiarisée avec eux, leur pouvoir en est désamorcé, je les ai vaincu, j'ai vaincu la peur, je la vainc au présent, ici et maintenant, dans la vigilante attention.
Là dans l'instant, puis-je me ressentir, ressentir mon organisme de l'intérieur, son énergie ? Ou bien suis dans un plan de pensées, en train de me projeter demain, ou en train de revivre une histoire du passé ?
Suis-je présente à l'instant présent ? Si oui, je n'ai besoin de rien d'autre, le temps est aboli pour moi !
Il me dit à plusieurs reprises :
"Les flics de la rue son très dangereux, mais les flics de la tête le sont bien pire et plus tu en descends plus ils en revient des nouveaux."
Il était très intelligent, vivant à fleur de peau lui aussi. Malheureusement la toxicomanie nous a séparé, il était moins résistant que moi alors que je l'avais juger bien supérieur à moi. Mais à cette époque je voyais chacun plus supérieur que moi, ou alors c'était vraiment des cas extrêmes, je ne me considérais pas comme une extrême, malgré tout…
C'est un peu l'époque où chaque personne rencontrée n'était à mes yeux qu'un "cave", un bidon, un type à escroquer. Et je ne parle pas de ma période drogue dure, alors chaque individu rencontré était un potentiel billet de banque… Car il ma fallait ma dose, et toute mon existence tournait autour de ça, le moyen de me procurer ma dose, le manque allait se faire sentir…
Mais bon, revenons à nos moutons.
Les flics de la tête c'était quoi au juste ? Il n'était pas très prolixe sur ses connaissances ce copain là, mais sont intelligence fulgurante transperçait dans son comportement. Je l'admirai beaucoup je dois dire.
Alors moi qui l'admirait je devais lui plaire vous comprenez, je devais le séduire et pour ce faire je devais évoluer. Je croyais vraiment à l'évolution intellectuelle, au savoir, mais je confondais le savoir avec l'intelligence. Et comme je me trouvais très gauche, très lourde, très ignare, je me cultivais comme je pouvais. Et il m'a beaucoup apporté ce copain bien que j'ai été obligée de rompre par la suite avec lui faute de son autodestruction en emmenant avec lui tous ceux qu'il aimait. Et ils n'étaient pas nombreux, bien sûr, ceux que lui aimait.
Toujours est-il qu'il fut un exemple d'identification pour moi si perdue. Ce qui explique que je me suis penchée sur cette réflexion des flics de la tête, que voulait-il dire au juste ?
Chemin faisant, je suis tombée sur un ouvrage qui s'intitulait, "le pouvoir créateur de la pensée", ou quelque chose dans ce goût. En découvrant cet ouvrage, j'étais déjà sur la voie spirituelle, sur la voie de la recherche, j'étais dans l'effort, la discipline, la bonne volonté.
Par moments j'ai eu des flashs, mais ils n'étaient que le fruit de mes projections.
J'étais encore loin de me douter en ce temps là combien ce que je cherchai était propre de moi, était moi. C'est dehors que j'espérai trouver la délivrance, dans les livres ou autres objets extérieurs.
Mais à la lecture de cet ouvrage de Murphy Joseph, si ma mémoire est bonne, je retrouvais le souvenir de mon ex copain, "les flics de la tête". Et je me suis dit que mon copain ne savait de quoi il parlait en parlant des flics de la tête.
Le fait de me dire que mon éveil dépendra du temps, c'est m'emprisonner dans cette réalité là, c'est vraiment la créer, elle devient la réalité pour moi. Elle le devient ma vérité au point qu'il me faudra effectivement des années pour m'éveiller.
Plus j'accorde de la foi à ce types de pensées, plus s'élargit ma malchance d'en vivre la réalité.
C'est si vraie cette loi que celui qui se croira porté par la vie ou par son dieu, peu importe lequel, aura toute les chances de l'être.
Pour moi aujourd'hui je ne crois à rien, je suis sans aucune foi, car comment croire cela même qui est là ?
Je n'ai pas besoin de croire à cela qui est là, cela est là, la croyance est inutile!
Et la vie Une, voyez-vous, n'est pas une croyance, elle est, et elle est vivante, elle est conscience connaissance, elle est l'amour, une vibration éternelle, une pulsion de vie éternelle, son ordre est toute beauté.
Alors Dieu pour moi qui ne croit absolument à rien sur ce plan religieux ou spirituel ? Ne serais-je pas touchée par Dieu ?
Et bien l'amour fou, l'amour de Dieu, est celui-là même qui vous tue, inexorablement, irrémédiablement car Lui seul est. Et "Je suis !"
C'est dire qu'ici, vous n'entretenez plus d'espace de temps entre ce que vous êtes et ce que Dieu est… Et vous comprenez en le voyant directement, en le vivant, que l'espace entre vous et Dieu, n'est qu'une scission créée par la pensée, laquelle est le temps, passé, présent et futur.
Alors les flics de la tête devinrent très clairs pour moi, et de ce fait, ils ne pouvaient plus œuvrer à mon insu, je me suis familiarisée avec eux, leur pouvoir en est désamorcé, je les ai vaincu, j'ai vaincu la peur, je la vainc au présent, ici et maintenant, dans la vigilante attention.
Là dans l'instant, puis-je me ressentir, ressentir mon organisme de l'intérieur, son énergie ? Ou bien suis dans un plan de pensées, en train de me projeter demain, ou en train de revivre une histoire du passé ?
Suis-je présente à l'instant présent ? Si oui, je n'ai besoin de rien d'autre, le temps est aboli pour moi !
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- Messages : 27
- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
un jour j'ai fait un rêve
Un jour j'ai fait un rêve étrange, je rêvais que légère,je volais , au-dessus de paysages merveilleux,et quand je pensais "montagne",la montagne apparaissait,et quand je pensais "vent",j'étais le vent,et quand je pensais"joie",j'étais la joie,et quand je pensais"peur",j'étais confrontée à toutes mes peurs viscérales........je n'arrivais pas à faire cesser ce rêve,qui m'emmena visiter chaque recoin de mes pensées,c'était terriblement bon, et terriblement "terrifiant".....Et puis,ouf,je me suis réveillée....et si chacune de nos pensées n'étaient qu'un rêve?Qu'est-ce qui fait que nos rêves soient moins réels que nos pensées?La pensée n'est-elle qu'une "PROJECTION"?Qui suis-je?
Merci,Seule,dans ton fameux,"ici et maintenant",vide de toute empreinte,de toute mémoire,de toute projection,nous pouvons tous "retrouver" la réponse.
Merci,Seule,dans ton fameux,"ici et maintenant",vide de toute empreinte,de toute mémoire,de toute projection,nous pouvons tous "retrouver" la réponse.
Re: un jour j'ai fait un rêve
Tu as absolument répondu, et bien répondu.fleur blanche a écrit :Un jour j'ai fait un rêve étrange, je rêvais que légère,je volais , au-dessus de paysages merveilleux,et quand je pensais "montagne",la montagne apparaissait,et quand je pensais "vent",j'étais le vent,et quand je pensais"joie",j'étais la joie,et quand je pensais"peur",j'étais confrontée à toutes mes peurs viscérales........je n'arrivais pas à faire cesser ce rêve,qui m'emmena visiter chaque recoin de mes pensées,c'était terriblement bon, et terriblement "terrifiant".....Et puis,ouf,je me suis réveillée....et si chacune de nos pensées n'étaient qu'un rêve?Qu'est-ce qui fait que nos rêves soient moins réels que nos pensées?La pensée n'est-elle qu'une "PROJECTION"?Qui suis-je?
Merci,Seule,dans ton fameux,"ici et maintenant",vide de toute empreinte,de toute mémoire,de toute projection,nous pouvons tous "retrouver" la réponse.
Pour le dire autrement, n'être rien, paradoxalement cela est ressenti comme une perte pour l'ego. Mais si n'être rien c'est être tout, alors se donner un peu seulement à Dieu, lui accorder seulement un peu d'espace, c'est un véritable raz-de-marée pour l'ego, c'est une révolution !
La révolution de la conscience séparative et oppositionnelle.
L'attention, c'est surprendre sur le vif mon identification, là, sur le moment, que je pleure ou que je ris. Et il y a des moments inconscients où je ne suis pas identifiée, mais ils étaient inconscients le plus souvent, la vérité c'est que je suis toujours identifiée, en train de ressasser...
Je ne suis jamis silencieuse, et c'est pourtant la porte, et la seule... Nous vivons de paradoxes vous savez.
Être rien est espace total, vacuité, présence conscience, rien n'est et c'est le miracle du Tout, de la création Une, partout présente en chacun de nous, mais nous le vivons pas, nous nous identifions, nous avons un passé et un futur, nous sommes le temps, la répétition, la tradition, la fraîcheur nous échappe toujours, et son renouvellement...
Ce n'est même pas risible vous savez.
Re: un jour j'ai fait un rêve
C'est tout à fait un rêve initiatique ce dont vous parlez là !fleur blanche a écrit :Un jour j'ai fait un rêve étrange, je rêvais que légère,je volais , au-dessus de paysages merveilleux,et quand je pensais "montagne",la montagne apparaissait,et quand je pensais "vent",j'étais le vent,et quand je pensais"joie",j'étais la joie,et quand je pensais"peur",j'étais confrontée à toutes mes peurs viscérales........je n'arrivais pas à faire cesser ce rêve,qui m'emmena visiter chaque recoin de mes pensées,c'était terriblement bon, et terriblement "terrifiant".....
C'est un voyage dans des sortes de tranches du temps, des les pensées structurellement, liées ces pensées à leur immense pouvoit créateur.
Nous sommes des créateurs, mais malheureusement pour la majorité, nous créons le temps, et son illusion, détournant le pouvoir créateur que nous sommes, nous copions, mais ne créons plus, nous détruisons au point que le serpent s'en mort la queue à présent !
Est-ce que nous sommes présents ou non à cette mutation de la conscience pour la conscience Une, pour la nouvelle terre et le nouveau monde, un monde bien plus subtil...
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- Messages : 27
- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
non pas les serpents!
Non,Seule, ne parlez pas de serpent,ça me fait trop peur!
Même en tentant de trouver les mécanismes qui ont installé cette phobie,même en appréhendant le fait que cela soit une pure création de mon mental,pour x raisons,tout n'empêche , je ne m'amuserai pas à en toucher un! Ou alors,effectivement,il faudrait que tous les jours" je meurs"à toutes mes identifications,à tout ce qui m'est personnel,à toute mes constructions,et je vous ferais alors un show du tonnerre en tant que charmeuse de serpents! Que je sois comme un nouveau-né.....il n'y a rien de plus craquant qu'un bébé,et devant un bébé toutes nos défenses tombent,tout le monde se met à communiquer,échanger,s'exstasier:"oh!Mais qu'il est mignon!!! ).
Un bébé a-t-il peur des serpents?
Même en tentant de trouver les mécanismes qui ont installé cette phobie,même en appréhendant le fait que cela soit une pure création de mon mental,pour x raisons,tout n'empêche , je ne m'amuserai pas à en toucher un! Ou alors,effectivement,il faudrait que tous les jours" je meurs"à toutes mes identifications,à tout ce qui m'est personnel,à toute mes constructions,et je vous ferais alors un show du tonnerre en tant que charmeuse de serpents! Que je sois comme un nouveau-né.....il n'y a rien de plus craquant qu'un bébé,et devant un bébé toutes nos défenses tombent,tout le monde se met à communiquer,échanger,s'exstasier:"oh!Mais qu'il est mignon!!! ).
Un bébé a-t-il peur des serpents?
Au-delà de l'attention,
Parce que l'attention est immobile et mue par un tout autre mouvement de que celui de la pensée.
C'est un mouvement d'une vitalité extraordinaire. Au-delà de l'attention, il y a l'amour dans son indicible beauté, dans son élan créatif, en plein élan créatif, en action.
Bien entendu il y a une telle distance entre ce que je vis au quotidien et ce qui est dit ici en parlant de l'indicible. Il y a une telle distance entre l'ordre parfait et le désordre humain.
Mettre fin à cette distance de séparation entre l'ordre parfait, notre nature véritable, et le désordre de l'entité séparée, c'est exactement et très simplement taire le passé, ce mouvement linéaire dans le temps qui n'est que mémoire. Ce n'est plus ni moins que cesser de s'identifier au mental et au corps.
La révélation que je ne suis ni le corps ni le mental, c'est l'ouverture au possible du tout autre, ici et maintenant. C'est le possible de laisser l'organisme que "je" occupe faussement, transparaître de cette transparence là, celle de l'être authentique, celle de l'Être lumière que nous sommes de toute éternité.
En effet, en ce ici et maintenant vécu, reconnu, habiter intérieurement et extérieurement de tout son être présent vivant et incommensurable, c'est toute la vie Une qui s'exprime dans et par l'organisme, et toute la vie comprend la nature entière, et l'univers entier. Toute la vie comprend le corps, le cœur et l'esprit. La matière et l'esprit non séparés.
Voir le global dans un seul regard, vivre le Grand, c'est rendre silencieux le petit.
Le petit ne contient pas le Grand, mais le Grand contient le petit.
Nous devons nécessairement exploser les limites du moi, exploser la structure du moi, son mouvement.
Il nous faut nécessairement rendre conscientes nos limites pour que l'infini se révèle. Cette conscience de la prison du moi, c'est déjà en sortir, c'est un pas dans la liberté, dans la vastitude, et le premier pas est le dernier pas…
Hier au soir j'étais invitée dans un groupe d'amis et à l'occasion d'un concert.
Assise à leu table, la discussion allait bon train, et l'alcool aussi. Mais ici tout cet alcool c'est normal, ces gens là sont bien assis socialement et ils boivent autant qu'ils mangent, c'est-à-dire tout le temps, c'est devenu un énorme plaisir de boire et manger pour eux.
Il a été parlé de mon livre et du dernier article dans le journal local. J'étais traitée comme un véritable écrivain, on me donnait un tas de conseil sur l'édition, sur le thème de mon livre, sur George Sand. Chacun avait son mot à dire, chacun savait et savait mieux que moi : moi… Ils pensaient à ma place, réfléchissant à ma place et m'indiquant la marche à suivre pour devenir un vrai écrivain professionnel.
Et puis je me suis amusée à voir la facilité avec laquelle ils passaient d'un sujet à un autre, d'une pensée à une autre, sans jamais avoir conscience de ne faire que penser et penser superficiellement. Je n'ai même pas pu leur dire que mon livre était un non choix, que j'étais tombée dedans involontairement. Mais personne ne m'écoutait, ils suivaient leur histoire à eux, leurs projections à eux. Ils n'ont même pas lu mon livre bien que l'ayant acheté. Ils n'ont aucune capacité d'attention profonde pour aborder un sujet sérieusement, ils sont réellement esclaves d'une totale mécanicité cérébrales.
Ils vivent dans l'hier et le demain, dans le faire et le quoi faire pour donner un sens à leur vie. Comme ils ne peuvent pas répondre à la question du quoi faire pour ne pas s'emmerder, ils s'emmerdent, et ni la boisson ni la bouffe, ne les aident à sortir de leur ennui mortel, de leur aigreur, de leur triste lassitude.
Ils font des gosses dés que possible pour les plus jeunes, tellement ils s'ennuient à mourir, tellement ils ont peur, mais ils ne le voient pas. Et les plus jeunes deviennent à leur tour des plus vieux médicamenteux qui savent et rédigent des testaments avant de mourir, pour imposer leurs dernières volontés.
Parce que l'attention est immobile et mue par un tout autre mouvement de que celui de la pensée.
C'est un mouvement d'une vitalité extraordinaire. Au-delà de l'attention, il y a l'amour dans son indicible beauté, dans son élan créatif, en plein élan créatif, en action.
Bien entendu il y a une telle distance entre ce que je vis au quotidien et ce qui est dit ici en parlant de l'indicible. Il y a une telle distance entre l'ordre parfait et le désordre humain.
Mettre fin à cette distance de séparation entre l'ordre parfait, notre nature véritable, et le désordre de l'entité séparée, c'est exactement et très simplement taire le passé, ce mouvement linéaire dans le temps qui n'est que mémoire. Ce n'est plus ni moins que cesser de s'identifier au mental et au corps.
La révélation que je ne suis ni le corps ni le mental, c'est l'ouverture au possible du tout autre, ici et maintenant. C'est le possible de laisser l'organisme que "je" occupe faussement, transparaître de cette transparence là, celle de l'être authentique, celle de l'Être lumière que nous sommes de toute éternité.
En effet, en ce ici et maintenant vécu, reconnu, habiter intérieurement et extérieurement de tout son être présent vivant et incommensurable, c'est toute la vie Une qui s'exprime dans et par l'organisme, et toute la vie comprend la nature entière, et l'univers entier. Toute la vie comprend le corps, le cœur et l'esprit. La matière et l'esprit non séparés.
Voir le global dans un seul regard, vivre le Grand, c'est rendre silencieux le petit.
Le petit ne contient pas le Grand, mais le Grand contient le petit.
Nous devons nécessairement exploser les limites du moi, exploser la structure du moi, son mouvement.
Il nous faut nécessairement rendre conscientes nos limites pour que l'infini se révèle. Cette conscience de la prison du moi, c'est déjà en sortir, c'est un pas dans la liberté, dans la vastitude, et le premier pas est le dernier pas…
Hier au soir j'étais invitée dans un groupe d'amis et à l'occasion d'un concert.
Assise à leu table, la discussion allait bon train, et l'alcool aussi. Mais ici tout cet alcool c'est normal, ces gens là sont bien assis socialement et ils boivent autant qu'ils mangent, c'est-à-dire tout le temps, c'est devenu un énorme plaisir de boire et manger pour eux.
Il a été parlé de mon livre et du dernier article dans le journal local. J'étais traitée comme un véritable écrivain, on me donnait un tas de conseil sur l'édition, sur le thème de mon livre, sur George Sand. Chacun avait son mot à dire, chacun savait et savait mieux que moi : moi… Ils pensaient à ma place, réfléchissant à ma place et m'indiquant la marche à suivre pour devenir un vrai écrivain professionnel.
Et puis je me suis amusée à voir la facilité avec laquelle ils passaient d'un sujet à un autre, d'une pensée à une autre, sans jamais avoir conscience de ne faire que penser et penser superficiellement. Je n'ai même pas pu leur dire que mon livre était un non choix, que j'étais tombée dedans involontairement. Mais personne ne m'écoutait, ils suivaient leur histoire à eux, leurs projections à eux. Ils n'ont même pas lu mon livre bien que l'ayant acheté. Ils n'ont aucune capacité d'attention profonde pour aborder un sujet sérieusement, ils sont réellement esclaves d'une totale mécanicité cérébrales.
Ils vivent dans l'hier et le demain, dans le faire et le quoi faire pour donner un sens à leur vie. Comme ils ne peuvent pas répondre à la question du quoi faire pour ne pas s'emmerder, ils s'emmerdent, et ni la boisson ni la bouffe, ne les aident à sortir de leur ennui mortel, de leur aigreur, de leur triste lassitude.
Ils font des gosses dés que possible pour les plus jeunes, tellement ils s'ennuient à mourir, tellement ils ont peur, mais ils ne le voient pas. Et les plus jeunes deviennent à leur tour des plus vieux médicamenteux qui savent et rédigent des testaments avant de mourir, pour imposer leurs dernières volontés.
Re: non pas les serpents!
C'est le loup et l'agneau, de Jean la Fontaine. Nous ne voulons pas être l'agneau, le petit enfant, l'esprit d'innocence, nous avons peur du loup, nous ne voulons pas être mangés, mais nous nous mangeons-nous-mêmes...fleur blanche a écrit :Non,Seule, ne parlez pas de serpent,ça me fait trop peur!
Même en tentant de trouver les mécanismes qui ont installé cette phobie,même en appréhendant le fait que cela soit une pure création de mon mental,pour x raisons,tout n'empêche , je ne m'amuserai pas à en toucher un! Ou alors,effectivement,il faudrait que tous les jours" je meurs"à toutes mes identifications,à tout ce qui m'est personnel,à toute mes constructions,et je vous ferais alors un show du tonnerre en tant que
charmeuse de serpents! Que je sois comme un nouveau-né.....il n'y a rien de plus craquant qu'un bébé,et devant un bébé toutes nos défenses tombent,tout le monde se met à communiquer,échanger,s'exstasier:"oh!Mais qu'il est mignon!!! ).
Un bébé a-t-il peur des serpents?
Alors oui, d'accord avec toi, évitons de nous manger nous-mêmes...
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aération
Avant aération
Après aération :
Après aération :
, si cette discussion ne te plait pas, tu n'es pas obligé de venir la polluer, après te t'étonne pas que certains ou certaines soit méchant avec toi...
Je crois que si daignais descendre de ton piédestal, tout là haut dans les brumes, tu verrais que le message de seule est loin d'être débile...
Certes un peut redondant, mais très beau et assez envoutant...
Je crois que si daignais descendre de ton piédestal, tout là haut dans les brumes, tu verrais que le message de seule est loin d'être débile...
Certes un peut redondant, mais très beau et assez envoutant...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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dommage
C'est bien dommage,Kavan, car au-delà de tes apparitions provocatrices,tu manifestes par là-même,un certain intérêt,une certaine attirance,mais tes jugements de valeur te conditionnent tellement que tu te refuses d'avouer cette attirance-là....c'est un peu le processus de la "honte", mais la honte n'est qu'une défense,un retournement contre soi de frustrations,c'est une pure fabrication,pur conditionnement,,tout cela nous empêche de nous livrer,de partager,d'instaurer une intimité avec autrui.En parcourant le forum,j'avais déjà remarqué la profusion des propos de seule,mais aussi,la profusion de réactions que cela entraînait,on y apprend beaucoup sur nos résistances....
Les longs(mais trés riche de sens) discours de seule,sont ,en fait ,loin d'être des monologues,au vue de toutes les réactions qu'ils entraînent,et aussi de toutes les résonnances qu'ils font naître.En ce sens,ils ont une réelle dimension spirituelle,qui n'attend rien,ne cherche rien,qu'à nous aider à percevoir l'unité fondamentale des choses,elle nous "titille" pour faire tomber les barrières qui nous séparent de soi et du reste du monde,prendre conscience de leur absence de réalité.Cela m'a aidée ,personnellement,à cesser(ne serait-ce qu'un instant) de m'ériger en tant que victime et de manipuler les évènements dans un sens qui nourrit ce conditionnement.C'est trés libérateur.
En fait ,c'est une porte ouverte,mais la porte en nous a toujours été ouverte,c'est nous-même qui la fermons,la verrouillant sous le joug de toutes nos pensées conditionnées et donc,forcément,érronées.D'où la nécessité de mourir à soi,à son passé,àses projections,à ses constructions psychologiques...Dés le matin,quand je me perds,déjà,dans les nuées de mes pensées,j'essaie alors de faire comme si j'étais neuve,sans passé,sans tout ce fatras de conditionnements,sans toutes mes identifications,et tout le reste,c'est ce que j'ai appris au travers des propos de seule,c'est un cadeau sans limite.Ce cadeau là on peut tous se l'offrir.Nous sommes tous reliés,il suffit de voir.Merci à ce forum d'exister,merci à tous,merci la vie,"moi" je m'y suis réconciliée avec moi-même,avec la vie elle-même,mais il me faudra tous les jours rester vigilante à ne pas laisser s'éteindre cette micro étincelle de clarté dans les ténèbres de mes pensées.
Oui,Denis,les propos de seule sont trés beaux et assez envoûtant.....parce-que vrais.
Les longs(mais trés riche de sens) discours de seule,sont ,en fait ,loin d'être des monologues,au vue de toutes les réactions qu'ils entraînent,et aussi de toutes les résonnances qu'ils font naître.En ce sens,ils ont une réelle dimension spirituelle,qui n'attend rien,ne cherche rien,qu'à nous aider à percevoir l'unité fondamentale des choses,elle nous "titille" pour faire tomber les barrières qui nous séparent de soi et du reste du monde,prendre conscience de leur absence de réalité.Cela m'a aidée ,personnellement,à cesser(ne serait-ce qu'un instant) de m'ériger en tant que victime et de manipuler les évènements dans un sens qui nourrit ce conditionnement.C'est trés libérateur.
En fait ,c'est une porte ouverte,mais la porte en nous a toujours été ouverte,c'est nous-même qui la fermons,la verrouillant sous le joug de toutes nos pensées conditionnées et donc,forcément,érronées.D'où la nécessité de mourir à soi,à son passé,àses projections,à ses constructions psychologiques...Dés le matin,quand je me perds,déjà,dans les nuées de mes pensées,j'essaie alors de faire comme si j'étais neuve,sans passé,sans tout ce fatras de conditionnements,sans toutes mes identifications,et tout le reste,c'est ce que j'ai appris au travers des propos de seule,c'est un cadeau sans limite.Ce cadeau là on peut tous se l'offrir.Nous sommes tous reliés,il suffit de voir.Merci à ce forum d'exister,merci à tous,merci la vie,"moi" je m'y suis réconciliée avec moi-même,avec la vie elle-même,mais il me faudra tous les jours rester vigilante à ne pas laisser s'éteindre cette micro étincelle de clarté dans les ténèbres de mes pensées.
Oui,Denis,les propos de seule sont trés beaux et assez envoûtant.....parce-que vrais.
Oui, après vous avoir lu, les uns et les autres, on a envie de vérité, car votre langage est celui de la vérité, de l'authenticité.
Et je ne peux que remercier Denis d'avoir mis ce forum à la disposition de dialogues sincères, ce qui permet un véritable partage de nos connaissances et aussi de nos limites.
Ce n'était pas obligé que Denis laisse au départ se développer cette façon qui est la mienne d'intervenir. Certes il y a une portée philosophique et spirituelle dans le yoga, mais parfois je semble tellement loin des techniques yogiques que Denis avait de quoi me rabrouer.
Il ne l'a pas fait !
Et nous sommes là, ici et maintenant, participant à la révolution de la conscience.
Dans un univers immense, sur une planète merveilleuse, nous nous rencontrons, nous discutons, de l'essentiel.
Je pens que Jésus aussi aujourd'hui viendrait sur un forum comme nous le faisons parler des affaire de son Père, parler du royaume de Dieu comme nous parlons de l'Unité ensemble.
Mais Jésus, ou le Christ Eternel, ne serait-ce pas l'amour, le vivant, être vivant et vivre n'est-ce pas partager ?
Alors il y a différentes façons d'aborder les sujets, je n'ai aucune prétention en ce domaine, j'écris ce que je sens et comme je le sens.
Ce que je sens pourrait bien être ce que beaucoup nous ressentions sans vraiment pouvoir ou savoir l'exprimer. Autour de ce ressenti, nous nous réunissons...
Ce n'est pas de moi qu'il est question, mon moi ne m'intéresse que très peu, c'est un ressenti Un qui nous unis, ou plutôt en lequel nous nous ressentons, unis, reliés, comme l'explique si bien Fleur Blanche, si bien et si simplement.
Je ne sais si vous admirez la façon qui est le mienne d'écrire, mais je suis pour ma part admirative de ce que l'autre écrit. En fait nous ne faisons que mettre des mots sur nos ressentis... Et cela permet aussi à d'autres de venir se greffer et se retrouver, humblement, simplement, en esprit de vérité.
Oui oui, merci à Denis, aux responsables de ce forum dont la sensibilité permet cette rencontre et cet échange possible. Merci à la vie d'être la vie, merci à la beauté d'être la beauté, merci au forum et à internet, merci à l'homme beau, responsable holistiquement, c'est dire aimant, ici et maintenant.
Remercier c'est offrir, remercier est esprit d'émerveillement, c'est tellement rare de remercier. Remercier c'est communier, et c'est sourire.
Et le monde a vraiment besoin de ces sourires d'amour, de ces sourires gratuits, qui disent simplement je t'aime la vie, je t'aime toi, homme de la vie, pauvre homme triste le plus souvent.
Oui, sourire est compassion dans ce monde si cruel de l'aveuglement, sourire c'est aimer.
Et je ne peux que remercier Denis d'avoir mis ce forum à la disposition de dialogues sincères, ce qui permet un véritable partage de nos connaissances et aussi de nos limites.
Ce n'était pas obligé que Denis laisse au départ se développer cette façon qui est la mienne d'intervenir. Certes il y a une portée philosophique et spirituelle dans le yoga, mais parfois je semble tellement loin des techniques yogiques que Denis avait de quoi me rabrouer.
Il ne l'a pas fait !
Et nous sommes là, ici et maintenant, participant à la révolution de la conscience.
Dans un univers immense, sur une planète merveilleuse, nous nous rencontrons, nous discutons, de l'essentiel.
Je pens que Jésus aussi aujourd'hui viendrait sur un forum comme nous le faisons parler des affaire de son Père, parler du royaume de Dieu comme nous parlons de l'Unité ensemble.
Mais Jésus, ou le Christ Eternel, ne serait-ce pas l'amour, le vivant, être vivant et vivre n'est-ce pas partager ?
Alors il y a différentes façons d'aborder les sujets, je n'ai aucune prétention en ce domaine, j'écris ce que je sens et comme je le sens.
Ce que je sens pourrait bien être ce que beaucoup nous ressentions sans vraiment pouvoir ou savoir l'exprimer. Autour de ce ressenti, nous nous réunissons...
Ce n'est pas de moi qu'il est question, mon moi ne m'intéresse que très peu, c'est un ressenti Un qui nous unis, ou plutôt en lequel nous nous ressentons, unis, reliés, comme l'explique si bien Fleur Blanche, si bien et si simplement.
Je ne sais si vous admirez la façon qui est le mienne d'écrire, mais je suis pour ma part admirative de ce que l'autre écrit. En fait nous ne faisons que mettre des mots sur nos ressentis... Et cela permet aussi à d'autres de venir se greffer et se retrouver, humblement, simplement, en esprit de vérité.
Oui oui, merci à Denis, aux responsables de ce forum dont la sensibilité permet cette rencontre et cet échange possible. Merci à la vie d'être la vie, merci à la beauté d'être la beauté, merci au forum et à internet, merci à l'homme beau, responsable holistiquement, c'est dire aimant, ici et maintenant.
Remercier c'est offrir, remercier est esprit d'émerveillement, c'est tellement rare de remercier. Remercier c'est communier, et c'est sourire.
Et le monde a vraiment besoin de ces sourires d'amour, de ces sourires gratuits, qui disent simplement je t'aime la vie, je t'aime toi, homme de la vie, pauvre homme triste le plus souvent.
Oui, sourire est compassion dans ce monde si cruel de l'aveuglement, sourire c'est aimer.
Re: dommage
fleur blanche a écrit : ...Dés le matin,quand je me perds,déjà,dans les nuées de mes pensées,j'essaie alors de faire comme si j'étais neuve,sans passé,sans tout ce fatras de conditionnements,sans toutes mes identifications,et tout le reste,c'est ce que j'ai appris au travers des propos de seule,c'est un cadeau sans limite.
Voilà, tu viens de mettre le doigt dessus.
Supposons que le soir je m'accorde une bonne heure de méditation, que je pratique ma séance de yoga et que je retrouve une certaine harmonie avec moi-même et mon environnement proche ou lointain.
Il faut alors nécessairement voir que cette harmonie sera à la hauteur de mon silence, à la hauteur du silence du moi, à la hauteur du silence de toutes mes expériences accumulées bonnes ou mauvaises, de tout mon savoir, de toutes mes certitudes et de toutes mes incertitudes, jusqu'à mettre sous silence la localisation dans mon corps de moi... Parce que le moi est identifié au mental mais aussi au corps, à l'organisme en lequel il s'affirme moi.
Après cette séance de yoga ou méditation, je suis moins dans le faire et dans la défense, une certaine paix m'habite, je me laisse habiter par une certaine paix, une certaine harmonie. Et puis je me couche.
Suis-je attentive alors au fait que les pensées sont en train de me réentraîner dans la course du temps, dans la mémoire ou la projection ?
Il y y aura le rêve avec sa projection d'images, et ensuite le sommeil profond, et puis de nouveau le rêve, et peut-être enconre le demi sommeil avec son cortège d'images et de pensées.
Alors le matin comme le souligne Fleur Balnche, il est très important de se secouer avant d'entammer sa journée. Se secouer c'est en quelque sorte s'harmoniser pour la journée, c'est rétablir un peu de silence en soi, un peu d'espace.
Et l'espace n'est jamais qu'un peu, il est sans limite.
Le matin sentir son universalité et lui sourire, c'est un bon entraînement. Dans la journée rien ne nous empêche de faire des poses de yoga, de respiration, de réharmonisation intérieure et donc extérieure.
Vivre tout le jour avec le sourire, c'est ce à quoi nous sommes appelés, à laisser transparaitre notre être authentique, et lui il sourit, il n'est pas conditionné par les millénaires précédents, il libre et léger, alors il est souriant de la joie de vivre toute simple.
Ah bon tu pratiques le yoga??? Tu fais des postures alors??? Aller, racontes nous en un peu plus!Supposons que le soir je m'accorde une bonne heure de méditation, que je pratique ma séance de yoga
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
ce n'est effectivement pas mon but pour ce forum, je souhaite que toutes les personnes s'expriment à partir du moment où elles son sincères.Seule a écrit :Ce n'était pas obligé que Denis laisse au départ se développer cette façon qui est la mienne d'intervenir. Certes il y a une portée philosophique et spirituelle dans le yoga, mais parfois je semble tellement loin des techniques yogiques que Denis avait de quoi me rabrouer.
Je crois aujourd'hui qu'une erreur pourrait apparaitre, c'est que le forum se nomme www.pratique-du-yoga.com, et cela pourrait laisser croire qu'on ne parle que de la pratique du Yoga, c'est une erreur de penser cela...
En fait le piège vient souvent du fait qu'il y a une pratique de Yoga qui est différente de l'état de Yoga...
Pour ma part, faire des postures, du pranayama, ou tout le toutime, est pratiquer du Yoga, pour autant on pourrait faire cela pendant des années, avec 10 heures pas jours, sans connaitre une seule fois Yoga...
Yoga est le lien profond avec sa nature, c'est l'éveille de sa nature profonde unifiée au tout, il existe bien d'autre possibilité que des postures, du pranayama et tout le reste pour vivre Yoga...
Sincèrement, et bien que cela fasse mal à certains sur le forum, ce que tu décris dans tes posts, seule, est une vision "expérimentée" de ce qui est dit dans tous les textes de Yoga, surtout les textes traditionnels...
C'est bien dommage que certains ne voient pas cela...
Tout au début quand tu es venu, j'avais émis l'hypothèse qu'il y a avait un comportement "masculin" et un comportement féminin" et je reste encore sur cette idée...
Le comportement masculin est axé sur une espèce de "compétitivité" en vers soi ou les autres, genre : "je vais arriver à faire cette posture !", c'est un challenge, mais le temps, l'espace sont là et surtout l'affirmation de l'égo... De ce fait je n'ai que très peu d'amis hommes, je préfère 1000 fois la relation avec les femmes...
Ce coté "compétition" est lassant et profondément stérile, genre discussion de piliers de bar...
Le coté féminin, c'est une sensibilité qui parfois, en excès, tourne à la sensiblerie et c'est vraiment ce que les hommes "un peu épais" n'aiment pas du tout... Normal, on nous a appris à être fort, combattant, le coq quoi !, alors les sensibilités c'est bon pour "les tarlouses..". Dommage, car un peu de sensibilité permettrait à beaucoup d'aller plus haut...
Le coté féminin me semble axé vers la perception fine des choses, dans tous les domaines les perceptions des femmes sont 1000 fois supérieures aux hommes.
De ce fait il nous appartient de faire un effort chacun l'un vers l'autre.
Les hommes nous devons développer un peu plus notre "intuition féminine" et de venir plus léger…
Les femmes vous devez concrétiser vos sensations et tenter de donner des explications rationnelles, plutôt que de parler toujours de vos sensations et sensitivités…
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Héhéhé...rico a écrit :Ah bon tu pratiques le yoga??? Tu fais des postures alors??? Aller, racontes nous en un peu plus!Supposons que le soir je m'accorde une bonne heure de méditation, que je pratique ma séance de yoga
Mais non Rico, je ne pratique que la vigilante attention, c('est dire le rien faire.
Delà à prendre une position contre le yoga, faudrait être bête.
Le yoga est un excellent exercice du corps et de revitalisation, et dans sa forme pure, en tous cas selon le yoga cachemirien, il vous désidentifie de vous-même.
Vous savez bien des techniques sont bonnes, comme la sophrologie par exemple. Je peux même aller plus loin, la dianétique aussi originellement est une pratique, et non pas technique de libération de l'homme.
A l'origine et selon son auteur, enlever les engrammes comme il le propose, c'est déboucher les canaux énergétiques, libérer les shakti en quelque sorte, voire la kundalini. Run Hubart n'était pas forcément un charlatant. Le cerveau est plein de bouchons ou engrammes (l'horthographe est à vérifier) lesquels entravent la clarté-luicidité.
Je parle de techniques propices à la libération totale de l'homme.
Il n'en restera pas moins que cela passera par le ici et maintenant, par la rencontre du silence et de l'espace, par la rencontre de notre totalité, et nous sommes la totalité.
Et il n'en reste pas moins que mourir au temps, immédiatement, par vision pénétrante, c'est le possible qui nous est offert.
Alors technique d'accord, mais ne soyons pas dupes de ce qu'elle est, un support pour le voyage cosmique ici et maintenant, jamais hier et jamais demain.
Et ce voyage là, la rencontre de notre véritable nature ne dépend de rien, ne dépend pas de demain mais pas plus d'une technique, d'une discipline, d'une religion, ni même d'une philosophie mais de notre présence consciente et conscience, ce que nous sommes de toute éternité, ou ne sommes pas, prisonnier de maya.
Mais pour être honnête, je pratique de plus en plus la respiration. je pratique depuis longtemps le Zazen, l'assise juste, mais je ne suis pas une fana de la pratique.
La conscience de la respiration originelle est cependant fort déconditionnante, cette écoute là rend silencieuses nos pensées, et en tout cas engendre la conscience de notre non écoute ou de l'écoute de notre bavardage incessant, de notre monologue intérieur, de nos identifications aux personnages. Personnages très consommateurs d'énergies, ils formes des bouchons et l'énergie ne cicule plus librement.
Alors débouchons les bouchons, et il y du travail ! Certains bouchons sont si vieux, pas facile de déboucher, d'être libre, c'est une grande rigeur vous savez, la rigueur de l'amour. Raison pour laquelle sur la terre et dans l'humanité, il ne vous sera pas donné de rencontrer beaucoup d'amoureux...
Et moi je suis une amoureuse, j'aime et je suis heureuse de vivre, de partager avec vous, de vibrer avec vous, ou de ne pas vibrer avec . Un si beau nom indien et être si renfermé, si négatif ?... Hum...hum...hum...
Que ma joie vous transporte à reconnaître la votre
Le yoga c'est la vie
Denis, Denis
Tu as soulevée la question du Yin et du Yang, ni plus ni moins. C'est la question de l'harmonisation des énergies et je me suis longtemps penchée sur cette question, certaine que l'équilibre en surgirait.
Le frontal que je dénonce si souvent m'est apparu comme le principe mâle, masculin, et l'intuition féminine comme le principe Yin.
Le mouvement du mental, qui est le temps, la mesure, c'est aussi la course dans le temps, la course à la réussite, un mouvement très Yang, dirais-je. Regardez nos sociétés machistes et vous comprendrez que le Yan c'est ce chevalier sans peur et sans reproche que l'on cherche encore à nous faire croire.
Alors nous comprenons bien de ce fait combien l'identification au Yang, en fait le frontal, est une grande dérive, un grand déséquilibre.
C'est pourquoi je crois profondément que la femme sera amenée à retrouver une place prépondérante dans les sociétés futures. Et avec elle, l'intuition, la petite voix féminine en nous, Messieurs...
Tu as soulevée la question du Yin et du Yang, ni plus ni moins. C'est la question de l'harmonisation des énergies et je me suis longtemps penchée sur cette question, certaine que l'équilibre en surgirait.
Le frontal que je dénonce si souvent m'est apparu comme le principe mâle, masculin, et l'intuition féminine comme le principe Yin.
Le mouvement du mental, qui est le temps, la mesure, c'est aussi la course dans le temps, la course à la réussite, un mouvement très Yang, dirais-je. Regardez nos sociétés machistes et vous comprendrez que le Yan c'est ce chevalier sans peur et sans reproche que l'on cherche encore à nous faire croire.
Alors nous comprenons bien de ce fait combien l'identification au Yang, en fait le frontal, est une grande dérive, un grand déséquilibre.
C'est pourquoi je crois profondément que la femme sera amenée à retrouver une place prépondérante dans les sociétés futures. Et avec elle, l'intuition, la petite voix féminine en nous, Messieurs...
Pourtant, seule des milliers d'hommes et de femmes ont apportés de merveilleuses techniques pour trouver "ici et maintenant" si cher à toutes les disciplines de l'esprit.seule a écrit :Et ce voyage là, la rencontre de notre véritable nature ne dépend de rien, ne dépend pas de demain mais pas plus d'une technique, d'une discipline, d'une religion, ni même d'une philosophie mais de notre présence consciente et conscience, ce que nous sommes de toute éternité, ou ne sommes pas, prisonnier de maya.
Cela est la chose qu'il faut que tu comprennes pour pouvoir aider les autres, il te faudra trouver des techniques, les tiennes, ou celles des autres en harmonie avec ce que tu fais et vis...
Mais je crois que cette "maturité" est déjà en marche chez toi et je l'ai même souligné quelques fois...
En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
1/ La respiration qui te coupe du monde et du temps...
2/ l'attention qui devient une deuxième conscience et qui s'imisse dans nos autres états
3/ Le fait de tenter dans l'instant de mourir à soi et de faire cesser séance tenante notre égo, notre monde...
4/ Une fois cette mort là, tenter d'avoir une expansion de soi à l'infini...
Tu vois je te suis et te lis...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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A ce propos Seule : pourrais tu nous dire toi qui a déjà atteint un certain niveau d'éveil (niveau que je ne remets absolument pas en question), pourrais tu nous dire donc quels sont les points qui te restent à travailler? As tu identifié tes faiblesses, tes manques, tes défauts (ou appelle les autrement si tu en éprouves le besoin)? Et comment entreprends tu d'en venir à bout?
Ca peut être intéressant de savoir comment malgré le fait d'être "éveillé" on se débrouille pour ne pas se reposer sur ses lauriers et comment on s'y prend pour devenir encore un peu plus conscient chaque jour...
Ca peut être intéressant de savoir comment malgré le fait d'être "éveillé" on se débrouille pour ne pas se reposer sur ses lauriers et comment on s'y prend pour devenir encore un peu plus conscient chaque jour...
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Ecoutez, soyons pratiques !
Avons-nous observés en nous-mêmes ce qu'il est entendu lorsque je vous parle de l'ego ?
Comment l'ego se manifeste concrètement, en quoi le reconnaître en moi, qu'est-ce qui est ego et qu'est-ce qui ne l'est pas ?
Serait-il possible, par observation directe de surprendre le fonctionnement de l'ego, sur le vif ?
L'ego ne dépendrait-il pas de pensées, lesquelles concernent le centre je-moi ?
Ce centre je-moi, ne se perçoit-il pas lui-même comme une entité séparée dans l'espace et le temps, dans les objets, dans les formes, dans la multiplicité ?
L'ego ne dépendrait-il pas en fin de compte, d'un certain mouvement de la pensée, à certaines pensées dont le moteur, l'action, est engendrée par ce centre je-moi, vous, moi, lui, elle ?
La question est celle de voir si à partir d'une vigilante attention, les pensées concernant le centre je-moi, peuvent être distinguées d'un penser sans centre du tout ?
Prenons des exemples. La pensée de savoir ce qu'il y a à manger dans le frigidaire pour ce soir est utilitaire. On peut dire d'une telle pensée qu'elle n'est ni blanche ni noire, ni heureuse ou malheureuse, mais pratique et indispensable.
Par contre, la pensée :"je suis ceci ou je suis cela est cela ne me satisfait pas", est une pensée liée au centre je-moi et renforce cette identité, cette identification erronée.
Dans l'actuel, entendre le vent et éventuellement être giflé par lui en plein visage si vous êtes dehors, c'est le ce qui est. Mais la pensée : "Je déteste le vent", est une pensée liée au je-moi, au centre, au conditionnement. Le moi est un conditionnement, se prendre pour une entité séparée, un individu, c'est du conditionnement, une identification mentale.
Penser à fermer la fenêtre ou la porte par grand vent est une pensée qui provoque l'action de fermer la porte ou la fenêtre utilitairement, ce n'est pas une pensée conditionnée mais utilitaire. Alors que le vent s'engouffre dans la maison, fermer la porte coule de source, la pensée est adaptée à la situation actuelle, du moment. Elle est la conséquence d'une vision approche réelle du fait, elle surgit du fait que le vent s'engouffre dans la maison. Un tel type de pensée ne sera jamais conflictuelle.
"Il fait froid !" Ce n'est pas un problème, je vais agir aussitôt, me couvrir, me mettre à l'abri. Mais la pensée : "je préfère l'été" est une pensée disfonctionnelle, elle n'est pas en rapport avec la situation, avec le fait, le fait est que nous sommes en hivers et qu'il fait froid.
Le centre "je-moi" aime ou n'aime pas, préfère ou ne préfère pas et de ce fait cela lui procure le sentiment de choisir et d'être indépendant de l'environnement et de tout. Dépendance qui ne tarde pas à se transformer en isolement auquel la souffrance est très étroitement liée, la souffrance mais aussi la mort.
"Je préfère est donc une pensée parasite, une résistance au fait, à l'actuel. Qui donc préfère le soleil à la pluie, l'été à l'hiver ? La vie, le vivant Un, serait-il ce qu'il est si seulement le soleil rayonnait chaque jour et si la pluie était à l'écoute des caprices du moi, à l'écoute de son autosatisfaction, de son plaisir ?
Cette préférence du centre "je-moi", n'est-elle pas une résistance à ce qui est tel cela est ? Et pouvons-nous comprendre cela même à quoi nous résistons, cela que nous refusons de voir et de comprendre ? Un tel comportement irrationnel engendré par le "je-moi", est-il susceptible d'entraîner la paix en soi et autour de soi ou au contraire le conflit et la guerre ?
Le "je-moi" existe-t-il sans un penser qui justement l'existe en images mentales ?
Mais si le "je-moi" existe en pensées, mentalement, en images, et que vivre est vivant, vibrant, ne serions-nous pas en train de découvrir que s'identifier au mental, à la pensée et donc aux images, c'est ne pas vivre le fait, l'action de vivre au présent vivant ?
La méditation c'est voir en toute lucidité notre façon de nous comporter, laquelle façon comprend la façon dont nous pensons et si notre penser est ou non relié à un centre "je-moi", lequel est conditionnement, identification, savoir et mémoire.
Apprendre à distinguer le bruit incessant du centre "je-moi", c'est apprendre à voir le faux, à le reconnaître, et cette action est libératrice par elle-même, rien d'autre n'est nécessaire. Identifier le faux du vrai, ce qui reste est, c'est le réel.
Il est inutile de chercher notre véritable nature, ce que nous sommes en réalité, voir le faux suffit, voir ce que nous ne sommes pas, c'est permettre un tout autre mouvement. C'est un mouvement holistique, pluridimensionnel, sans direction mais s'exprimant dans toutes les directions à la fois, partout à la fois, en soi et autour de soi, non limité à soi. C'est un mouvement holistique et incommensurable, sans aucune limite de temps et d'espace, sa fraîcheur vous renverse, vous saisie.
Cette méditation qui est celle de voir le faux, révèle donc un penser dégénératif et esclave d'un centre "je-moi", et un penser pratique, qui n'interfère pas entre le ce qui est tel cela est et ce que "je-moi" voudrait que cela soit.
Est-ce que c'est clair ?
Est-il clair pour vous que penser utilitairement et non psychologiquement, c'est la fin du moi, la fin de souffrance, la fin du temps linéaire et oppositionnel, la fin du conflit ?
Avons-nous observés en nous-mêmes ce qu'il est entendu lorsque je vous parle de l'ego ?
Comment l'ego se manifeste concrètement, en quoi le reconnaître en moi, qu'est-ce qui est ego et qu'est-ce qui ne l'est pas ?
Serait-il possible, par observation directe de surprendre le fonctionnement de l'ego, sur le vif ?
L'ego ne dépendrait-il pas de pensées, lesquelles concernent le centre je-moi ?
Ce centre je-moi, ne se perçoit-il pas lui-même comme une entité séparée dans l'espace et le temps, dans les objets, dans les formes, dans la multiplicité ?
L'ego ne dépendrait-il pas en fin de compte, d'un certain mouvement de la pensée, à certaines pensées dont le moteur, l'action, est engendrée par ce centre je-moi, vous, moi, lui, elle ?
La question est celle de voir si à partir d'une vigilante attention, les pensées concernant le centre je-moi, peuvent être distinguées d'un penser sans centre du tout ?
Prenons des exemples. La pensée de savoir ce qu'il y a à manger dans le frigidaire pour ce soir est utilitaire. On peut dire d'une telle pensée qu'elle n'est ni blanche ni noire, ni heureuse ou malheureuse, mais pratique et indispensable.
Par contre, la pensée :"je suis ceci ou je suis cela est cela ne me satisfait pas", est une pensée liée au centre je-moi et renforce cette identité, cette identification erronée.
Dans l'actuel, entendre le vent et éventuellement être giflé par lui en plein visage si vous êtes dehors, c'est le ce qui est. Mais la pensée : "Je déteste le vent", est une pensée liée au je-moi, au centre, au conditionnement. Le moi est un conditionnement, se prendre pour une entité séparée, un individu, c'est du conditionnement, une identification mentale.
Penser à fermer la fenêtre ou la porte par grand vent est une pensée qui provoque l'action de fermer la porte ou la fenêtre utilitairement, ce n'est pas une pensée conditionnée mais utilitaire. Alors que le vent s'engouffre dans la maison, fermer la porte coule de source, la pensée est adaptée à la situation actuelle, du moment. Elle est la conséquence d'une vision approche réelle du fait, elle surgit du fait que le vent s'engouffre dans la maison. Un tel type de pensée ne sera jamais conflictuelle.
"Il fait froid !" Ce n'est pas un problème, je vais agir aussitôt, me couvrir, me mettre à l'abri. Mais la pensée : "je préfère l'été" est une pensée disfonctionnelle, elle n'est pas en rapport avec la situation, avec le fait, le fait est que nous sommes en hivers et qu'il fait froid.
Le centre "je-moi" aime ou n'aime pas, préfère ou ne préfère pas et de ce fait cela lui procure le sentiment de choisir et d'être indépendant de l'environnement et de tout. Dépendance qui ne tarde pas à se transformer en isolement auquel la souffrance est très étroitement liée, la souffrance mais aussi la mort.
"Je préfère est donc une pensée parasite, une résistance au fait, à l'actuel. Qui donc préfère le soleil à la pluie, l'été à l'hiver ? La vie, le vivant Un, serait-il ce qu'il est si seulement le soleil rayonnait chaque jour et si la pluie était à l'écoute des caprices du moi, à l'écoute de son autosatisfaction, de son plaisir ?
Cette préférence du centre "je-moi", n'est-elle pas une résistance à ce qui est tel cela est ? Et pouvons-nous comprendre cela même à quoi nous résistons, cela que nous refusons de voir et de comprendre ? Un tel comportement irrationnel engendré par le "je-moi", est-il susceptible d'entraîner la paix en soi et autour de soi ou au contraire le conflit et la guerre ?
Le "je-moi" existe-t-il sans un penser qui justement l'existe en images mentales ?
Mais si le "je-moi" existe en pensées, mentalement, en images, et que vivre est vivant, vibrant, ne serions-nous pas en train de découvrir que s'identifier au mental, à la pensée et donc aux images, c'est ne pas vivre le fait, l'action de vivre au présent vivant ?
La méditation c'est voir en toute lucidité notre façon de nous comporter, laquelle façon comprend la façon dont nous pensons et si notre penser est ou non relié à un centre "je-moi", lequel est conditionnement, identification, savoir et mémoire.
Apprendre à distinguer le bruit incessant du centre "je-moi", c'est apprendre à voir le faux, à le reconnaître, et cette action est libératrice par elle-même, rien d'autre n'est nécessaire. Identifier le faux du vrai, ce qui reste est, c'est le réel.
Il est inutile de chercher notre véritable nature, ce que nous sommes en réalité, voir le faux suffit, voir ce que nous ne sommes pas, c'est permettre un tout autre mouvement. C'est un mouvement holistique, pluridimensionnel, sans direction mais s'exprimant dans toutes les directions à la fois, partout à la fois, en soi et autour de soi, non limité à soi. C'est un mouvement holistique et incommensurable, sans aucune limite de temps et d'espace, sa fraîcheur vous renverse, vous saisie.
Cette méditation qui est celle de voir le faux, révèle donc un penser dégénératif et esclave d'un centre "je-moi", et un penser pratique, qui n'interfère pas entre le ce qui est tel cela est et ce que "je-moi" voudrait que cela soit.
Est-ce que c'est clair ?
Est-il clair pour vous que penser utilitairement et non psychologiquement, c'est la fin du moi, la fin de souffrance, la fin du temps linéaire et oppositionnel, la fin du conflit ?
Bon, je ne propose rien, je propose de voir, c'est tout, il n'y a rien à faire, surtout pas faire quoi que ce soit en vue de voir.Denis a écrit :Pourtant, seule des milliers d'hommes et de femmes ont apportés de merveilleuses techniques pour trouver "ici et maintenant" si cher à toutes les disciplines de l'esprit.seule a écrit :Et ce voyage là, la rencontre de notre véritable nature ne dépend de rien, ne dépend pas de demain mais pas plus d'une technique, d'une discipline, d'une religion, ni même d'une philosophie mais de notre présence consciente et conscience, ce que nous sommes de toute éternité, ou ne sommes pas, prisonnier de maya.
Cela est la chose qu'il faut que tu comprennes pour pouvoir aider les autres, il te faudra trouver des techniques, les tiennes, ou celles des autres en harmonie avec ce que tu fais et vis...
Mais je crois que cette "maturité" est déjà en marche chez toi et je l'ai même souligné quelques fois...
En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
1/ La respiration qui te coupe du monde et du temps...
2/ l'attention qui devient une deuxième conscience et qui s'imisse dans nos autres états
3/ Le fait de tenter dans l'instant de mourir à soi et de faire cesser séance tenante notre égo, notre monde...
4/ Une fois cette mort là, tenter d'avoir une expansion de soi à l'infini...
Tu vois je te suis et te lis...
Voir le faux, c'est tout ce que nous pouvons faire, ou ne pas le voir
C'est très original en fait ce que je propose, rien du tout que vous ne possédiez déjà, rien à devenir dans le temps, rien à accumuler, c'est extra ce truc !
Et c'est très réel. Je vous propose à la limite de vous dépouiller, de vous retrouver entièrement nus ! Oui, oui, cela vous choque, hein ?
Je vais vous dire un truc, vous le croyez ou non mais cela m'est égal, je vous propose un jour à l'occasion de nous rencontrer, avec l'un d'entre vous ou l'une d'entre vous. Je vous assure que vous ne pourrez pas tricher avec moi, je vois tout en vous, je vous transperce, c'est d'une extrême facilité pour moi, c'est de la pure clairvoyance, de la clarté -lcidité.
Je ne plaisante que lorsque je plaisante, je veux bien vous prendre au mot !
Oui, oui, oui, je vois, je ne suis pas aveugle !...Denis, Denis , comme tu es crédule mon ami !Denis a écrit :
Pourtant, seule des milliers d'hommes et de femmes ont apportés de merveilleuses techniques pour trouver "ici et maintenant" si cher à toutes les disciplines de l'esprit.
Des milliers d'hommes et de femmes ont apporté des techniques pour le ici et maintenant ?
Mais le ici est mainteant n'est pas une technique, voyons ! C'est vivant, c'est grouillant, c'est dynamique, c'est neuf, c'est une respiration cosmique, une création incommensurable, un tel miracle...
Et puis Denis, des millièrs de techniques, ok, mais si peu d'éveillés...
Non Denis, je ne participerais pas à colporter l'illusion de la technique. J'ai fini ma course, terminée l'ombre de la réincarnation, de la poursuite dans le temps, de cette vaste illusion.Cela est la chose qu'il faut que tu comprennes pour pouvoir aider les autres, il te faudra trouver des techniques, les tiennes, ou celles des autres en harmonie avec ce que tu fais et vis...
Mais je crois que cette "maturité" est déjà en marche chez toi et je l'ai même souligné quelques fois...
En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
1/ La respiration qui te coupe du monde et du temps...
La respiration ne me coupe de rien, au contraire elle vous relie au tout, dans un silence total du mental, il n'y a pas vous et la respiration, il y a respiration, air pur, fraicheur divinement Divine, c'est une jubilation, le tout est d'y être présente !
L'attention est naturelle pour le cerveau, c'est notre inattention qui n'est pas naturelle. Pour moi il n'y a pas de distance de séparation entre attention, vigilence et conscience, conscience présence.2/ l'attention qui devient une deuxième conscience et qui s'imisse dans nos autres états
3/ Le fait de tenter dans l'instant de mourir à soi et de faire cesser séance tenante notre égo, notre monde...
On ne tente pas de mourir à soi, on meure ou on meure pas, on est silencieux ou on l'est pas.
De même que l'on voit, ou on ne voit pas, nous sommes éveillés ou ne le sommes pas. C'est très simple, vous voulez toujours compliquer le plus simple. Voyez, ne réflechissez pas, vous réfléchissez beaucoup trop, ressentez plutôt !
Ne tentez rien voyez ce que vous n'êtes pas, ne vous préoccupez de rien d'autre. Cette vision de ce que vous n'êtes pas produit son propre résultat, ne faites rien, surtout pas faire, voyez simplement, prenez conscience, découvrez-vous !4/ Une fois cette mort là, tenter d'avoir une expansion de soi à l'infini...
Tu vois je te suis et te lis...
Je m'en fiche ! Je suis éveillé ? C'est vous qui le dites...Mais Rico, je ne le vois pas ! Je ne le sais pas !rico a écrit :A ce propos Seule : pourrais tu nous dire toi qui a déjà atteint un certain niveau d'éveil (niveau que je ne remets absolument pas en question)
Je veux dire par là que lorsque je suis dans l'action de voir clair, je ne le sais pas ! Tu peux comprendre ça ?
Ce n'est pas que je veuille donner une réponse bateau, je m'effforce au contraire à une grande clarté.
Je m'en fou ! C'est une perte d'énergie tout ça. Je ne fais rien, Je suis. Et cela se fait ou ne se fait pas., pourrais tu nous dire donc quels sont les points qui te restent à travailler? As tu identifié tes faiblesses, tes manques, tes défauts (ou appelle les autrement si tu en éprouves le besoin)? Et comment entreprends tu d'en venir à bout?
Vous comlprenez le rien faire intellectuellement, alors vous ne le vivez pas.
Vous verrez alors, en le vivant, que le rien faire du moi c'est un autre faire, un faire pluridimentionnel, incommensurable, non prisonnier de l'espace et du temps, non limité, impersonnel.
En comprenant le faire du moi, qui est le faux, de toute façon vous allez ralentir votre course, ne vous inquiétez pas, et vous vous surprendrez par exemple en train de discuter avec la nature, avec les arbres, et cela vous répond.
Ca peut être intéressant de savoir comment malgré le fait d'être "éveillé" on se débrouille pour ne pas se reposer sur ses lauriers et comment on s'y prend pour devenir encore un peu plus conscient chaque jour...
C'est si peu important, voyez le faux et le vrai se révèle, ici et maintenant, élargissez votre regard à l'infini de ce que vous êtes.
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- Enregistré le : 19 nov. 2006, 22:19
Quel régal!!!!!
Quel régal!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: Quel régal!!!!!
Je sais bien que tu ne peux que voir...fleur blanche a écrit :Quel régal!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Et tu vois..., on voit ou on ne voit pas. On ne voit pas plus, pas mieux, on voit ou ne voit pas... , c'est extraordinaire...
la technique c'est pas de technique
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de lire tant de reticences aprés de si jolis ecrits qui transpirent cette purete que seule nous distribue "vous etes tous bouchés ou quoi? "
ouvrez vos coeur completement et cesser de repondre nimporte quoi pour vous croire quelque chose que vous n'etes pas.
vos réponses denoncent vos egos qui n'accepte pas l'amour naturel des choses que seule nous transmet.
peu etre etes vous simplement jaloux ou orgueilleux .
de lire tant de reticences aprés de si jolis ecrits qui transpirent cette purete que seule nous distribue "vous etes tous bouchés ou quoi? "
ouvrez vos coeur completement et cesser de repondre nimporte quoi pour vous croire quelque chose que vous n'etes pas.
vos réponses denoncent vos egos qui n'accepte pas l'amour naturel des choses que seule nous transmet.
peu etre etes vous simplement jaloux ou orgueilleux .
Je viens de comprendre Seule la portée significative de ton pseudo :
Ton discours certes très intéressant n'en est pas moins incapable de toucher l'individu moyen. 99% des personnes qui te lisent ne seront pas touchés par tes propos si tant est qu'ils puissent les comprendre. Je trouve ça dommage. Nous vivons parmi nos semblables dont la plupart ont un niveau d'évolution faible (ce n'est pas une critique c'est un constat). Un discours comme le tien te place d'emblée au dessus de la masse enfin tu te places au dessus que tu le veuilles ou non. Je pense très sincèrement que le but ultime de chacun c'est de permettre à l'autre de gravir les échelons en commençant par le premier, celui tout en bas; mais pour cela nous devons redescendre du haut de notre échelle. C'est comme si par exemple je voulais initier un ami au yoga et que dès la première séance je lui face faire une posture très difficile qui demande des années de pratique du yoga!
Seule tu ne peux nous dire quelles sont tes limitations et bien j'en vois une de taille : LA COMMUNICATION!!! Tu ne permets pas à l'autre de progresser en te mettant à son niveau. Tu pars d'emblée dans les hautes sphères, si haut que ceux d'en bas n'arrivent même plus à t'apercevoir! Du coup tu es Seule! Le véritable yoga est celui qui ne coupe pas le saddaka de ses semblables et le véritable yogi est celui qui vit parmi les sien sans s'isoler d'une quelconque manière; vivre parmi les siens et non dans un univers parallèle dans lequel on se retrouve Seule!
Ton discours certes très intéressant n'en est pas moins incapable de toucher l'individu moyen. 99% des personnes qui te lisent ne seront pas touchés par tes propos si tant est qu'ils puissent les comprendre. Je trouve ça dommage. Nous vivons parmi nos semblables dont la plupart ont un niveau d'évolution faible (ce n'est pas une critique c'est un constat). Un discours comme le tien te place d'emblée au dessus de la masse enfin tu te places au dessus que tu le veuilles ou non. Je pense très sincèrement que le but ultime de chacun c'est de permettre à l'autre de gravir les échelons en commençant par le premier, celui tout en bas; mais pour cela nous devons redescendre du haut de notre échelle. C'est comme si par exemple je voulais initier un ami au yoga et que dès la première séance je lui face faire une posture très difficile qui demande des années de pratique du yoga!
Seule tu ne peux nous dire quelles sont tes limitations et bien j'en vois une de taille : LA COMMUNICATION!!! Tu ne permets pas à l'autre de progresser en te mettant à son niveau. Tu pars d'emblée dans les hautes sphères, si haut que ceux d'en bas n'arrivent même plus à t'apercevoir! Du coup tu es Seule! Le véritable yoga est celui qui ne coupe pas le saddaka de ses semblables et le véritable yogi est celui qui vit parmi les sien sans s'isoler d'une quelconque manière; vivre parmi les siens et non dans un univers parallèle dans lequel on se retrouve Seule!
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Je pense malheureusement pour seule, que tu as assez raison rico...
Je suis assez triste de voir dans ton post, seule, une chose pareille :
Tu te trompes toi même... Ouvre n'importe quel texte "valable" de yoga et lit, et tu verras que tout ce que tu dis à été dit des millions de fois !
Il faut que tu le comprennes, sinon tout ton discour s'écroule ici...
De plus seule, je suis trite de voir que tu prends toujours et simplement le contre pied de ce que je dis, ou de ceux que disent les autres...
Ce n'est pas une belle attitude. En faisant cela tu cours après ton image et tu souhaites toujours te placer avec un temps d'avance sur ce qui est dit. Comme tu ne fait que relater du ressenti et que tu ne donne pas d'appoche, pas de moyens si ce n'est le "contre pied" on peut tourner en rond pendant des années avec tes posts...
C'est ce qui est en train de se passer...
Je suis désolé, seule, mais si on reprend les posts où nous parlons de "tes techniques" tu verras qu'il n'y a pas grand chose à redire sur ce que j'ai écris et que surtout nous étions bien d'accord, TOUS LES 2 :
En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
Il te faut communiquer autrement...
A toi de voir...
Je suis assez triste de voir dans ton post, seule, une chose pareille :
Non, pas un instant !seule a écrit :C'est très original en fait ce que je propose,
Tu te trompes toi même... Ouvre n'importe quel texte "valable" de yoga et lit, et tu verras que tout ce que tu dis à été dit des millions de fois !
Il faut que tu le comprennes, sinon tout ton discour s'écroule ici...
De plus seule, je suis trite de voir que tu prends toujours et simplement le contre pied de ce que je dis, ou de ceux que disent les autres...
Ce n'est pas une belle attitude. En faisant cela tu cours après ton image et tu souhaites toujours te placer avec un temps d'avance sur ce qui est dit. Comme tu ne fait que relater du ressenti et que tu ne donne pas d'appoche, pas de moyens si ce n'est le "contre pied" on peut tourner en rond pendant des années avec tes posts...
C'est ce qui est en train de se passer...
Je suis désolé, seule, mais si on reprend les posts où nous parlons de "tes techniques" tu verras qu'il n'y a pas grand chose à redire sur ce que j'ai écris et que surtout nous étions bien d'accord, TOUS LES 2 :
En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
Toutes tes réponses ne sont que des contre pieds, je pourrai toutes les reprendre et jouer avec pendant des heures de la même manière...Denis a écrit :1/ La respiration qui te coupe du monde et du temps...
2/ l'attention qui devient une deuxième conscience et qui s'imisse dans nos autres états
3/ Le fait de tenter dans l'instant de mourir à soi et de faire cesser séance tenante notre égo, notre monde...
4/ Une fois cette mort là, tenter d'avoir une expansion de soi à l'infini...
Il te faut communiquer autrement...
A toi de voir...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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S'agit il là d'une autre limitation imputable à Seule à savoir : un manque d'humilité? Je laisse Seule méditer sa propre réponse....C'est très original en fait ce que je propose,
Non, pas un instant !
Tu te trompes toi même... Ouvre n'importe quel texte "valable" de yoga et lit, et tu verras que tout ce que tu dis à été dit des millions de fois !
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
EXEMPLE 1 par le la négation de ta négation :
Je n'ai pas dit le contraire...
La respiration te coupe du monde, sous entendu de ton monde, de ce fait elle te relie au tout, puisque elle ouvre le champ...
EXEMPLE 2 à ta façon...
L'attention est une qualité supérieure à l'attention simple que nous pouvons avoir, on ne parle même pas de l'inattention, on parle de la seconde attention, celle qui te fait sifloter un air de musique que tu aimes tout en faisant ta vaisselle avec attention...
C'est celle là qu'il faut mettre en place et maitriser...
(la technique du toujours un peu plus, ou on peut plus ...)
EXEMPLE par l'absurde...
Que proposes tu pour ceux qui ne le sont pas, à oui le "ici et maintenant" car tout y est et il n'y a pas besoin de chercher plus loin...
Je crois qu'avec ce type de phrases tu peux déclencher des guerres, mais pour ce qui est de faire atteindre l'éveil à n'importe qui, il faudra que tu revois ta copie....
Pour finir, seule, prétendre que tu pourrais faire passer ton "état" à n'importe qui... Là il faut que tu gagnes en humilité, tu sais il y a et il y a eu des milliers d'éveillés, des vrais, et ils ne sont jamais arrivé à faire cela, à part dans les fantasmes, alors un peu d'humilité...
Facile ...seule a écrit :La respiration ne me coupe de rien, au contraire elle vous relie au tout, dans un silence total du mental, il n'y a pas vous et la respiration, il y a respiration, air pur, fraicheur divinement Divine, c'est une jubilation, le tout est d'y être présente !denis a écrit :En synthèse voici ce que j'ai relevé comme techniques que tu proposes :
1/ La respiration qui te coupe du monde et du temps...
Je n'ai pas dit le contraire...
La respiration te coupe du monde, sous entendu de ton monde, de ce fait elle te relie au tout, puisque elle ouvre le champ...
EXEMPLE 2 à ta façon...
Non !!! (c'est toi qui écris !! )seule a écrit :L'attention est naturelle pour le cerveau, c'est notre inattention qui n'est pas naturelle. Pour moi il n'y a pas de distance de séparation entre attention, vigilence et conscience, conscience présence.denis a écrit :2/ l'attention qui devient une deuxième conscience et qui s'imisse dans nos autres états
L'attention est une qualité supérieure à l'attention simple que nous pouvons avoir, on ne parle même pas de l'inattention, on parle de la seconde attention, celle qui te fait sifloter un air de musique que tu aimes tout en faisant ta vaisselle avec attention...
C'est celle là qu'il faut mettre en place et maitriser...
(la technique du toujours un peu plus, ou on peut plus ...)
EXEMPLE par l'absurde...
Nous sommes éveillés ou ne le sommes pas. C'est très simple c'est simplement stéril et presque débile...seule a écrit :On ne tente pas de mourir à soi, on meure ou on meure pas, on est silencieux ou on l'est pas.denis a écrit :3/ Le fait de tenter dans l'instant de mourir à soi et de faire cesser séance tenante notre égo, notre monde...
De même que l'on voit, ou on ne voit pas, nous sommes éveillés ou ne le sommes pas. C'est très simple, vous voulez toujours compliquer le plus simple. Voyez, ne réflechissez pas, vous réfléchissez beaucoup trop, ressentez plutôt !
Que proposes tu pour ceux qui ne le sont pas, à oui le "ici et maintenant" car tout y est et il n'y a pas besoin de chercher plus loin...
Je crois qu'avec ce type de phrases tu peux déclencher des guerres, mais pour ce qui est de faire atteindre l'éveil à n'importe qui, il faudra que tu revois ta copie....
Pour finir, seule, prétendre que tu pourrais faire passer ton "état" à n'importe qui... Là il faut que tu gagnes en humilité, tu sais il y a et il y a eu des milliers d'éveillés, des vrais, et ils ne sont jamais arrivé à faire cela, à part dans les fantasmes, alors un peu d'humilité...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Bon d'accord, je vais vous éclairer, je ne m'intéresse qu'au 1% restant. Les 99% je les laisse aux spécialistes, ce n'est pas l'heure des 99%, ce n'est l'heure que des 1% et c'est mon heure.rico a écrit :Je viens de comprendre Seule la portée significative de ton pseudo :
Ton discours certes très intéressant n'en est pas moins incapable de toucher l'individu moyen. 99% des personnes qui te lisent ne seront pas touchés par tes propos si tant est qu'ils puissent les comprendre.
Si les 99% ne comprennent pas, c'est qu'ils ne sont pas mûrs. Pourtant je m'adresse à qui veut entendre, il n'y a pas une sélection de ma part. C'est seulement dans les oreilles où cela tombe, elles sont ouvertes ou ne le sont pas.
Désolée de ne jamais répondre selon votre attente.
Je vous demande de comprendre ceci :
"Je vous ai retiré du monde"
C'est une phrase de l'évangile.
Vous voudriez que je m'exprime à partir de la dualité pour vous arranger, ce n'est pas possible, ou vous saisissez, ou vous passez à côté, ce n'est pas mon problème.
Si vous entendez avec le mental, ne vous étonnez pas de ne rien comprendre à mes écrits, si vous entendez avec le coeur, alors vous pouvez recevoir, c'est que vous possédez déjà, vous êtes mûrs, vous êtes désormais "pêcheurs d'hommes". Jésus.
Tu n'as pas pris un instant le temps de me lire et d'essayer de comprendre ce que j'ai tenté de te dire..."La respiration te coupe du monde, sous entendu de ton monde"
C'est toi qui voudrait qu'il y est une scission entre la totalité et "mon monde"
Ce n'est pas du tout ce que je dis. Il faut le vivre, tu ne fais que vouloir comprendre mentalement, c'est en le vivant que l'on découvre si c'est ou non la vérité.
"Mon monde" est une illusion, une pure illusion, un pur fantasme ! Voir l'illusion, c'est dire voir le faux, le reste est là, il a toujours était là... Et le reste, c'est le vivant Un.
La respiration consciente est sans personne pour respirer.
Pourquoi veux-tu t'expliquer ce prodige mentalement, ce miracle avec un instrument qui fragmente et projette sa propre mesure et limitation, ses propres résitances, ces propres défenses pour se conforter dans la séparation qu'il a accepté ?
Il s'agit de la fin de la séparation entre l'observateur et l'observé, vous ne voudriez pas que je vous confortes dans la prison de maya, quand même !
Je me suis amusé de tes propos qui TOURNENT EN ROND !!!
A chaque fois tu prends le contre pied, c'est tellement simple que tout cela devient ennuyeux....
Arrête de croire qu'il n'y a que toi qui vit cela... Se serait bien pour tout le monde...
Mon mental, j'en fais ce que je veux, je ne t'ai pas attendu, merci !
Et pour la respiration, c'est quand tu veux que je t'en apprend dessus...
enfin, la notion de l'observateur, de l'objet observé, et du lien d'observation, seule, cette trinité qui ne demande qu'a reveinr à l'unité existe, en tant que concept, depuis que l'homme et le Yoga existe....
Encore une fois tu n'a rien inventé et tu ne dis pas grand chose pour attendre à tout cela
Mais, tu as raison sur une chose, il faut le vivre !!!!WOOOAARRRFFFFFFF !!!
Tout à fait Denis, tu y es, ouf !Denis a écrit : Que proposes tu pour ceux qui ne le sont pas, à oui le "ici et maintenant" car tout y est et il n'y a pas besoin de chercher plus loin...
C'est cette simplicité là, du ici et maintenant sans limite de temps et d'espace. Le reste vous sera donné par surcroît...
En fait le royaume dont parle le Jésus, en symbole actuel, de notre temps moderne, c'est le ici et maintenant...
Ben, ma pauvre seule, tu vas te battre contre le monde entier avec d'aussi grandes vérités intouchables....
J'épère que tu es consciente de l'impossibilité de ce que tu écris pour 99% des gens....
Et une fois de plus on boucle !!!
J'épère que tu es consciente de l'impossibilité de ce que tu écris pour 99% des gens....
Et une fois de plus on boucle !!!
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Avançons un peu plus dans le subtil.
Voir le faux, vous ne comprenez pas que c'est voir la surimposition à ce que vous êtes de toute éternité ?
Vous vous contentez de la surtaxe, de la surimposition, et moi je vous demande de le regarder, de regarder la structure même du processus du faux, du processus de la surtaxe, et ce regard, cette vision pénétrante, c'est l'abolition de la surtaxe, de la surimposition à laquelle vous êtes identifiés.
Vous ne pouvez pas courir après la Conscience que vous êtes, vous ne pouvez pas l'attraper, quelle que soit la discipline, la pratique, l'effort que vous dépensiez dans ce but.
Ici et maintenant ou Conscience Une, c'est la même chose. Pour que l'intérieur soit comme l'extérieur, videz vous de l'intérieur, videz-vous du faux, de cet esprit de séparation, de votre savoir, de vos certitudes, de votre devenir psychologique et donc aussi de votre passé...
Bonne nuit à tous
Voir le faux, vous ne comprenez pas que c'est voir la surimposition à ce que vous êtes de toute éternité ?
Vous vous contentez de la surtaxe, de la surimposition, et moi je vous demande de le regarder, de regarder la structure même du processus du faux, du processus de la surtaxe, et ce regard, cette vision pénétrante, c'est l'abolition de la surtaxe, de la surimposition à laquelle vous êtes identifiés.
Vous ne pouvez pas courir après la Conscience que vous êtes, vous ne pouvez pas l'attraper, quelle que soit la discipline, la pratique, l'effort que vous dépensiez dans ce but.
Ici et maintenant ou Conscience Une, c'est la même chose. Pour que l'intérieur soit comme l'extérieur, videz vous de l'intérieur, videz-vous du faux, de cet esprit de séparation, de votre savoir, de vos certitudes, de votre devenir psychologique et donc aussi de votre passé...
Bonne nuit à tous
Denis, j'ai l'impression que tu n'avais pas du tout conscience de l'enjeu de la révolution de la conscience ? Du "travail" que cela représente, effectivement.Denis a écrit :Ben, ma pauvre seule, tu vas te battre contre le monde entier avec d'aussi grandes vérités intouchables....
J'épère que tu es consciente de l'impossibilité de ce que tu écris pour 99% des gens....
Et une fois de plus on boucle !!!
J'ai l'impression aussi que vous voyez des éveillés partout. C'est avoir une toute petite idée de l'éveil, et des conséquences que cela engendre.
De plus, il n'est pas nécessaire que le monde entier soit éveillé dans un premier temps, seulement quelques poignées suffiront, à inverser le courant destructif actuel.
Mais ces quelques poignées semblent manquer à l'appel, disait Krishnamurti dans un dialogue partagé avec David Bhom le physicien...
Excuse moi seule, mais ce que je viens de lire dans ton derniers mails me fait bien rire....
Heureusement que tu es là pour me dire toutes ces mièvreries...
Je ne pensai pas que tu donnais dans le style New Age et là tu me déçois beaucoup...
Pour moi, la poignée d'éveillé qui sauvera la planète, c'est du roman de science fiction pour jeunes pubères… Mais si tu veux y croire, libre à toi…
Les révolutions dans le monde entier, n'ont jamais rien amené de bien, alors la révolution de la conscience, Wooarrrffff laisse moi rire....
Il te faut simplement accéder à un peu plus de culture et tenter de comprendre ce qu'est ce fameux âge d'or, que tout mystique à la chevelure fleurie et au petit joint dans les lèvres nous rabâche les oreilles depuis des siècles et tu verras que tu fais totalement fausse route...
Heureusement que tu es là pour me dire toutes ces mièvreries...
Je ne pensai pas que tu donnais dans le style New Age et là tu me déçois beaucoup...
Pour moi, la poignée d'éveillé qui sauvera la planète, c'est du roman de science fiction pour jeunes pubères… Mais si tu veux y croire, libre à toi…
Les révolutions dans le monde entier, n'ont jamais rien amené de bien, alors la révolution de la conscience, Wooarrrffff laisse moi rire....
Il te faut simplement accéder à un peu plus de culture et tenter de comprendre ce qu'est ce fameux âge d'or, que tout mystique à la chevelure fleurie et au petit joint dans les lèvres nous rabâche les oreilles depuis des siècles et tu verras que tu fais totalement fausse route...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Et hop une petite boucle....Avançons un peu plus dans le subtil. ...
Voir le faux, vous ne comprenez pas que c'est voir la surimposition à ce que vous êtes de toute éternité ?
Vous vous contentez de la surtaxe, de la surimposition, et moi je vous demande de le regarder, de regarder la structure même du processus du faux, du processus de la surtaxe, et ce regard, cette vision pénétrante, c'est l'abolition de la surtaxe, de la surimposition à laquelle vous êtes identifiés.
Vous ne pouvez pas courir après la Conscience que vous êtes, vous ne pouvez pas l'attraper, quelle que soit la discipline, la pratique, l'effort que vous dépensiez dans ce but.
Ici et maintenant ou Conscience Une, c'est la même chose. Pour que l'intérieur soit comme l'extérieur, videz vous de l'intérieur, videz-vous du faux, de cet esprit de séparation, de votre savoir, de vos certitudes, de votre devenir psychologique et donc aussi de votre passé...
Bonne nuit à tous
Tu penses seule, que celle là tu ne la pas écrite au moins 12000 fois...
Ne sents tu pas qu'il te faut faire autrement pour toucher un peu plus de monde, pour peut-être te mettre à la portée des gens...
Tiens je te fais un cadeau, d'un homme qui a dit les mêmes choses que toi, qui se moquait des Yogi et qui a fini par comprendre, après plus de 30 ans qu'il fallait qu'il mette en place des techniques car sinon son éveil ne servirait à personne....
Je te souhaite de gagner ces 30 ans, si pour autant tu as atteind l'éveil, ce dont je doute en lisant tes boucles...[/quote]L'action de penser et l'acte de la conscience, qui est celui d'être, sont antinomiques. Le verbe penser est la négation du verbe moi.
être ce que tu es n'est pas assez,
Tu dois le devenir
Stephen Jourdain,
L'IRRÉVÉRENCE DE L'ÉVEIL
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Tiens encore un cadeau...
"N'oublie pas de te demander à toute occasion s'il ne
s'agit pas de quelque chose d'inutile."
Le Livre tibétain des morts
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Les maîtres n'enseignent pas le samadhi pour la simple raison c'est qu'il ne s'apprend pas! D'où la parfaite inutilité du discours répétitif de Seul qui dès le début aurait dû se borner à quelques lignes.Nous sommes éveillés ou ne le sommes pas. C'est très simple c'est simplement stéril et presque débile...
Que proposes tu pour ceux qui ne le sont pas, à oui le "ici et maintenant" car tout y est et il n'y a pas besoin de chercher plus loin...
Je crois qu'avec ce type de phrases tu peux déclencher des guerres, mais pour ce qui est de faire atteindre l'éveil à n'importe qui, il faudra que tu revois ta copie....
Pour finir, seule, prétendre que tu pourrais faire passer ton "état" à n'importe qui... Là il faut que tu gagnes en humilité, tu sais il y a et il y a eu des milliers d'éveillés, des vrais, et ils ne sont jamais arrivé à faire cela, à part dans les fantasmes, alors un peu d'humilité...
Adresse toi au 1% en messages privés ça semble plus approprié...Bon d'accord, je vais vous éclairer, je ne m'intéresse qu'au 1% restant. Les 99% je les laisse aux spécialistes, ce n'est pas l'heure des 99%, ce n'est l'heure que des 1% et c'est mon heure.
Non merci : je veux vivre dans le monde et non retiré je ne sais où, à l'abri de tout seul dans mon univers parallèle....Je vous demande de comprendre ceci :
"Je vous ai retiré du monde"
Je me retire du monde le temps de ma séance de yoga et c'est largement suffisant; après retour dans le monde extérieur armé des effets de mon yoga.
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Alors là je veux bien des explications...seule a écrit :Je vous demande de comprendre ceci :
"Je vous ai retiré du monde"
C'est une phrase de l'évangile.
Vous voudriez que je m'exprime à partir de la dualité pour vous arranger, ce n'est pas possible, ou vous saisissez, ou vous passez à côté, ce n'est pas mon problème.
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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(c'est une recopie d'un de mes posts, mais je pense qu'il est important)
Il existe 3 voies dans le tantrisme, plus une 4ème nous dirait Kavi...
La deuxième voie peut-être synthétiser comme cela. On trouve cela dans le texte du Vijnana-Bhairava Tantra, écrit par Abhinavagupta autour de 900 ans de notre aire...
De cela il faut comprendre des choses importantes...
Rico utilise les éléments pour évoluer de degrés en degrés, comme beaucoup de Yogi, et cela EST une TRES GRANDE VOIE qui se nomme la voie de l'individu. Elle à permis à des millions de gens, de Yogi d'atteindre les plus hauts niveaux de conscience. Il n'a donc rien à envier de Seule, ils ne sont simplement pas sur la même voie...
La voie de l'énergie est une belle voie aussi qui a permis aussi à des millions de gens d'atteindre les plus hauts niveaux de conscience.
Alors il existe aussi la voie de Siva, réservé aux plus grands des Yogi, qui ont une ferveur quasiment introuvable à ce jour dans le monde.
Prend le temps de lire le Vijnana-Bhairava Tantra, seule et tu verras que ce que tu écris est connu depuis des siècles, et que contrairement à ce que tu dis, il y a une démarche et une belle évolution encore pour toi et qu'il faudra que tu passes par là...
Merci si tu me réponds de ne pas tout le temps prendre un contre pied et de faire des boucles interminables...
Il existe 3 voies dans le tantrisme, plus une 4ème nous dirait Kavi...
La deuxième voie peut-être synthétiser comme cela. On trouve cela dans le texte du Vijnana-Bhairava Tantra, écrit par Abhinavagupta autour de 900 ans de notre aire...
Vijnana-Bhairava Tantra a écrit :la voie de l'énergie implique une préparation positive : Les stimulants y jouent un rôle défini et permettent aux énergies intensifiées de graviter vers l'unité. L'énergie est donc indispensable à atteindre Siva.
Mais le Grand mystique n'utilise jamais sa propre énergie ni ne s'élève da degré en dgré par l'intermédiaire de paliers ou de catégories (tattva), il se laisse emporter par la seule voie qui maintenant lui convienne, la voie négative de sambhava, en repoussant le dédoublement qui projette toute la phénoménalité (vikalpa). Il ne fait appel qu'a la vacuité sans laquelle ne peut jaillir ni régner l'intuition globale indéterminée (nirvikalpa)
De cela il faut comprendre des choses importantes...
Rico utilise les éléments pour évoluer de degrés en degrés, comme beaucoup de Yogi, et cela EST une TRES GRANDE VOIE qui se nomme la voie de l'individu. Elle à permis à des millions de gens, de Yogi d'atteindre les plus hauts niveaux de conscience. Il n'a donc rien à envier de Seule, ils ne sont simplement pas sur la même voie...
La voie de l'énergie est une belle voie aussi qui a permis aussi à des millions de gens d'atteindre les plus hauts niveaux de conscience.
Alors il existe aussi la voie de Siva, réservé aux plus grands des Yogi, qui ont une ferveur quasiment introuvable à ce jour dans le monde.
Prend le temps de lire le Vijnana-Bhairava Tantra, seule et tu verras que ce que tu écris est connu depuis des siècles, et que contrairement à ce que tu dis, il y a une démarche et une belle évolution encore pour toi et qu'il faudra que tu passes par là...
Merci si tu me réponds de ne pas tout le temps prendre un contre pied et de faire des boucles interminables...
Modifié en dernier par Denis le 06 déc. 2006, 11:16, modifié 1 fois.
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Pour moi, un guide ou un maitre tentera de t'amener à cela, c'est l'unique chemin, mais certes pas de l'enseigner directement, quoi qu'il existe quelques rares exceptions...rico a écrit :Quelque soit la voie choisie il ne viendra jamais à l'idée chez un yogi d'enseigner l'éveil! Pourtant c'est ce que fait Seule.
Maintenant le fait d'en parler ne sert à rien, les guides ou les maîtres utiliseront la ruse, car il faut arriver à ce que l'élève puisse dépasser le mental. Cela n'est pas une chose simple, et dire juste "c'est ici et maintenant" ça ne peut avoir aucun effet, aucune résonance chez personne, hormis pour ceux qui y sont déjà...
Calmer les agitations mentales n'est pas une chose simple...
Ce n'est pas par des mots qu'on y arrive...
Puis arrêter l'idée de notre monde est une action héroïque, étrange, que nous devons faire, nous devons le faire, mais comment le faire est déjà un vaste sujet, puis y arriver à le faire bien plus difficile...
Enfin, laisser l'expérience arriver à son but, la laisser nous dépasser, nous emporter est encore plus terrible... Bien souvent on se raccroche trop vite au tangible, à notre corps, notre respiration et on laisse passer une nouvelle tentative...
Combien en auront nous avant notre fin, aurai-je le temps de passer la porte???
Finalement ce qui compte c'est de faire, car en plus des portes nous en avons tous déjà passé, était-ce la dernière, celle que je viens de passer ???
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Bonjour, bonjour nouveau jour ! Bonjours à vous donc...
Bon, vous êtes en forme je vois, vu toutes ces réations. Je ne critique pas vos réactions, elles me plaisent bien, mais elles ne sont que des réactions pour la majorité.
Ce qui veut dire que les méninges ça bosse sous le crâne. C'est un problème voyez-vous parce que le crâne actuel humain et aussi celui du forum, c'est le passé, la tradition, la répétition.
Il faudrait vider le passé pour que le crâne redevienne neuf, présent à la présence de ce nouveau jour, accueillant, disponible à cette fraicheur nouvelle.
Mais vous vous voulez tout recevoir à partir du crâne vieux, vieux et sans joie innée de la vie Une mais également dans son expression créative et vivante.
D'accord, je suis incompréhensible pour les gens du temps, ceux qui courent en avant, ceux qui progressent, traversent des étapes, transpirent, se concentrent, pratiquent des techniques.
Moi évidemment je vous parle du maintenant tout de suite, qu'elle inconsciente.
Mais "je vous ai retiré du monde" veut dire pour moi, ce qui n'engage que moi..., que vous êtes retirés du temps, et de son devenir. Si toutefois vous le viviez, bien sûr.
Cela veut dire que vous êtes retirés de la prison du temps. C'est sans doute difficile à comprendre pour vous dans le temps et dans l'image, mais c'est réel, c'est la totale liberté de ce que vous êtes originellement ce retrait du monde dont parle jésus.
Mais si vous vous y complaisez dans le temps, dans la poursuite, l'intention, l'attente, le but à atteindre, alors sachez bien que le renoncement du bouddhisme c'est pour vous, car que vous le vouliez ou non, vous devrez passer par la case mort et son renoncement.
Et le renoncement vous épuisera avant d'avoir renoncé !
Mais du fait que le renoncement nécessite le temps et le devenir du "je-moi", cela vous procurera l'illusion de vous libérer progressivement, et ainsi cela perpétue votre existence oppositionnelle et séparative. Et vous êtes heureux avec ça !
Mais ici nous envisageons une mutation de la conscience séparative et oppositionnelle.
Que les petits nouveaux du forum ne se trompent pas, ici nous ne sommes pas là pour nous faire plaisir, par jeu, ni pour nous vanter, nous cherchons réellement à comprendre notre prison, et cette compréhension fera le reste.
Bonjour les nouveaux petits du forum
Ne soyez pas vexés, c'est juste pour rire...
Cette mutation vous comprenez, soit elle passe par le temps, et donc le devenir psychologique dans l'espoir un jour de se trouver, donc de mourir au temps, ce qui est renoncement total, innocence, soit elle passe par le ici et maintenant, et c'est immédiat.
Alors je ne suis pas contre la voie progressive des efforts, de la discipline et tout le reste, mais moi je suis une faignante d'abord, et courir vers demain, j'ai fait cela toute mon existence.
Par contre ce que je n'ai pas encore fait dans cette existence courante et rapide, c'est de m'arrêter, de vivre le présent, sans mémoire, en harmonie avec lui, participant de son infini. Non, cela je ne l'ai pas fait car j'étais prise par la course du temps et du devenir psychologique.
Vouloir devenir éveillé, c'est une autre façon pour l'ego d'utiliser sa tenue de camouflage...
Bon alors, vous vous décidez à vivre sans tête ou vous voulez continuellement poursuivre mentalement l'inexplicable ? Parce que c'est ça la vraie question !
La vraie question c'est que nous ne nous décidons pas à "conscientiser" notre mental insatiable, jamais satisfait, nous voudrions parvenir au silence en jacassant...
Est-ce que dans le bruit du mental, il est possible de vivre de la dimension silencieuse ?
Bon, vous êtes en forme je vois, vu toutes ces réations. Je ne critique pas vos réactions, elles me plaisent bien, mais elles ne sont que des réactions pour la majorité.
Ce qui veut dire que les méninges ça bosse sous le crâne. C'est un problème voyez-vous parce que le crâne actuel humain et aussi celui du forum, c'est le passé, la tradition, la répétition.
Il faudrait vider le passé pour que le crâne redevienne neuf, présent à la présence de ce nouveau jour, accueillant, disponible à cette fraicheur nouvelle.
Mais vous vous voulez tout recevoir à partir du crâne vieux, vieux et sans joie innée de la vie Une mais également dans son expression créative et vivante.
D'accord, je suis incompréhensible pour les gens du temps, ceux qui courent en avant, ceux qui progressent, traversent des étapes, transpirent, se concentrent, pratiquent des techniques.
Moi évidemment je vous parle du maintenant tout de suite, qu'elle inconsciente.
Mais "je vous ai retiré du monde" veut dire pour moi, ce qui n'engage que moi..., que vous êtes retirés du temps, et de son devenir. Si toutefois vous le viviez, bien sûr.
Cela veut dire que vous êtes retirés de la prison du temps. C'est sans doute difficile à comprendre pour vous dans le temps et dans l'image, mais c'est réel, c'est la totale liberté de ce que vous êtes originellement ce retrait du monde dont parle jésus.
Mais si vous vous y complaisez dans le temps, dans la poursuite, l'intention, l'attente, le but à atteindre, alors sachez bien que le renoncement du bouddhisme c'est pour vous, car que vous le vouliez ou non, vous devrez passer par la case mort et son renoncement.
Et le renoncement vous épuisera avant d'avoir renoncé !
Mais du fait que le renoncement nécessite le temps et le devenir du "je-moi", cela vous procurera l'illusion de vous libérer progressivement, et ainsi cela perpétue votre existence oppositionnelle et séparative. Et vous êtes heureux avec ça !
Mais ici nous envisageons une mutation de la conscience séparative et oppositionnelle.
Que les petits nouveaux du forum ne se trompent pas, ici nous ne sommes pas là pour nous faire plaisir, par jeu, ni pour nous vanter, nous cherchons réellement à comprendre notre prison, et cette compréhension fera le reste.
Bonjour les nouveaux petits du forum
Ne soyez pas vexés, c'est juste pour rire...
Cette mutation vous comprenez, soit elle passe par le temps, et donc le devenir psychologique dans l'espoir un jour de se trouver, donc de mourir au temps, ce qui est renoncement total, innocence, soit elle passe par le ici et maintenant, et c'est immédiat.
Alors je ne suis pas contre la voie progressive des efforts, de la discipline et tout le reste, mais moi je suis une faignante d'abord, et courir vers demain, j'ai fait cela toute mon existence.
Par contre ce que je n'ai pas encore fait dans cette existence courante et rapide, c'est de m'arrêter, de vivre le présent, sans mémoire, en harmonie avec lui, participant de son infini. Non, cela je ne l'ai pas fait car j'étais prise par la course du temps et du devenir psychologique.
Vouloir devenir éveillé, c'est une autre façon pour l'ego d'utiliser sa tenue de camouflage...
Bon alors, vous vous décidez à vivre sans tête ou vous voulez continuellement poursuivre mentalement l'inexplicable ? Parce que c'est ça la vraie question !
La vraie question c'est que nous ne nous décidons pas à "conscientiser" notre mental insatiable, jamais satisfait, nous voudrions parvenir au silence en jacassant...
Est-ce que dans le bruit du mental, il est possible de vivre de la dimension silencieuse ?
Oui, je ne savais pas que vous n'étiez pas familiarisé avec la symbilique chrétienne.rico a écrit : Non merci : je veux vivre dans le monde et non retiré je ne sais où, à l'abri de tout seul dans mon univers parallèle....
Je me retire du monde le temps de ma séance de yoga et c'est largement suffisant; après retour dans le monde extérieur armé des effets de mon yoga.
Je vous ai retiré du monde veut seulement dire que vous êtes retirés du monde de l'illusion, de la fragmentation, de l'oppositionnel, et donc de la souffrance, de la guerre et de la destruction sauvage de l'homme prisonnier de maya.
Vous avez raison de vouloir y rester, mais vous n'avez aucun choix, si vous aviez le choix, par lucidité, discernement ou vision pénétrante, vous n'y seriez plus.
Ou alors si : sur un divan de psychanalyste!Calmer les agitations mentales n'est pas une chose simple...
Ce n'est pas par des mots qu'on y arrive...
Point capital : on peut croire qu'on a passé la dernière porte alors que ce n'est qu'une étape; il faut bien se dire que si c'était la dernière porte nous ne serions pas de ce monde (ici je fait une allusion à la réincarnation tant qu'on à pas épuisé son karma). Quand je posais la question des limitations de Seule, c'est aussi là que je voulais en venir. A savoir, et je m'adresse à Seule : ton discours ressemble à celui de quelqu'un qui vient d'ouvrir la dernière porte! Non Seule tu n'as fait que franchir une étape; mais au lieu de concentrer tes efforts afin de franchir la suivante, tu sembles te reposer sur tes lauriers en ne mettant l'accent que sur la dernière que tu estimes avoir franchie. La perfection n'est pas de ce monde mais nous devons courir après et s'en approcher toujours de plus en plus; le but de l'homme ne peut être autre. Alors je me dis que tu dilapides tes énergies à vouloir mettre l'accent sur une étape qui n'en est qu'une parmi plein d'autres. Et je voudrais souligner le point suivant : il n'y pas de meilleure étape qu'une autre : chaque étape est importante pour celui qui vient de la franchir ou qui se dirige vers elle. Encore une fois Seule apprend l'humilité (ta prochaine étape?) et apprend l'empathie : ce qui est bon pour toi ne l'est pas forcément pour d'autres soit parce que leur voie est différente de la tienne soit parce qu'ils ne sont pas encore prêt à t'écouter.Finalement ce qui compte c'est de faire, car en plus des portes nous en avons tous déjà passé, était-ce la dernière, celle que je viens de passer ???
Redescends de ton échelle Seule tu es de moins en moins visible; tes semblables marchent sur terre tandis que toi tu voles au dessus d'eux Seule, isolée, à côté.
Modifié en dernier par rico le 06 déc. 2006, 12:55, modifié 1 fois.
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Tu devrais prendre exemple sur toi-même...Seule a écrit : Est-ce que... il est possible de vivre de la dimension silencieuse ?
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:21, modifié 1 fois.
Pour toi il y a plusieurs portes ?rico a écrit :Ou alors si : sur un divan de psychanalyste!Calmer les agitations mentales n'est pas une chose simple...
Ce n'est pas par des mots qu'on y arrive...
Point capital : on peut croire qu'on a passé la dernière porte alors que ce n'est qu'une étape; il faut bien se dire que si c'était la dernière porte nous ne serions pas de ce monde (ici je fait une allusion à la réincarnation tant qu'on à pas épuisé son karma). Quand je posais la question des limitations de Seule, c'est aussi là que je voulais en venir. A savoir, et je m'adresse à Seule : ton discours ressemble à celui de quelqu'un qui vient d'ouvrir la dernière porte! Non Seule tu n'as fait que franchir une étape; mais au lieu de concentrer tes efforts afin de franchir la suivante, tu sembles te reposer sur tes lauriers en ne mettant l'accent que sur la dernière que tu estimes avoir franchie. La perfection n'est pas de ce monde mais nous devons courir après et s'en approcher toujours de plus en plus; le but de l'homme ne peut être autre. Alors je me dis que tu dilapides tes énergies à vouloir mettre l'accent sur une étape qui n'en est qu'une parmi plein d'autres. Et je voudrais souligner le point suivant : il n'y pas de meilleure étape qu'une autre : chaque étape est importante pour celui qui vient de la franchir ou qui se dirige vers elle. Encore une fois Seule apprend l'humilité (ta prochaine étape?) et apprend l'empathie : ce qui est bon pour toi ne l'est pas forcément pour d'autres soit parce que leur voie est différente de la tienne soit parce qu'ils ne sont pas encore prêt à t'écouter.Finalement ce qui compte c'est de faire, car en plus des portes nous en avons tous déjà passé, était-ce la dernière, celle que je viens de passer ???
Redescends de ton échelle Seule tu es de moins en moins visible; tes semblables marchent sur terre tandis que toi tu voles au dessus d'eux Seule, isolée, à côté.
Portes où étapes, d'accord, et bien bon courage à toi, Rico !
L'humilité Rico ? Tu as raison Rico.
Plusieurs voies ? Je crainds bien que la voie soit une illusion de plus pour l'ego, mais vous aimez vous situez sur la voie, cela vous donne bonne conscience, cela donne bonne conscience à l'ego et surtout durant ce temps, il se perpétue.
La voie c'est mourir ici et maintenant à tout le champ de votre connu, ce qui veut dire à votre moi, et alors la vie EST.
Coucoua écrit :Tu devrais prendre exemple sur toi-même...Seule a écrit : Est-ce que... il est possible de vivre de la dimension silencieuse ?
Bon , lorsque tu auras rencontré le silence, et non ta projection sur le silence, je te montrerai comment il est possible de parler tout en étant silencieux.
Pour l'heure, tu es identifié au mental, mais une fois libre de cette identification, le mental retourne à sa juste place, et son arrière fond restera le silence, ce silence en lequel s'exprime la création entière...
Donc pour l'éveillée que je suis , le bruit ne trouble plus mon silence éternel...
Mais pour ce faire, faut être une grande éveillée, et je le suis
Tu crois avoir atteint la perfection et c'est là ton problème; mais tu as raison : comment peut on rêver meilleur quand on ne sait pas à quoi ressemble ce "meilleur"!Pour toi il y a plusieurs portes ?
Portes où étapes, d'accord, et bien bon courage à toi, Rico !
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Donc, au delà du fait de croire ou non si Seule est effectivement en état de samadhi, la question est de savoir quel type de samadhi elle décrit et si effectivement comme je l'affirme d'autres étapes l'attendent car elle n'est pas "jivanmukta".Il y a plusieurs états de samadhi avant d'atteindre le Nirvikalka samadhi. Ensuite, on devient un jivanmukta, un libéré-vivant, et l'évolution continueras sur d'autres plans après cette incarnation.
D'ailleurs est ce le samadhi qu'elle décrit? Ou encore : est elle à même de vivre ce qu'elle décrit 24H/24 dans n'importe qu'elle circonstance? Je ne lui pose pas la question à elle car j'aurai encore une réponse du type.... du type de ses réponses!
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Bon alors, puisque vous êtes chauds les yoginis mimis , je vais vous parler en langage de grande initiée, on va voir si vous êtes oui ou non des vrais yoginis en train de cheminer dans l'illusion du temps, non mais !
Bien sûr ce langage va prendre des allures d'extraterrestres pour certains, mais c'est justement une conversation entre extraterrestres, entre êtres non limités aux contingences humaines. Certains yogis parviennent à entendre ce langage, mais seulement certains.
Parce que oui, c'est l'histoire de notre ouverture ou notre fermeture, à la beauté, à la vie, l'amour.
Sommes-nous localisés en Denis, Rico, , et Seule, en train de nous prendre très au sérieux sur le forum, en train de paraître, en jouant aux adultes, aux adultes techniciens de yoga, ou bien nous ne sommes pas localisés, et le rayon de soleil à travers la fenêtre peut venir nous caresser le coin de l'œil. C'est une telle lumière de vie, vous pouvez en sentir la douceur sur votre peau, vous pouvez vous en laissez pénétrer, vous pouvez suivre le flux de ce rayon lumineux, jusqu'à vous anéantir dans sa lumière aveuglante, aveuglante de mystère.
Le rayon est en train de disparaître, il laisse place à une blancheur crémeuse encore étincelante à cette heure avancée de la journée et en cette saison.
Alors que j'écris ces lignes, un espace de vie subtile, de vie invisible, me remplie et déborde de mon organisme partout alentour.
Je peux très bien ne pas être sensible à l'espace partout présent, aussi bien en nous qu'autour de nous. Il suffit que mon cerveau se réanime de certaines pensées le reliant au corps et à son apparence pour qu'à nouveau je me retrouve identifiée et prisonnière de cette forme. Mon espace est de nouveau réduit à cette forme occupée depuis ma naissance et même avant, et qui n'a fait qu'évoluer jusqu'à ma forme actuelle.
Cette forme comprend un cerveau extrêmement perfectionné, capable de calculs inimaginables en vitesse mais aussi en nombre.
Ce cerveau est doué d'une mémoire très performante, d'une accumulation de données considérable. Mais il est doué aussi d'une mémoire très profonde et très ancienne, de notre époque reptilienne par exemple.
Nous avons privilégiés une partie seulement du cerveau et le drame humain, c'est de s'être identifié à cette partie seulement du cerveau mental. Se s'être réduits à cette partie.
Cela signifie que nous sommes devenus ces petits personnages étriqués de nos identifications mentales. Et nous revendiquons depuis notre mesquinerie le mystère de Dieu, le mystère de la liberté, et de la beauté.
Mais nous avons beau nous discipliner, pratiquer, prier, poursuivre, tendre vers, nous agitants tant et plus, le mystère que nous revendiquons reste impénétrable. Et il reste impénétrable parce que le mystère lui-même possède en son essence la qualité hermétique de sa non forme.
Il est impossible d'atteindre le mystère vivant à cause de sa carapace impénétrable, mais il n'est pas impossible de transpercer la carapace instantanément, c'est la seule façon de vivre le mystère directement.
Et puisque nous sommes identifiés à la partie du cerveau mental, du cerveau qui sait, nous devons nécessairement mourir à cette partie du cerveau, ce qui veut dire la rendre silencieuse.
Nous devons mourir à nos identifications, qui définissent notre personne. Cette mort contient en elle un renouveau, mais pour en faire l'expérience nous devons mourir.
Cette expérience est celle de la non expérience, cette expérience de la mort, qui est renouvellement, ne laisse aucune trace dans la mémoire, elle ne fait pas parie du champ du savoir, je parle ici de l'expérience d'un ordre parfait que le mental ne pourra jamais atteindre.
Bien sûr ce langage va prendre des allures d'extraterrestres pour certains, mais c'est justement une conversation entre extraterrestres, entre êtres non limités aux contingences humaines. Certains yogis parviennent à entendre ce langage, mais seulement certains.
Parce que oui, c'est l'histoire de notre ouverture ou notre fermeture, à la beauté, à la vie, l'amour.
Sommes-nous localisés en Denis, Rico, , et Seule, en train de nous prendre très au sérieux sur le forum, en train de paraître, en jouant aux adultes, aux adultes techniciens de yoga, ou bien nous ne sommes pas localisés, et le rayon de soleil à travers la fenêtre peut venir nous caresser le coin de l'œil. C'est une telle lumière de vie, vous pouvez en sentir la douceur sur votre peau, vous pouvez vous en laissez pénétrer, vous pouvez suivre le flux de ce rayon lumineux, jusqu'à vous anéantir dans sa lumière aveuglante, aveuglante de mystère.
Le rayon est en train de disparaître, il laisse place à une blancheur crémeuse encore étincelante à cette heure avancée de la journée et en cette saison.
Alors que j'écris ces lignes, un espace de vie subtile, de vie invisible, me remplie et déborde de mon organisme partout alentour.
Je peux très bien ne pas être sensible à l'espace partout présent, aussi bien en nous qu'autour de nous. Il suffit que mon cerveau se réanime de certaines pensées le reliant au corps et à son apparence pour qu'à nouveau je me retrouve identifiée et prisonnière de cette forme. Mon espace est de nouveau réduit à cette forme occupée depuis ma naissance et même avant, et qui n'a fait qu'évoluer jusqu'à ma forme actuelle.
Cette forme comprend un cerveau extrêmement perfectionné, capable de calculs inimaginables en vitesse mais aussi en nombre.
Ce cerveau est doué d'une mémoire très performante, d'une accumulation de données considérable. Mais il est doué aussi d'une mémoire très profonde et très ancienne, de notre époque reptilienne par exemple.
Nous avons privilégiés une partie seulement du cerveau et le drame humain, c'est de s'être identifié à cette partie seulement du cerveau mental. Se s'être réduits à cette partie.
Cela signifie que nous sommes devenus ces petits personnages étriqués de nos identifications mentales. Et nous revendiquons depuis notre mesquinerie le mystère de Dieu, le mystère de la liberté, et de la beauté.
Mais nous avons beau nous discipliner, pratiquer, prier, poursuivre, tendre vers, nous agitants tant et plus, le mystère que nous revendiquons reste impénétrable. Et il reste impénétrable parce que le mystère lui-même possède en son essence la qualité hermétique de sa non forme.
Il est impossible d'atteindre le mystère vivant à cause de sa carapace impénétrable, mais il n'est pas impossible de transpercer la carapace instantanément, c'est la seule façon de vivre le mystère directement.
Et puisque nous sommes identifiés à la partie du cerveau mental, du cerveau qui sait, nous devons nécessairement mourir à cette partie du cerveau, ce qui veut dire la rendre silencieuse.
Nous devons mourir à nos identifications, qui définissent notre personne. Cette mort contient en elle un renouveau, mais pour en faire l'expérience nous devons mourir.
Cette expérience est celle de la non expérience, cette expérience de la mort, qui est renouvellement, ne laisse aucune trace dans la mémoire, elle ne fait pas parie du champ du savoir, je parle ici de l'expérience d'un ordre parfait que le mental ne pourra jamais atteindre.
Si tu veux savoir t'as qu'à goûter toi-même !rico a écrit :Donc, au delà du fait de croire ou non si Seule est effectivement en état de samadhi, la question est de savoir quel type de samadhi elle décrit et si effectivement comme je l'affirme d'autres étapes l'attendent car elle n'est pas "jivanmukta".Il y a plusieurs états de samadhi avant d'atteindre le Nirvikalka samadhi. Ensuite, on devient un jivanmukta, un libéré-vivant, et l'évolution continueras sur d'autres plans après cette incarnation.
D'ailleurs est ce le samadhi qu'elle décrit? Ou encore : est elle à même de vivre ce qu'elle décrit 24H/24 dans n'importe qu'elle circonstance? Je ne lui pose pas la question à elle car j'aurai encore une réponse du type.... du type de ses réponses!
C'est comme cela que vous le percevez vous-même ?rico a écrit :Je voulais juste dire qu'il y a plusieurs états dans le samadhi et que nulle part il n'est écrit qu'à un moment donner on peut se reposer sur ses lauriers...
C'est intéressant, mais pour ma part, vous êtes en train de défendre l'idée que le checheur ne trouve pas.
C'est triste dans le temps un chercheur qui ne trouve pas, vous savez, je vous souhaites de trouver !
Et si toutefois vous trouvez, vous verrez bien si vous allez continuer à chercher...
Et si vous trouvez, venez me raconter l'illusion du chercheur et du cherché, nous rigolerons sûrement...
Se reposer sur ces Lauriers pourrait bien symboliser celui qui ne cherche plus, l'état d'un esprit qui ne cherche plus.
Mais si vous croyez que l'état d'un esprit qui ne cherche plus est un état de mort, alors vous avez perdu !
C'est un état d'un dynamisme que je vous souhaite, un état de vie que votre petit personnage mesquin n'oserait imaginer.
Il faut le vivre !
Hou, houhou , tu manipules des symboles qui te dépassent tu sais...a écrit :Il aurait eu fallu que Sri Aurobindo eu connu le Nirvikalpa samadhi avant de parler "d'états supérieurs" ce qui ne fut pas le cas. Ensuite inutile de spéculer sur des états supérieurs au Nirvikalpa Samadhi car ce stade est le prérequis pour rompre l'incarnation dans la matière. C'est l'objectif ultime des incarnations. Au-delà de cette réalisation, nous verrons bien...rico a écrit :Je crois d'ailleurs que c'est Sri Aurobindo qui précise que le samadhi n'est pas le stade ultime et qu'il y a autres choses après le samadhi, c'est à dire des stades d'éveil encore supérieurs.
Seule, désolé, je ne rentrerais pas dans ton jeu, relis bien mes posts en général, tu auras des réponses sur toi-même...
k.
Si tu veux savoir le cinéma de la réincarnation et moi, c'est términé
Ben oui, je suis au top, j'ai gravis tous les échelons...
Dites-moi les gars du forum là, c'est'y que vous me preniez pour une débutante ?
Pas du tout, j'ai remporté tous les prix et tous les diplômes, alors du respect !
En relisant tes posts j'aurais des réponses sur moi ? Et c'est moi la martienne là ?
Bisous mon , doit-être bien mignon ce garçon, le prénom m'inspire assez, c'est un prénom qui respire l'Inde non, les épices, la mer, le sunami ?...
Je n'ai rien atteind du tout ce sont des symboles tout ça, il n'y a rien à atteindre, à gravir, il n'y a pas à avancer, à coups d'efforts non plus ou de yoga ou de méditation.rico a écrit :Tu crois avoir atteint la perfection et c'est là ton problème; mais tu as raison : comment peut on rêver meilleur quand on ne sait pas à quoi ressemble ce "meilleur"!Pour toi il y a plusieurs portes ?
Portes où étapes, d'accord, et bien bon courage à toi, Rico !
Le véritable méditation comme le véritable yoga vous libère de cette idée de progression dans le temps.
Vivez la non progression, et vous verrez l'illusion du progrés et de celui identifié à une telle idée.
Vivre la non progression, ce n'est pas se localiser dans un centre, car ce centre est issu de l'idée du progrés. Vivre la non progression, c'est sans localisation aucune, sans aucune identification. Ici et maintenant est plein, l'espace vacant de la conscience et plein, plein de tout le vivant Un, que rest -til à atteindre ?
Perso, je n'ai pas de problèmes à comprendre Seule, ça me rappelle beaucoup Jiddhu Krishnamurti dont j'ai lu plusieurs livres. Il faut savoir que Krishnamurti s'adressait souvent à des occidentaux avec toutes leurs ambitions spirituelles yoguiques et leurs idées pré-concues de la spiritualité, et en démontant le concept de gourou, pratique et autres, il le faisait pour aider à déconditionner l'esprit des personnes dans le public aussi, c'est pourquoi il demandait une attention aiguisée et pas simplement une écoute passive. C'est un enseignement très subtile, mais accessible à beaucoup.
Il faut savoir qu'il faisait quand même ses deux heures de yoga par jour et qu'il parait qu'il parlait aussi différemment en privé.
Philippe
Il faut savoir qu'il faisait quand même ses deux heures de yoga par jour et qu'il parait qu'il parlait aussi différemment en privé.
Philippe
L'inverse du discours de Seule.C'est un enseignement très subtile, mais accessible à beaucoup.
Seule ne pratique pas le yoga.Il faut savoir qu'il faisait quand même ses deux heures de yoga par jour
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
C'est pourquoi je le dis, il y en a qui prennent Krishnamurti à la lettre et disent que faire du yoga c'est de planter, car la concentration c'est se couper, qu'il n'y a pas besoin de pratique, mais c'est une mécompréhension de son enseignement.
Quand je disais que ça me rappelle, je précise que je ne pense pas que ce soit la même chose mais il y a beaucoup de similitudes dans la forme et le fond.
Philippe
Quand je disais que ça me rappelle, je précise que je ne pense pas que ce soit la même chose mais il y a beaucoup de similitudes dans la forme et le fond.
Philippe
Bien voila des bons posts...
Même qui est venu dans la danse...
Alors en lisant j'ai tenté de sortir les idées, puis j'ai copié/collé dans word et voila ce que j'ai retenu...
C'est lassant, car, contrairement à ce que dis , je ne louvoie pas sur ce que dis seule. Je pense sincèrement que ce qu'elle dit, elle le vit !
Mais la forme de ses posts est assez pénible.
Seule, il te manque un peu de subtilité, tu ne peux pas continuer à jouer juste sur des contre pieds et redire les mêmes choses...
Ici et maintenant...
Mort de soi pour renaissance de l'être...
Attention et conscience...
illusion du chemin, de l'idée d'évolution par degré...
Moi je te conseille une dernière chose, car je ne souhaite plus tourner en rond avec toi , faire des ronds avec ma moto et toi en quad, c'est quand tu veux, mais avec le petit mental....
Voila la chose, laisse passer un peu de temps, tente d'entrer dans les discussions des autres (ce que tu ne fais presque jamais...), apporte un petit argument précis, avec quelques mots (!!!!!!) et ainsi permet aux autres de s'éxprimer et de venir vers toi et de te redécouvrir, car là tu asphixie tout le monde....
Il ne sert à rien de rabacher, tout cela devient lourd...
Même qui est venu dans la danse...
Alors en lisant j'ai tenté de sortir les idées, puis j'ai copié/collé dans word et voila ce que j'ai retenu...
Ce que je trouve dommage c'est que seule n'a qu'une seule manière de fonctionner, celle de prendre toujours les choses en inverse, à contre pied...Seule
Bon alors, vous vous décidez à vivre sans tête ou vous voulez continuellement poursuivre mentalement l'inexplicable ? Parce que c'est ça la vraie question !
Rico
Encore une fois Seule apprend l'humilité (ta prochaine étape?) et apprend l'empathie : ce qui est bon pour toi ne l'est pas forcément pour d'autres soit parce que leur voie est différente de la tienne soit parce qu'ils ne sont pas encore prêt à t'écouter.
Seule
Plusieurs voies ? Je crainds bien que la voie soit une illusion de plus pour l'ego, mais vous aimez vous situez sur la voie, cela vous donne bonne conscience, cela donne bonne conscience à l'ego et surtout durant ce temps, il se perpétue. La voie c'est mourir ici et maintenant à tout le champ de votre connu, ce qui veut dire à votre moi, et alors la vie EST.
Et puisque nous sommes identifiés à la partie du cerveau mental, du cerveau qui sait, nous devons nécessairement mourir à cette partie du cerveau, ce qui veut dire la rendre silencieuse.
C'est lassant, car, contrairement à ce que dis , je ne louvoie pas sur ce que dis seule. Je pense sincèrement que ce qu'elle dit, elle le vit !
Mais la forme de ses posts est assez pénible.
Seule, il te manque un peu de subtilité, tu ne peux pas continuer à jouer juste sur des contre pieds et redire les mêmes choses...
Ici et maintenant...
Mort de soi pour renaissance de l'être...
Attention et conscience...
illusion du chemin, de l'idée d'évolution par degré...
Moi je te conseille une dernière chose, car je ne souhaite plus tourner en rond avec toi , faire des ronds avec ma moto et toi en quad, c'est quand tu veux, mais avec le petit mental....
Voila la chose, laisse passer un peu de temps, tente d'entrer dans les discussions des autres (ce que tu ne fais presque jamais...), apporte un petit argument précis, avec quelques mots (!!!!!!) et ainsi permet aux autres de s'éxprimer et de venir vers toi et de te redécouvrir, car là tu asphixie tout le monde....
Il ne sert à rien de rabacher, tout cela devient lourd...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
Cours de Yoga en live et étude de textes en live avec zoom
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Krshnamurti
Il le faisait d'autant que la Société de Théosophie avait mis le grapin sur lui et avait eu l'idée d'en faire un guru avec un G majuscule, un nouvel avatar. Lui et son frère sont soumis à un formatage en bonne forme afin d 'être à la hauteur des espérances des mentors Leadbeater et Besant. Si l'oppression pèse sur le jeune Krshnamurti, le verrou ne cède que lorsque son jeune frère meurt de la tuberculose en dépit des assurances magico-mystiques que lui avaient données ses "maîtres". A partir de là, le cadre se fissure et il s'émancipe du rôle qu'on entendait lui faite tenir.Philippe* a écrit :Il faut savoir que Krishnamurti s'adressait souvent à des occidentaux avec toutes leurs ambitions spirituelles yoguiques et leurs idées pré-concues de la spiritualité, et en démontant le concept de gourou, pratique et autres, il le faisait pour aider à déconditionner l'esprit des personnes dans le public aussi
On ne peut s'étonner après cela qu'il ait combattu l'idée du guru et de la transmission traditionnelle.
Comme tout un chacun, Krishnamurti était le fruit d'une histoire familiale, et il n'est pas inutile de la garder en mémoire tout en appréciant ses écrits.
Tu as raison Kavi, l'histoire de Krishnamurti explique beaucoup son discours ultérieur. Ce qui est intéressant, est de voir comment il cherche à enseigner tout en ne voulant pas endosser le rôle de guru. De plus, il met en lumière les chaines qui peuvent exister entre un disciple et son maitre. Au lieu de mettre l'accent sur une relation saine entre enseignant-enseigné, il préfère casser le cadre et ne pas faire de concession. Par moment,, même si j'apprécie beaucoup son discours, je trouve que ça tourne à l'obsession.
Cela dit, Krishnamurti était un pratiquant de yoga, mais s'il ne l'admettait pas aisément.
Pour ce qui est de Seule, je crois qu'elle nous enseigne quelque chose de très important : le lâcher-prise.
Cela dit, Krishnamurti était un pratiquant de yoga, mais s'il ne l'admettait pas aisément.
Pour ce qui est de Seule, je crois qu'elle nous enseigne quelque chose de très important : le lâcher-prise.
Il y a deux types de gurus : celui qui va vers l'éléve avec les dérives sectaires que cela peut comporter; et celui qui laisse l'élève venir à lui voire même qui demande à l'élève de prouver sa motivation.
Pour ce qui est de Seule, je crois qu'elle nous enseigne quelque chose de très important : le 2è type de guru à beaucoup d'avantages....
Pour ce qui est de Seule, je crois qu'elle nous enseigne quelque chose de très important : le 2è type de guru à beaucoup d'avantages....
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Re: Krshnamurti
Mais l'ennui, c'est que ces messiers ne connaissent rien, mais absolument rien de la trame dans laquelle l'humanité est inscrite. Ils ne font que trahir leur propre imperfection à la mesure de leur ignorance abyssale
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:22, modifié 1 fois.
Denis a écrit : car là tu asphixie tout le monde....
Et bien messieurs, je ne viendrai plus vous asphyxier et l'on se rend compte déjà à lire la suite de vos interventions, combien vos propos à vous sont compréhensibles à la compréhension intellectuelle qui est votre terrain de bataille et d'argumentation insatiable. Votre seul terrain de bataille...
Quant-au terrain originel, n'est-ce pas, vos techniques et pratiques diverses doivent nous y mener dans le futur... Comme en religion, nous garderons espoir, cet opium du peuple...
Bon courage messieurs, bonne route ou bonne voie
On ne cueille pas un fruit avant qu'il ne soit mûr...
Re: Krshnamurti
Très bien vu , j'en suis surprise, agréablement.a écrit : Mais l'ennui, c'est que ces messiers ne connaissent rien, mais absolument rien de la trame dans laquelle l'humanité est inscrite. Ils ne font que trahir leur propre imperfection à la mesure de leur ignorance abyssale
Parlons en de la trame dans laquelle l'humanité ne s'inscrit pas et non pas de la trame en laquelle cette humanité serait inscrite depuis un lointain programme.
Car c'est une ffaire de présent et non de futur ou de passé. La création est une action toujours au présent, en train d'avoir lieu et non qui a eu lieu ou qui aura lieu.
Or le présent, nous y sommes ou n'y sommes pas, j'insiste dans ma lourdeur et mon asphyxie !
Cette trame en question est ma trame, j'y suis ou n'y suis pas !!!
Elle ne semble pas vraiment être la trame du forum sur lequel nous n'assistons qu'à des seules histoires d'ego, des histoires du personnel et non de l'histoire impersonnelle et holistqiue du vivant.
C'était juste mon constat avant de vider vos lieux de propriétaires endurcis et toujours en train de se défendre dont ne sait quoi...
Chaleureusement à vous.
Fort heureusement la religion n'a pas que des mauvais côtés et n'est pas qu'une simple substance hallucinogène...Comme en religion, nous garderons espoir, cet opium du peuple...
"Simplification" quand tu nous tiens....
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Non non pas la peine.Or le présent, nous y sommes ou n'y sommes pas, j'insiste dans ma lourdeur et mon asphyxie !
Personne ne te demande de disparaitre.C'était juste mon constat avant de vider vos lieux
Ah bon?????? Ou plutôt : ah bon????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????toujours en train de se défendre dont ne sait quoi...
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
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"Le mental est l'ennemi de la vérité,car sa fonction est dualiste.Il compare sans cesse les données qu'il acquiert,établit ses propres coceptions et réagit en conséquences.On peut dire que le mental est le thyphon et que le Soi en est l'oeil immuable.La vérité,elle,se trouve toujours à l'arrière-plan de la conscience intellectuelle.Elle n'est pas soumise à la logique,elle rit de nos conversations,de nos théories,de nos jugements,elle n'a rien à justifier,rien à démontrer,elle est de toute éternité dans l'être,glorieuse et insoumise aux lois relatives de la matière.Les mots sont de bien faibles moyens pour te faire sentir l'inexprimable." Maître Takéuchi.
Seule,c'est vrai ,on ne parlera plus tricot? et bien laissons place nette aux" mâles"......
Seule,c'est vrai ,on ne parlera plus tricot? et bien laissons place nette aux" mâles"......
tricot
je prefere finalement parler tricot avec vous mesdames bonsoir messieur!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: Krshnamurti
Exact, je crois que c'est suite à la mort de son frère et aussi un éveil de Kundalini que les choses ont radicalement changé.kavi a écrit :Il le faisait d'autant que la Société de Théosophie avait mis le grapin sur lui et avait eu l'idée d'en faire un guru avec un G majuscule, un nouvel avatar. Lui et son frère sont soumis à un formatage en bonne forme afin d 'être à la hauteur des espérances des mentors Leadbeater et Besant. Si l'oppression pèse sur le jeune Krshnamurti, le verrou ne cède que lorsque son jeune frère meurt de la tuberculose en dépit des assurances magico-mystiques que lui avaient données ses "maîtres". A partir de là, le cadre se fissure et il s'émancipe du rôle qu'on entendait lui faite tenir.Philippe* a écrit :Il faut savoir que Krishnamurti s'adressait souvent à des occidentaux avec toutes leurs ambitions spirituelles yoguiques et leurs idées pré-concues de la spiritualité, et en démontant le concept de gourou, pratique et autres, il le faisait pour aider à déconditionner l'esprit des personnes dans le public aussi
On ne peut s'étonner après cela qu'il ait combattu l'idée du guru et de la transmission traditionnelle.
Comme tout un chacun, Krishnamurti était le fruit d'une histoire familiale, et il n'est pas inutile de la garder en mémoire tout en appréciant ses écrits.
Voici deux enregistrements audio de Krishnamurti parlant en français:
http://www.dailymotion.com/tag/Jiddu/vi ... -entretien
http://www.dailymotion.com/tag/Jiddu/vi ... -entretien
Sinon quant à ceux qui pensent qu'il faut effectivement ne rien faire, je ne suis pas intéressé par les débats, que faire si ce n'est laisser la vie faire son oeuvre.
Philippe
Re: Krshnamurti
Je n'en connais effectivement rien et si tu veux tout savoir, je m'asseois sur ce genre de spéculations digne des élucubrations d'Edouard Schuré & co. Bien entendu, cela n'engage que mon opinion et il va de soi que je respecte la tienne etc.a écrit :Qu'est-ce que Kavi connaît des Plans du Logos Solaire ?? Tu es dans les coulisses de la Fraternité Occulte de la Terre pour pouvoir affirmer ce que tu affirmes ??
Les théosophes, rosicruciens et autres adeptes des Fraternités plus ou moins blanche, j'en ai croisés, tâtés, et après réflexion, s'il s'en trouvent parfois d'apparence sensée, ce n'est pour moi que motif supplémentaire à stupéfaction. Les délires guénoniens de shambala, les constructions fascisantes d'un Saint-Yves d'Alveydre sont pour moi autant d'enfantillages qui pour le coup, sont autant de "bonnes raisons" pour repousser le moment de saisir le Réel, quant il ne s'agit pas d'opérations montées afin de satisfaire des besoins égotiques ou des visées manipulatrices.
Ah bon, alors en fin de compte, il ne s'agit que de croyances ? Merci de me le confirmer,Le dénigrement systématique est souvent de mise quand on rapporte l'histoire que cite Kavi. Un criticisme typiquement français, cela permet de "se placer" dans la bonne société type "Terre du Ciel" ou il est de bon ton de mépriser certaines croyances autour d'une tasse de thé. Mais l'ennui, c'est que ces messiers ne connaissent rien, mais absolument rien de la trame dans laquelle l'humanité est inscrite. Ils ne font que trahir leur propre imperfection à la mesure de leur ignorance abyssale
Pour ce qui est de mon imperfection, je la revendique haut et fort et en ce qui concerne la "trame dans laquelle l'humanité est inscrite", j'avoue préférer consulter historiens et anthropologues qu'ésotéristes en proie au "délire interprétatif" que fustigeait naguère U. Eco.
Enfin, de l'avis même de sâdhakas ayant suivi leur apprentissage selon la méthode traditionnelle, des textes comme la "Doctrine secrète" de Blavatsky ne sont que mutilations de l'authentique tradition, constructions fantasmatiques qu'ils faut regarder au titre de curiosités historiques.
Kavi
Encore une fois Seule tu nous joue la pucelle effarouchée...
Tu ne retiens qu'une phrase de ce que j'ai écrit et pas un instant le reste.
Tu sorts de son contexte ma phrase pour la rendre focale...
C'est comme tu veux, je ne viendrais pas te rechercher une fois de plus.
Je redis ce que j'ai écris :
Ce que tu écris est une belle chose, que tu vis, mais les moyens que tu emplois pour transmettre ton chemin n'est pas le bon chemin, le nombre de posts, très longs, qui rabâchent les mêmes choses ne sont pas un bon moyen.
Je vais simplement te dire que je suis heureux de t'avoir un peu déstabilisée... Je sais que tout cela te servira et surtout servira aux autres que tu rencontreras. Cela à déjà eu lieu plusieurs fois sur ce forum et à chaque fois cela t'as aidé à voir plus clair dans ton propos...
Loin de moi la penser de t'apprendre quelque chose sur le plan spirituel, mais simplement te faire comprendre qu'il te faut trouver de nouveaux moyens...
Au plaisir de l'instant présent !
Tu ne retiens qu'une phrase de ce que j'ai écrit et pas un instant le reste.
Tu sorts de son contexte ma phrase pour la rendre focale...
C'est comme tu veux, je ne viendrais pas te rechercher une fois de plus.
Je redis ce que j'ai écris :
Ce que tu écris est une belle chose, que tu vis, mais les moyens que tu emplois pour transmettre ton chemin n'est pas le bon chemin, le nombre de posts, très longs, qui rabâchent les mêmes choses ne sont pas un bon moyen.
Je vais simplement te dire que je suis heureux de t'avoir un peu déstabilisée... Je sais que tout cela te servira et surtout servira aux autres que tu rencontreras. Cela à déjà eu lieu plusieurs fois sur ce forum et à chaque fois cela t'as aidé à voir plus clair dans ton propos...
Loin de moi la penser de t'apprendre quelque chose sur le plan spirituel, mais simplement te faire comprendre qu'il te faut trouver de nouveaux moyens...
Au plaisir de l'instant présent !
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Et oui Seule : on a toujours des choses à apprendre même quand on estime que notre discours suinte de vérité! On peut toujours progresser même quand on estime qu'on a plus rien à découvrir!Je sais que tout cela te servira et surtout servira aux autres que tu rencontreras. Cela à déjà eu lieu plusieurs fois sur ce forum et à chaque fois cela t'as aidé à voir plus clair dans ton propos...
"Le yoga spirituel n'existe pas, le yoga c'est l'unité et on ne peut rien faire avec un corps faible."
Merci philippe pour ces liens avec Krishnamurti...
C'est amusant j'ai rencontré une femme avec une gentillesse extraordinaire, vivant des choses assez belles en channeling, je lui ai offert un site internet pour qu'elle mette dessus ces textes, (http://www.channeling-renee.com/channeling.php mais le site est encore vide, je dois la former pour qu'elle entre ses textes...) et dans une discussion elle m'a offert un petit cadre dans lequel se trouve un bouddha déssiné, très simple. Il paraitrait, selon cette dame, que Krishnamurti l'utlisait quand il partait en voyage pour méditer...
J'ai ressenti la présence, et ressent encore sa présence, dans mon bureau...
C'est amusant j'ai rencontré une femme avec une gentillesse extraordinaire, vivant des choses assez belles en channeling, je lui ai offert un site internet pour qu'elle mette dessus ces textes, (http://www.channeling-renee.com/channeling.php mais le site est encore vide, je dois la former pour qu'elle entre ses textes...) et dans une discussion elle m'a offert un petit cadre dans lequel se trouve un bouddha déssiné, très simple. Il paraitrait, selon cette dame, que Krishnamurti l'utlisait quand il partait en voyage pour méditer...
J'ai ressenti la présence, et ressent encore sa présence, dans mon bureau...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Je partage ton avis et ton analyse Kavi.Enfin, de l'avis même de sâdhakas ayant suivi leur apprentissage selon la méthode traditionnelle, des textes comme la "Doctrine secrète" de Blavatsky ne sont que mutilations de l'authentique tradition, constructions fantasmatiques qu'ils faut regarder au titre de curiosités historiques.
Euh... juste une petite remarque, Denis, le Vijñana Bhairava n'a pas été écrit par Abhinavagupta, son auteur ne nous est pas connu.Denis a écrit :(c'est une recopie d'un de mes posts, mais je pense qu'il est important)
Il existe 3 voies dans le tantrisme, plus une 4ème nous dirait Kavi...
La deuxième voie peut être synthétiser comme cela. On trouve cela dans le texte du Vijnana-Bhairava Tantra, écrit par Abhinavagupta autour de 900 ans de notre ère...
Mais il s'agit effectivement d'un texte honoré par les maîtres du shivaïsme cachemirien.
Kavi, yog vous critiquez sans connaitre, peut-être perdrais-je mon temps à mettre les points sur les i bientôt en créant un sujet...
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:22, modifié 1 fois.
Oui, Kavi tu as bien raison, j'ai tappé cela un peu trop rapidement...
En fait ce texte, nous dit Lilian Silburn, fait partie des plus anciens Tantra au Agama, textes révélés qui furent probablement codifiés au début de notre ère quoique leurs éléments constituants remontent à une époque plus lointaine..
Un texte révélé...
En fait ce texte, nous dit Lilian Silburn, fait partie des plus anciens Tantra au Agama, textes révélés qui furent probablement codifiés au début de notre ère quoique leurs éléments constituants remontent à une époque plus lointaine..
Un texte révélé...
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Et un qui crie au loup...
Tu sais , à force de crier au loup, le jour où tu vas mettre en ligne tes, soi-disant, points sur les "i", il va te falloir une grande maitrise de ta nature complaisante et hautement prétentieuse, car tu es loin d'être attendu comme le messie et, comme tu nous promet tout cela depuis fort longtemps, je crois que personne ne laissera passer une petite erreur, ou pire, ton texte restera dans l'ombre totalement.
Un conseil, arrête de crier au loup et trouve un peu d'humilité... Mais surtout fait comme tu veux, moi tout cela m'amuse beaucoup
Tu sais , à force de crier au loup, le jour où tu vas mettre en ligne tes, soi-disant, points sur les "i", il va te falloir une grande maitrise de ta nature complaisante et hautement prétentieuse, car tu es loin d'être attendu comme le messie et, comme tu nous promet tout cela depuis fort longtemps, je crois que personne ne laissera passer une petite erreur, ou pire, ton texte restera dans l'ombre totalement.
Un conseil, arrête de crier au loup et trouve un peu d'humilité... Mais surtout fait comme tu veux, moi tout cela m'amuse beaucoup
Modifié en dernier par Denis le 11 déc. 2006, 14:54, modifié 1 fois.
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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En attendant ce jour proche, pas trop éloigné, quasi arrivé mais cependant pas encore tout à fait advenu, je me permets pour la bonne intelligence de tout ceci de renvoyer le forumeur courageux à la lecture de la Doctrine secrète, d'Helena Petrovna Blavatsky (ce n'est pas la peine d'acheter les six volumes, le premier devrait suffire). Bien entendu, on ne pourra en goûter la moëlle fort peu substantifique qu'en prenant connaissance auparavant de divers textes ayant traits à la cosmologie et à la métaphysique indienne. On voit ainsi comment certaines données symboliques ou abstraites sont retissées sur un métier où la profusion et la gratuité semblent être la règle. Profusion d'entités, de plans d'existences à prendre au pied de la lettre, gratuité d'assertions cosmologiques et astronomiques dont l'auto-référence au savoir occulte suffit comme justification. Ajoutons que cette doctrine Théosophique étant fort généreuse dans ses emprunts, une petite incursion dans les différentes kabbales ou cabales ne pourrait nuire.a écrit :Kavi, yog vous critiquez sans connaitre, peut-être perdrais-je mon temps à mettre les points sur les i bientôt en créant un sujet...
Evidemment, mon scepticisme est facile à réfuter. Il suffirait à - lorsque l'envie l'en saisira, bientôt, bientôt... - de citer tel passage d' Entretiens sur la Doctrine Secrète, il s'agit d'un passage qui vise à mettre en doute les capacités de connaissance offertes pas les sciences naturelles, et qui ne s'occupe en fait que de jouer sur le clivage connaissance objective/subjective ce qui nous rappelle surtout les discussions de chercheurs à propos de la conscience (voir les "expériences de la pensée" chez Turing, John R. Searle, T. Nagel), régalons-nous un instant :
(il s'agit donc d'un texte sous forme de questions/réponses)
Réponse : La Science peut spéculer, mais, avec les méthodes qui sont pour l'instant les siennes, elle ne sera jamais en mesure de prouver la certitude de ce genre de spéculations. [la discussion tourne en fait autour de la possibilité de percevoir d'autres modalités de l'espace, de la matière appartenant à des "plans différents du nôtre". La suite se veut une sorte de raisonnement pas analogie] Si un homme de science pouvait se transformer en fourmi pendant un certain temps, et penser comme une fourmi, et se rappeler ce qu'il a éprouvé en revenant à sa propre sphère de conscience, alors il connaîtrait quelque chose de certain au sujet de cet insecte intéressant. Dans l'état des choses, il ne peut que spéculer, tirant des inductions [sic !] du comportement de la fourmi.
Question : La conception deque la fourmi se fait du temps et de l'espace n'est pas la nôtre, donc. est-ce là ce que vous voulez dire ?
Réponse : Précisément ; la fourmi se fait du temps et de l'espace des conceptions qui ne sont pas les nôtres ; [à ce niveau du texte, nous nous trouvons devant l'alternative suivante : soit penser que Blavatsky à épousé pendant "un certain temps" le corps d'une fourmi, afin d'être renseignée sur ses conceptions du temps, soit procède-t-elle par "induction", ce qui n'est pas moins cocasse !]nous n'avons, par conséquent, [articulation logique tout ce qu'il y a de plus spécieuse : puisque nous ne pouvons tout savoir, nous sommes en droit de tout supputer !] aucun droit de nier a priori l'existence d'autres plans pour la seule raison que nous ne pouvons nous en faire aucune idée, mais qui n'en existent pas moins :[mais comment diable les connait-elle ?] plans inférieurs ou supérieurs au nôtre de bien des degrés, ainsi qu'en témoigne la fourmi. [le ridicule syllogistique est à son comble ]
J'espère que ce court mais savoureux extrait aura mis l'eau à la bouche de tous les contributeurs de ce forum ; j'aurai ainsi servi au mieux, le "Plan Divin", pauvre marionnette consentante que je suis, dont les fils appartiennent à quelques Très Hauts Supérieurs Inconnus.
Kavi
spiritualité poésie
Partir toute seule sans
Rien pour nous alourdir,
Obéissant uniquement à l'instant en
Vivant juste l"instant qui nous
Enivre de son parfum, marcher sur les feuilles d'automne le jour et la
Nuit
Se dire qu'il bon vivre
Tout en étant emerveillé par le chant d'un oiseau.
Toujours à l'heure le temps nous élève vers d'autres sphères murmurant comme à son habitude l'air préféré de sa compagne éternelle madame solstice.
Rien pour nous alourdir,
Obéissant uniquement à l'instant en
Vivant juste l"instant qui nous
Enivre de son parfum, marcher sur les feuilles d'automne le jour et la
Nuit
Se dire qu'il bon vivre
Tout en étant emerveillé par le chant d'un oiseau.
Toujours à l'heure le temps nous élève vers d'autres sphères murmurant comme à son habitude l'air préféré de sa compagne éternelle madame solstice.
Re: poème
Matin pluvieux d'octobre attend son lot de feuilles mortes tenant dans sa corbeille, la nouvelle inachevée d'un chant d'hiver pour Nadine sa brise préférée.
l'havre de paix
L’HAVRE
Je te remets la clé de mon cœur. Je l’ai agencée avec passion en une océane de tendresse avec tout ce que tu m’as donné.
Je l’ai recouvert d’un gazon verdoyant, parsemée de petites marguerites et de boutons d’ors. Sur ta droite tu découvriras une circonférence de pensées multicolores.
Elles sont entourées de tulipes de longues tiges aux couleurs chatoyantes et des coquelicots flamboyants de leur couleur pourpre.
Au centre j’ai fixé un saule pleureur majestueux. À ses pieds un ruisseau qui déverse les larmes que j’ai éprouvée que je te diffuse humblement.
Un peu plus loin des arbres aux fruits succulents, pour te désaltérer.
Afin que tu ne sois pas seul j’ai convié l’agneau sacré qui broute et pour que lui non plus ne se sente pas isolée. J’ai fait venir ce que tu aimes tes amies les abeilles leur ruche est maintenue tout en haut du vallon.
Pour terminer j’ai placé à l’endroit qui convient le mieux la flamme de ma foi qui réchauffe et illumine l’endroit secret de ma demeure sacralisée.
Je suis sublimée par tout ce que tu ma donnée, plusieurs vies ne suffiront pas pour m’acquitter de l'exaltation que tu ma prodiguée.
Je te remets la clé de mon cœur. Je l’ai agencée avec passion en une océane de tendresse avec tout ce que tu m’as donné.
Je l’ai recouvert d’un gazon verdoyant, parsemée de petites marguerites et de boutons d’ors. Sur ta droite tu découvriras une circonférence de pensées multicolores.
Elles sont entourées de tulipes de longues tiges aux couleurs chatoyantes et des coquelicots flamboyants de leur couleur pourpre.
Au centre j’ai fixé un saule pleureur majestueux. À ses pieds un ruisseau qui déverse les larmes que j’ai éprouvée que je te diffuse humblement.
Un peu plus loin des arbres aux fruits succulents, pour te désaltérer.
Afin que tu ne sois pas seul j’ai convié l’agneau sacré qui broute et pour que lui non plus ne se sente pas isolée. J’ai fait venir ce que tu aimes tes amies les abeilles leur ruche est maintenue tout en haut du vallon.
Pour terminer j’ai placé à l’endroit qui convient le mieux la flamme de ma foi qui réchauffe et illumine l’endroit secret de ma demeure sacralisée.
Je suis sublimée par tout ce que tu ma donnée, plusieurs vies ne suffiront pas pour m’acquitter de l'exaltation que tu ma prodiguée.
Bonjour à touskavi a écrit :
Entretiens sur la Doctrine Secrète[/i], il s'agit d'un passage qui vise à mettre en doute les capacités de connaissance offertes pas les sciences naturelles, et qui ne s'occupe en fait que de jouer sur le clivage connaissance objective/subjective ce qui nous rappelle surtout les discussions de chercheurs à propos de la conscience (voir les "expériences de la pensée" chez Turing, John R. Searle, T. Nagel), régalons-nous un instant :
(il s'agit donc d'un texte sous forme de questions/réponses)
Réponse : La Science peut spéculer, mais, avec les méthodes qui sont pour l'instant les siennes, elle ne sera jamais en mesure de prouver la certitude de ce genre de spéculations. [la discussion tourne en fait autour de la possibilité de percevoir d'autres modalités de l'espace, de la matière appartenant à des "plans différents du nôtre". La suite se veut une sorte de raisonnement pas analogie] Si un homme de science pouvait se transformer en fourmi pendant un certain temps, et penser comme une fourmi, et se rappeler ce qu'il a éprouvé en revenant à sa propre sphère de conscience, alors il connaîtrait quelque chose de certain au sujet de cet insecte intéressant. Dans l'état des choses, il ne peut que spéculer, tirant des inductions [sic !] du comportement de la fourmi.
Question : La conception deque la fourmi se fait du temps et de l'espace n'est pas la nôtre, donc. est-ce là ce que vous voulez dire ?
Réponse : Précisément ; la fourmi se fait du temps et de l'espace des conceptions qui ne sont pas les nôtres ; [à ce niveau du texte, nous nous trouvons devant l'alternative suivante : soit penser que Blavatsky à épousé pendant "un certain temps" le corps d'une fourmi, afin d'être renseignée sur ses conceptions du temps, soit procède-t-elle par "induction", ce qui n'est pas moins cocasse !]nous n'avons, par conséquent, [articulation logique tout ce qu'il y a de plus spécieuse : puisque nous ne pouvons tout savoir, nous sommes en droit de tout supputer !] aucun droit de nier a priori l'existence d'autres plans pour la seule raison que nous ne pouvons nous en faire aucune idée, mais qui n'en existent pas moins :[mais comment diable les connait-elle ?] plans inférieurs ou supérieurs au nôtre de bien des degrés, ainsi qu'en témoigne la fourmi. [le ridicule syllogistique est à son comble ]
Kavi
Alors moi je suis saisie en lisant ces posts ici. Ils expriment tant de choses merveilleuses à découvrir, comme les autres dimensions de notre royaume enchanté.
Comme ces posts me concernent particulièrement, du fait de la recherche qui est la mienne, je voudrais seulement partager avec vous les quelques intérrogations qu'ils m'inspirent, si vous êtes d'accord, bien évidemment ?
Il n'est point dans mon dessin de contredire en quoi que ce soit, d'argumenter mais de simplement visiter ce qui est écrit, comme n'importe quel méditant aime à le faire.
Vous savez, c'est un vrai voyage que cette visite, un voyage qui, de la dimension espace temps, nous amène à la dimension de la conscience fourmi.
Si nous pouvions jouir de la faculté de conscience impersonnelle et hors du temps et de l'espace conceptuel, peut-être ces questions de conscience et inconscience ne se poseraient plus de la même manière.
Plutôt que de partir du point de vue d'une conscience fragmentée, je propose de partir de la conscience non fragmentée et une. Et cela change tout, d'abord on ne peut plus parler d'un point de vue...
A ce stade il faut réaliser évidemment que seule la conscience fragmentée peut partir d'un point de vue pour parvenir à la totalité de la conscience Une. Tandis que l'expression de la Conscience non fragmentée est une expression vivante, une création et donc la vérité créative vécue et fondamentalement vécue, essentiellement vécue par l'essentiel. Car la vérité ne peut être que vécue. Comme l'instant qui contient la mort et aussi bien que la vie.
Pour pouvoir explorer les consciences inférieures, celles du passé, qui comprend celle des règnes précédents la conscience humaine, s'agit-il de revenir en arrière dans le temps qui est mental, ou de changer de niveau vibratoire ici et maintenant ?
Si ici et maintenant est unique, il contient le passé et le futur, et dans ce cas, ici et maintenant devient une affaire de niveau vibratoire, il est question d'intensité vibratoire. Et curieusement, le rythme qui saisi la conscience temps espace conceptuel est un rythme très ralenti.
Le rythme du subtil infiniment subtil est un rythme vibratoire ralenti, comme la respiration elle-même nous le montre.
Je parle d'une respiration originelle non déformée par les millénaires de peur. Le yoga participe à nous faire retrouver cette respiraton non conditionnée et pleine, nécessaire à la santé et au renouvellement des cellules cérébrales.
L'écoute de la respiration est un rassemblement de l'énergie et une une vacuité de plus en plus spacieuse...
Rythme ralenti vibratoirement donne pour résultat une perception subtile... D'accord, mais curieusement ce ralentisseement provoque une accélération subtile qui va faire que plus rien n'est séparé de rien, plus rien n'est distant de rien.
A ce niveau toutes les consciences sont contenues dans la conscience Une. Et la conscience Une peut dans l'instant visiter telle ou telle conscience séparée, comme celle de la fourmi, puisque rien est séparé de rien.
C'est donc que que maintenant et ici, il y a le possible d'une danse vibratoire, d'une danse énergétique. Un peu comme la danse des particules, et je me pose très serieusement la question de la participation de l'Esprit à la danse des particules visibles dans leur invisible danse cosmique...
Merci de ce patage vibratoire entre nous
Modifié en dernier par Seule le 09 févr. 2007, 15:18, modifié 4 fois.
Pour voir le niveau d'évolution de l'humanité regardez le nombre de personnes se rendant chaque année au Salon de l'Automobile !!! Faut vraiment être tarré spirituellement parlant pour aller vers ce genre de choses...
Et toutes ces attractions/répulsions ne sont encore que des voiles de Maya, les plus tenaces à ôter, certes...
La dérision ne sert aucune cause, sinon à être la démonstration flagrante de nos propres limitations.
Et toutes ces attractions/répulsions ne sont encore que des voiles de Maya, les plus tenaces à ôter, certes...
La dérision ne sert aucune cause, sinon à être la démonstration flagrante de nos propres limitations.
Modifié en dernier par Khavan le 05 juin 2011, 13:23, modifié 1 fois.
Tu es extraordinaire , merci pour toute ta présence si géniale et tes convictions
Regarde c'est ENCORE toi !!! :
Citation:
Regarde c'est ENCORE toi !!! :
et encore toi :a écrit :Pour voir le niveau d'évolution de l'humanité regardez le nombre de personnes se rendant chaque année au Salon de l'Automobile !!! Faut vraiment être tarré spirituellement parlant pour aller vers ce genre de choses...
Citation:
Et toujours toi, si si je te jure !!!!!!!a écrit :Et toutes ces attractions/répulsions ne sont encore que des voiles de Maya, les plus tenaces à ôter, certes...
J'ai compris en fait tu te déguise parfois en JCV !!!a écrit :La dérision ne sert aucune cause, sinon à être la démonstration flagrante de nos propres limitations.
Dieu nous donne ce dont il veut qu'on se serve, pour aller vers lui.
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Pour recadrer le sujet!
Amour de mes amours,
A ceux, qu'à cette époque là,
A la saison des amours,
Pense à cette fête là.
Pour ceux, à qui c'est important,
Ce jour qui porte le nom d'un saint,
Et qui ne pense à chaqu'instant,
De la force qui est en leur sein.
De ce jour de célébration,
Qu'ils pensent à leurs fiancialles,
Exhaltant leur émotion,
La voulant qu'elle ne s'en aille.
Que si ce jour est une fête,
Voulant la joie dans l'amour,
Je ne vois pas comment se fête
Un jour de joie sans amour.
Le Coeur ancré au fond de soi,
Se projetant à travers moi,
Elimine le chacun pour soi,
Ainsi je vois le saint en moi.
Dans le noble sentiment,
Oubliant ce qui n'est pas saint,
Fête ainsi continuellement
L'Amour Dieu, Valentin saint.
Amour de mes amours,
A ceux, qu'à cette époque là,
A la saison des amours,
Pense à cette fête là.
Pour ceux, à qui c'est important,
Ce jour qui porte le nom d'un saint,
Et qui ne pense à chaqu'instant,
De la force qui est en leur sein.
De ce jour de célébration,
Qu'ils pensent à leurs fiancialles,
Exhaltant leur émotion,
La voulant qu'elle ne s'en aille.
Que si ce jour est une fête,
Voulant la joie dans l'amour,
Je ne vois pas comment se fête
Un jour de joie sans amour.
Le Coeur ancré au fond de soi,
Se projetant à travers moi,
Elimine le chacun pour soi,
Ainsi je vois le saint en moi.
Dans le noble sentiment,
Oubliant ce qui n'est pas saint,
Fête ainsi continuellement
L'Amour Dieu, Valentin saint.